Un soldat américain a eu une ouverture de conscience durant et suite à son passage en Irak; voici son témoignage:
jeudi 7 janvier 2010
mercredi 6 janvier 2010
mardi 5 janvier 2010
LE POINT G N'EXISTERAIT PAS
Le point G ne serait qu'un mythe, estiment des chercheurs britanniques à la lumière des résultats de la plus vaste enquête menée à ce jour sur cette zone érogène féminine.
Menés auprès de 1800 femmes, les travaux d'Andrea Burri et de ses collègues du King's College de Londres n'ont pas permis de mettre en évidence cette région.
Ainsi, selon eux, le point G n'existe pas et serait simplement une idée subjective. Il ferait ainsi partie de l'imaginaire féminin, encouragé par les magazines et par certains sexologues.
Cette région, qui serait fortement érogène chez certaines femmes, est également appelée zone de Gräfenberg, du nom du sexologue allemand Ernest Gräfenberg, qui en a étudié l'existence pour la première fois dans les années 1950.
Elle serait située dans le vagin, et serait composée de nombreuses terminaisons nerveuses qui, si elles sont activées, mènent à un plaisir sexuel intense.
Le concept de point G a ensuite été popularisé dans les années 80 par la sexologue Beverley Whipple. Cette dernière estime que les résultats de la présente étude sont erronés puisqu'ils ne tiennent pas compte des expériences des femmes lesbiennes ou bisexuelles et n'ont pas considéré la pluralité des partenaires sexuels et l'obtention de l'orgasme grâce à des techniques.
Selon l'un des auteurs, le Pr Tim Spector, aucun trait physique réel n'a été remarqué chez les femmes qui disaient avoir un point G, et ce, malgré une alimentation particulière ou une méthode d'exercices.
En 2008, des chercheurs italiens affirmaient avoir établi que le tissu de la paroi antérieure entre l'urètre et le vagin était plus épais chez les femmes qui ont des orgasmes vaginaux intenses que chez celles qui n'en ont pas. Ils pensaient alors avoir découvert le point G.
En 2004, le biologiste Desmond Morris affirmait avoir identifié quatre points G dans la partie supérieure du vagin.
Le détail de la présente étude est publié dans le Journal of sexual medecine.
Radio-Canada
Menés auprès de 1800 femmes, les travaux d'Andrea Burri et de ses collègues du King's College de Londres n'ont pas permis de mettre en évidence cette région.
Ainsi, selon eux, le point G n'existe pas et serait simplement une idée subjective. Il ferait ainsi partie de l'imaginaire féminin, encouragé par les magazines et par certains sexologues.
Cette région, qui serait fortement érogène chez certaines femmes, est également appelée zone de Gräfenberg, du nom du sexologue allemand Ernest Gräfenberg, qui en a étudié l'existence pour la première fois dans les années 1950.
Elle serait située dans le vagin, et serait composée de nombreuses terminaisons nerveuses qui, si elles sont activées, mènent à un plaisir sexuel intense.
Le concept de point G a ensuite été popularisé dans les années 80 par la sexologue Beverley Whipple. Cette dernière estime que les résultats de la présente étude sont erronés puisqu'ils ne tiennent pas compte des expériences des femmes lesbiennes ou bisexuelles et n'ont pas considéré la pluralité des partenaires sexuels et l'obtention de l'orgasme grâce à des techniques.
Selon l'un des auteurs, le Pr Tim Spector, aucun trait physique réel n'a été remarqué chez les femmes qui disaient avoir un point G, et ce, malgré une alimentation particulière ou une méthode d'exercices.
En 2008, des chercheurs italiens affirmaient avoir établi que le tissu de la paroi antérieure entre l'urètre et le vagin était plus épais chez les femmes qui ont des orgasmes vaginaux intenses que chez celles qui n'en ont pas. Ils pensaient alors avoir découvert le point G.
En 2004, le biologiste Desmond Morris affirmait avoir identifié quatre points G dans la partie supérieure du vagin.
Le détail de la présente étude est publié dans le Journal of sexual medecine.
