Si vous êtes un habitué d'Eso News, vous savez déjà que les armées canadiennes et étatsuniennes viennent de signer un traité de collaboration entre les deux pays en cas d'urgence civile.
Hier, on vient nous annoncer que 180 officiers britanniques sont en train de s'entraîner au Texas pour contrer de supposées attaques terroristes en créant des périmètres de sécurité autour des écoles et des églises.
Rien de mieux qu'une armée amie d'un autre pays pour contrôler un pays en guerre civile (USA), les soldats n'auront pas peur de tirer sur des civils le cas échéant.
Rappelez-vous ce que disait en 2003 Louis Lefebvre, politicologue :
PRÉPARATION À LA GUERRE CIVILE (1)
samedi 8 mars 2008
CRIER L'INDÉPENDANCE DU TIBET EN CHINE
"Tibet ! Tibet ! Tibet !" En trois mots, Björk a réussi à mettre mal à l'aise la plupart du public chinois venu assister à un de ses concerts à... Shangaï. La chanteuse islandaise au sang chaud (voir DSS) les a clamés à la fin du morceau "Proclame Independence". Elle a crié ces quelques mots courageux alors que l'on connaît la situation des manifestants tibétains. Le Tibet est un sujet tabou en Chine depuis le départ forcé du Dalaï-Lama, il y a 50 ans. Toute manifestation en faveur de l'indépendance de ce territoire y est très fortement réprimée (selon Amnesty International, des centaines de manifestants sont enfermés en prison). D'après un enseignant britannique qui était au concert et qui a témoigné sur le site du Nouvel Observateur (avec AP), "les gens n'ont pas hué. Mais ils ont quitté avec précipitation le centre gymnique international de Shanghaï". Les médias chinois tentent d'étouffer l'affaire mais la vidéo du concert est relayée sur des sites du pays.
@desuressources
@desuressources
GOOGLE EARTH INTERDIT
Ouste Google! Le Pentagone a interdit aux employés de Google Earth de filmer l'intérieur des bases militaires américaines. Cette mesure a été prise aussitôt après que le Pentagone a «reçu un rapport nous informant que Google avait collecté une imagerie détaillée et des vues à 360 degrés d'une base au Texas», a expliqué jeudi à l'AFP un porte-parole du commandement des forces armées en Amérique du Nord, Gary Ross. «Nous n'avons pas de problème vis-à-vis de Google Earth, c'est un instrument très utile, mais quand ils sont sur une base, ils prennent des images détaillées des points de contrôle, des bâtiments du quartier-général, des installations de sécurité... Et cela pose un risque opérationnel», a-t-il fait valoir.Google plaide coupable, bien que l’employé ayant réalisé des photographies au sol avait obtenu l’autorisation de pénétrer dans cette base militaire, il y a dix jours. Mais une règle interne au site stipulait qu’il était interdit de cartographier des routes ou des installations non ouvertes au public. «Un de nos conducteurs a clairement enfreint notre règle et c'est une erreur», a reconnu un porte-parole de Google, Larry Yu.
Google a retiré les images de la base du site Google Earth après avoir été averti de la situation par les autorités militaires, a précisé le porte-parole.
@20minutes.fr
HUMAINS EN BOUCHERIE
Élevé en liberté, heureux avec des activités allant des cours de guitare aux cours de yoga. Avait accès à l'air climatisé :
Élevé en bureau. Sans air climatisé :
@usdesignstudio
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