A la recherche du soldat Jedi
Le Pentagone, la CIA et certaines unités spéciales se sont-ils intéressés au paranormal ? Jusqu’où ont été ces institutions pour comprendre le fonctionnement de la conscience ? A première vue, l’armée américaine ou l’agence de Langley n’ont pas hésité à repousser quelques limites rationnelles ou éthiques pour mener à bien certaines recherches alors que la guerre froide rendait Américains et Soviétiques frénétiques. D’une certaine façon, la CIA et le Pentagone pensaient pouvoir faire de certains soldats d’élite, des Dark Vador capables de tuer à distance par la seule force de l’esprit, de convaincre l’ennemi de désarmer par l’usage de techniques de manipulation psychologique ou encore de se projeter mentalement dans des bases secrètes hostiles situées aux confins de la Sibérie.
La possibilité de créer un super soldat et ou un super agent était, à une certaine époque, la quête du Graal Sacré pour la CIA et l’histoire de l’agence de Langley est riche en expériences portant sur le contrôle du comportement. Les tristement célèbres 149 sous programmes qui ont fait partie de MK-Ultra et qui ont généré un grand nombre de victimes en sont un exemple. Depuis la deuxième guerre mondiale, l’OSS puis la CIA se sont livrés avec un succès mitigé à un nombre impressionnant de recherches souvent totalement dénuées d’éthique pour comprendre le fonctionnement du cerveau et essayer de découvrir si certains pouvoirs surhumains, une sorte de supra intelligence, ne se cachaient pas au tréfonds de notre boîte crânienne. La CIA ne s’est donc pas uniquement contentée de chercher à faire de l’homme un vulgaire robot à la mémoire effaçable, un manchurian candidate qui pouvait tuer un homme suite à l’induction d’un état hypnotique actionné grâce à un mot code. D’où le nom d’opération Spellbinder.
Pour des raisons dont le sens profond nous échappe encore, l’agence s’est adonnée à des expériences et des simulacres d’expériences sur le paranormal, l’ésotérisme, les pratiques rituelles, religieuses et la magie noire. Quelques informations ont transpiré de documents déclassifiés ou de témoignages d’anciens membres de l’agence ou de militaires à la retraite.
Nous allons tenter de vous raconter quelques aspects de cette histoire apparemment incongrue où le Pentagone, la CIA ainsi que des corps d’élite de l’armée américaine ont flirté avec le paranormal....
...Lire le dossier sur Karmapolis
Le Pentagone, la CIA et certaines unités spéciales se sont-ils intéressés au paranormal ? Jusqu’où ont été ces institutions pour comprendre le fonctionnement de la conscience ? A première vue, l’armée américaine ou l’agence de Langley n’ont pas hésité à repousser quelques limites rationnelles ou éthiques pour mener à bien certaines recherches alors que la guerre froide rendait Américains et Soviétiques frénétiques. D’une certaine façon, la CIA et le Pentagone pensaient pouvoir faire de certains soldats d’élite, des Dark Vador capables de tuer à distance par la seule force de l’esprit, de convaincre l’ennemi de désarmer par l’usage de techniques de manipulation psychologique ou encore de se projeter mentalement dans des bases secrètes hostiles situées aux confins de la Sibérie.
La possibilité de créer un super soldat et ou un super agent était, à une certaine époque, la quête du Graal Sacré pour la CIA et l’histoire de l’agence de Langley est riche en expériences portant sur le contrôle du comportement. Les tristement célèbres 149 sous programmes qui ont fait partie de MK-Ultra et qui ont généré un grand nombre de victimes en sont un exemple. Depuis la deuxième guerre mondiale, l’OSS puis la CIA se sont livrés avec un succès mitigé à un nombre impressionnant de recherches souvent totalement dénuées d’éthique pour comprendre le fonctionnement du cerveau et essayer de découvrir si certains pouvoirs surhumains, une sorte de supra intelligence, ne se cachaient pas au tréfonds de notre boîte crânienne. La CIA ne s’est donc pas uniquement contentée de chercher à faire de l’homme un vulgaire robot à la mémoire effaçable, un manchurian candidate qui pouvait tuer un homme suite à l’induction d’un état hypnotique actionné grâce à un mot code. D’où le nom d’opération Spellbinder.
Pour des raisons dont le sens profond nous échappe encore, l’agence s’est adonnée à des expériences et des simulacres d’expériences sur le paranormal, l’ésotérisme, les pratiques rituelles, religieuses et la magie noire. Quelques informations ont transpiré de documents déclassifiés ou de témoignages d’anciens membres de l’agence ou de militaires à la retraite.
Nous allons tenter de vous raconter quelques aspects de cette histoire apparemment incongrue où le Pentagone, la CIA ainsi que des corps d’élite de l’armée américaine ont flirté avec le paranormal....
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