Radio-Canada
CNN ANNONCE LE REFROIDISSEMENT PLANÉTAIRE
Les intervenants demandent de cesser la propagande sur le réchauffement et de mettre fin au projet de taxe sur le carbone. On serait dans un refroidissement qui pourrait durer 20 ans. On y dit aussi qu'il est arrogant de penser que c'est l'homme qui change la température, tout le monde sait que c'est le soleil qui dicte la température.
dimanche 3 janvier 2010
CHANGEMENT DE PARADIGME
Essai sur la prise de conscience du théâtre dans lequel on joue ou dans lequel on est spectateur... de toutes façons, comme on dit en physique quantique, l'observateur a un effet sur l'expérience : spectateur ou acteur, nous avons une influence sur le déroulement de la pièce.
Ce qui est intéressant de savoir alors est :
Ce qui est intéressant de savoir alors est :
- Qui sont les acteurs ?
- Qui sont les spectateurs ?
- Qui a écrit la pièce ?
- Quel est le scénario de la pièce ?
- Quel rôle y jouez-vous ?
- Comme c'est un jeu, quelles stratégies utiliserez-vous pour atteindre les meilleurs résultats ?
vendredi 1 janvier 2010
2010
Selon l’astrologie chinoise, 2010 est l’année du Tigre. Voici un petit résumé de la symbolique :
Cette année ne sera pas de tout repos. Envisagez un changement de vie, mais soyez prudent. Politiquement, grand changement en perspective. Coup de théâtre politique. Révolution. Perspective de guerre. Catastrophe. Année favorable aux changements, à l'action.Dans l’ensemble, c’est un peu ce à quoi on s’attend n’est-ce pas ?
Mais, si au lieu de voir cela négativement, nous changeons de lunette pour voir cela différemment; pouvons-nous considérer tous ces changements et coups de théâtre comme étant des opportunités de croissance, personnelle et collective ?
C’est la liberté et l'intégrité de notre corps, notre âme et notre esprit qui est en jeu. On se doit de transformer notre civilisation pour qu’elle soit adaptée à la destinée de l’humanité. Je ne vois plus de compromis possible. Il est temps de porter plus haut le flambeau de notre humanité.
Les forces de l'ombre sont là pour nous tester et nous pousser à le faire. Les forces lumineuses, elles, nous invitent et nous accueillent déjà à bras ouverts à les joindre. Ça fait deux forces puissantes : une qui nous pousse dans le dos, une qui nous tire par avant. Il ne nous reste qu'à surfer la vague vers une ouverture de conscience qui crée ce Nouveau Monde. Nous sommes attendus.
C’est le moment de l’histoire où nous sommes supposés nous réveiller et agir !
Bonne année !
ÉCLIPSE PARTIELLE D'UNE LUNE BLEUE
Phénomène très rare dans le ciel durant la nuit passée :
http://spaceweather.com/
- c'était la deuxième pleine lune du mois appelée "lune bleue";
- c'était un 31 décembre;
- et la lune bleue était en éclipse à 8%.
http://spaceweather.com/
jeudi 31 décembre 2009
MISSION POUR DÉTOURNER APOPHIS
La probabilité qu’Apophis heurte la Terre est extrêmement faible. Quand le même astéroïde est déjà passé près de nous en 2004, la probabilité de colision était de 2,7% et la prochaine fois qu’il viendra nous frôler ce sera en 2029 avec, selon les estimations, aucune chance de rencontre. Et en 2036, la probabilité sera de 1 sur 250.000, donc très basse mais suffisante pour être effrayante.
Selon la NASA, Apophis ne serait pas assez gros pour créer une catastrophe majeure mais Anatoly Perminov, le chef de Roskosmos, n’est pas d’accord et selon lui il y aurait également une chance d’impact en 2032 avec en ligne de mire pour l’astéroïde le sud de la Russie. La mission selon Perminov ne ferait pas appel aux armes nucléaires mais juste aux lois de la physique, sans qu’on en sache plus pour le moment.
20 minutes
VILLE PRIVÉE, VIE CONTRÔLÉE
Au nom de la rénovation urbaine, d’importantes parties de villes comme Londres et Liverpool sont aujourd’hui la propriété de sociétés privées. Et des activités aussi anodines que déjeuner ou prendre des photos y sont désormais interdites.
