Le CNES ouvre les archives de ses "chasseurs d'ovnis" et lefigaro.fr vous présente quelques cas étranges. Scientifiques cartésiens ou fervents défenseurs des extra-terrestres, des passionnés observent le ciel, jour et nuit, pour découvrir ses moindres mystères. Et depuis des années, ces « ufologues » attendaient ce moment : le Centre National d'Etudes Spatiales (CNES) ouvre les archives de son département chargé de la collecte des pièces à convictions sur les « Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés ».
Héritier d’un institut créé en 1977, le Groupement pour l’Etude et l’Information sur les Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés (GEIPAN) mettra progressivement en ligne trente ans d’archives. Prenez toutefois note, qu'au moment de publier ce message, le serveur était planté dû au trop grand nombre de visites. Au menu : PV de gendarmerie, photos et vidéos, mais aussi le résultat de ses enquêtes. Avec des résultats qui laissent planer le doute : 9% des cas sont parfaitement expliqués, 33% le sont « probablement », mais 28% restent inexpliqués.
Au total, près de 100 000 pages de document seront mises en ligne. Le premier lot, qui représente 25% des archives, est mis en ligne jeudi. Les cas les plus anciens (certains remontent à 1937) seront ajoutés progressivement.
Lefigaro.fr vous livre les premiers éléments, à travers des cas représentatifs, connus de quelques passionnés.
* Le cylindre de Royan, 5 ans d’enquête
* L’étrange "RR3" de Cussac
* La soucoupe de Trans-en-Provence
* Le disque rouge du vol Nice-Londres
Voir aussi: Exemple du PV de gendarmerie après l'audition d'un témoin, en PDF