Le journaliste du Guardian Paul Lewis est le dernier d'une longue liste de présumés contrevenants à avoir été arrêtés et interrogés après être entrés par erreur sur un domaine privé. Lewis a été interpellé et fouillé par la police conformément au paragraphe 44 de la loi antiterrorisme, pour avoir pris des photographies du “Cornichon” de Norman Foster, un des édifices les plus célèbres du Londres moderne. Dans tout le pays, les activités les plus innocentes font aujourd'hui l'objet d'un contrôle et d'une surveillance qui ne sont pas nécessairement sanctionnés par des lois antiterroristes. Il faut y voir la conséquence de l'emprise croissante du secteur privé sur les municipalités.
Liverpool One, qui couvre 34 rues en plein cœur de Liverpool, est en fait la propriété de Grosvenor, société immobilière du Duc de Westminster, qui a loué l'intégralité du site, dont les rues et les lieux publics, au conseil municipal pour 250 ans. Des quartiers entiers de Bristol et Leicester, ainsi que Stratford City, à Londres, qui s'annonce comme le plus grand projet de tous, appartiennent aux sociétés immobilières qui les gèrent. Avec près de 85 hectares, Stratford City, l'un des sites stratégiques des Jeux Olympiques de 2012, sera une ville privée dans la ville. Les politiques et les promoteurs soulignent que ce sont des lieux qui attirent les gens, qui s'y rendent en masse pour y faire leurs courses. Ils n'en représentent pas moins un défi pour la vie publique, la culture et la démocratie telles qu'on les a connues dans les villes britanniques pendant un siècle et demi.
Toutes sortes d'activités apparemment inoffensives - la pratique du skate-board, des patins à roulettes, voire le fait de déjeuner dans certains endroits - sont régulièrement proscrites, tout comme le fait de filmer et, bien sûr, de prendre des photos. Il en va de même de la mendicité, des sans-abri, de la distribution de tracts politiques et de l'organisation de manifestations politiques. Au lieu de la diversité indissociable des grandes artères, nous sommes en train de créer des enclaves stériles sous haute sécurité, patrouillées par des polices privées appuyées par des réseaux de vidéosurveillance. Et loin de renforcer notre sensation de sécurité, cette atmosphère ne fait que nous rappeler les dangers qui nous entourent et alimenter notre peur de la délinquance. Pourtant, peu de gens sont conscients de ces changements qui se déroulent littéralement sous nos yeux. La plupart considèrent que puisque les rues ont toujours été un espace public, elles continueront à l'être. En réalité, au début du XIXème siècle, des villes comme Londres étaient aux mains d'un petit groupe de propriétaires privés, ducs et comtes pour l'essentiel. Ils détenaient par exemple quelques-uns des plus beaux parcs géorgiens, et les premiers parcs victoriens. Ce que l'on ne voit plus aujourd'hui, ce sont les forces de sécurité privées employées sur ces domaines pour en interdire l'accès à quiconque n'y était pas autorisé, sans parler des nombreux portails, barrières et guérites.
Face à la colère montante de l’opinion, reflet du développement de la démocratie locale qui avait entraîné à l'époque deux enquêtes parlementaires, le contrôle des rues fut transféré aux autorités locales. Depuis, il est courant que ces dernières “adoptent” les rues et les espaces publics de la ville. Autrement dit, qu'ils leur appartiennent ou non de fait, ce sont les municipalités qui les contrôlent et les gèrent. Cette tendance s'inverse actuellement, alors que les sociétés immobilières s'emparent de quartiers entiers. Les photographes sont peut-être les premiers à s'en apercevoir, mais ils sont loin d'être les seuls concernés. Ironie savoureuse, le quartier général de la Greater London Authority, siège du gouvernement démocratique de Londres, est situé en plein More London, autre enclave privée. Toutefois, le mois dernier, le maire Boris Johnson a officiellement fait part de son opposition au contrôle privé des rues et des espaces publics. Il dispose de pouvoirs considérables dans le domaine de la planification, et est à même d'ordonner aux arrondissements de refuser tout nouveau projet qui empiéterait sur ces règles. Une politique cruciale, sachant que presque tous les chantiers immobiliers cèdent discrètement le contrôle des rues à des intérêts privés.
PressEurop
Le journaliste du Guardian Paul Lewis est le dernier d'une longue liste de présumés contrevenants à avoir été arrêtés et interrogés après être entrés par erreur sur un domaine privé. Lewis a été interpellé et fouillé par la police conformément au paragraphe 44 de la loi antiterrorisme, pour avoir pris des photographies du “Cornichon” de Norman Foster, un des édifices les plus célèbres du Londres moderne. Dans tout le pays, les activités les plus innocentes font aujourd'hui l'objet d'un contrôle et d'une surveillance qui ne sont pas nécessairement sanctionnés par des lois antiterroristes. Il faut y voir la conséquence de l'emprise croissante du secteur privé sur les municipalités.
Liverpool One, qui couvre 34 rues en plein cœur de Liverpool, est en fait la propriété de Grosvenor, société immobilière du Duc de Westminster, qui a loué l'intégralité du site, dont les rues et les lieux publics, au conseil municipal pour 250 ans. Des quartiers entiers de Bristol et Leicester, ainsi que Stratford City, à Londres, qui s'annonce comme le plus grand projet de tous, appartiennent aux sociétés immobilières qui les gèrent. Avec près de 85 hectares, Stratford City, l'un des sites stratégiques des Jeux Olympiques de 2012, sera une ville privée dans la ville. Les politiques et les promoteurs soulignent que ce sont des lieux qui attirent les gens, qui s'y rendent en masse pour y faire leurs courses. Ils n'en représentent pas moins un défi pour la vie publique, la culture et la démocratie telles qu'on les a connues dans les villes britanniques pendant un siècle et demi.
Toutes sortes d'activités apparemment inoffensives - la pratique du skate-board, des patins à roulettes, voire le fait de déjeuner dans certains endroits - sont régulièrement proscrites, tout comme le fait de filmer et, bien sûr, de prendre des photos. Il en va de même de la mendicité, des sans-abri, de la distribution de tracts politiques et de l'organisation de manifestations politiques. Au lieu de la diversité indissociable des grandes artères, nous sommes en train de créer des enclaves stériles sous haute sécurité, patrouillées par des polices privées appuyées par des réseaux de vidéosurveillance. Et loin de renforcer notre sensation de sécurité, cette atmosphère ne fait que nous rappeler les dangers qui nous entourent et alimenter notre peur de la délinquance. Pourtant, peu de gens sont conscients de ces changements qui se déroulent littéralement sous nos yeux. La plupart considèrent que puisque les rues ont toujours été un espace public, elles continueront à l'être. En réalité, au début du XIXème siècle, des villes comme Londres étaient aux mains d'un petit groupe de propriétaires privés, ducs et comtes pour l'essentiel. Ils détenaient par exemple quelques-uns des plus beaux parcs géorgiens, et les premiers parcs victoriens. Ce que l'on ne voit plus aujourd'hui, ce sont les forces de sécurité privées employées sur ces domaines pour en interdire l'accès à quiconque n'y était pas autorisé, sans parler des nombreux portails, barrières et guérites.
Face à la colère montante de l’opinion, reflet du développement de la démocratie locale qui avait entraîné à l'époque deux enquêtes parlementaires, le contrôle des rues fut transféré aux autorités locales. Depuis, il est courant que ces dernières “adoptent” les rues et les espaces publics de la ville. Autrement dit, qu'ils leur appartiennent ou non de fait, ce sont les municipalités qui les contrôlent et les gèrent. Cette tendance s'inverse actuellement, alors que les sociétés immobilières s'emparent de quartiers entiers. Les photographes sont peut-être les premiers à s'en apercevoir, mais ils sont loin d'être les seuls concernés. Ironie savoureuse, le quartier général de la Greater London Authority, siège du gouvernement démocratique de Londres, est situé en plein More London, autre enclave privée. Toutefois, le mois dernier, le maire Boris Johnson a officiellement fait part de son opposition au contrôle privé des rues et des espaces publics. Il dispose de pouvoirs considérables dans le domaine de la planification, et est à même d'ordonner aux arrondissements de refuser tout nouveau projet qui empiéterait sur ces règles. Une politique cruciale, sachant que presque tous les chantiers immobiliers cèdent discrètement le contrôle des rues à des intérêts privés.
PressEurop
mercredi 30 décembre 2009
COURS DE CONDUITE
Chers Québécois, deux femmes d'un petit village d'Angleterre ont découvert comment il fallait conduire sa voiture lorsqu'il y a du verglas. Vous pensez qu'il est préférable de ne pas sortir en voiture cette journée-là... détrompez-vous ! Tout ce que vous avez à faire est de sortir de votre voiture au moment opportun. Voyez un exemple : ;-)
mardi 29 décembre 2009
LA TAXE CARBONE REJETÉE
C'est une décision pour le moins radicale que vient de prendre le Conseil Constitutionnel. Les "sages" ont effectivement décidé d'annuler complètement le dispositif légal instituant une contribution carbone. Cette taxe sur les émissions de dioxyde de carbone (CO2) devait être calculée sur la consommation des énergies fossiles et devait entrer en vigueur au premier janvier 2010, c'est à dire ce vendredi.
Le Conseil constitutionnel a motivé sa décision par la présence de trop nombreuses exonérations inscrites dans le texte de loi. Ces exonérations, visant à ne pas pénaliser certains secteurs industriels, couvrent 93% des émissions de CO2 hors carburant. Ainsi plus de la moitié des émissions de CO2 échappait à cette taxe. De ce fait, le conseil a estimé que la loi s'écartait de son objectif de lutte contre le réchauffement climatique et surtout, rompait le principe d'égalité face à l'impôt, un principe fondamental dans le droit français.
D'un point de vue légal, la décision est traduite sous la forme d'annulation de trois articles dans la loi de finances 2010. Les articles 7, 9 et 10 de la loi de finances 2010 sont donc supprimés par le Conseil Constitutionnel. Il s'agissait des trois articles qui instituaient cette taxe. Le Premier ministre a toutefois annoncé qu'une nouvelle loi, prenant en compte les remarques du Conseil Constitutionnel, sera présentée en Conseil des ministres le 20 janvier 2010.
techno-sciences
Le Conseil constitutionnel a motivé sa décision par la présence de trop nombreuses exonérations inscrites dans le texte de loi. Ces exonérations, visant à ne pas pénaliser certains secteurs industriels, couvrent 93% des émissions de CO2 hors carburant. Ainsi plus de la moitié des émissions de CO2 échappait à cette taxe. De ce fait, le conseil a estimé que la loi s'écartait de son objectif de lutte contre le réchauffement climatique et surtout, rompait le principe d'égalité face à l'impôt, un principe fondamental dans le droit français.
D'un point de vue légal, la décision est traduite sous la forme d'annulation de trois articles dans la loi de finances 2010. Les articles 7, 9 et 10 de la loi de finances 2010 sont donc supprimés par le Conseil Constitutionnel. Il s'agissait des trois articles qui instituaient cette taxe. Le Premier ministre a toutefois annoncé qu'une nouvelle loi, prenant en compte les remarques du Conseil Constitutionnel, sera présentée en Conseil des ministres le 20 janvier 2010.
techno-sciences
UN BRACELET ÉLECTROCHOC POUR VOUS
Êtes-vous prêt à abandonner votre humanité pour être supposément "sécure" ? Savez-vous d'où vient vraiment le danger ?
LA TERRE CREUSE
Jacques Fortier, un scientifique, a prouvé avec ces données recueillies dans une mine, que la Terre est creuse. Voici son explication :
lundi 28 décembre 2009
OVNI À BELFAST
La vidéo est un peu longue, mais à la 6ème minute ça devient intéressant. Vous y verrez l'ovni descendre près du sol et émettre un rayon lumineux. Puis un petit ovni sort du plus gros pour se promèner dans la campagne environnante.
LE PEUPLE CONTRE LE GOUVERNEMENT EN IRAN
Je vous laisse faire vos recherches d'info sur le sujet, on en parle partout. Voici deux vidéos qui montrent la détermination du peuple. La première est une manifestation de colère. La deuxième est le secours de deux hommes qui venaient d'être pendus :
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