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dimanche 13 janvier 2008
UNE AUTRE VICTIME DU TASER
Un policier agressif dans son approche demande à une femme (Heidi Gill) de sortir de la voiture dans laquelle elle attendait le conducteur pour se faire reconduire après un party de mariage. Elle refuse. Il l'électrocute pour la faire sortir, lui donne des coups de pieds, elle titube et se frappe la tête sur la voiture. Elle crie de douleur. Il lui met les menottes et la pousse sur le siège arrière de la voiture de police. Il l'électrocute encore. Elle a été électrocuté 3 fois + toutes les fois où il essayait de l'assommer avec un choc électrique. La femme est complètement traumatisée. 32 ronds brûlés seulement sur ses pantalons.
Reportage et entrevue avec Heidi Gill à CBS
Et voici un reportage en français sur les dangers du taser :
Reportage et entrevue avec Heidi Gill à CBS
Et voici un reportage en français sur les dangers du taser :
9/11 - LETTRE D'EXCUSE
Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié reconnaissent avoir inventé la piste saoudienne.
C’est une humiliation rare : les deux experts les plus cités au monde à propos du financement des attentats du 11 septembre 2001 ont publié, au tarif publicitaire, dans de grands quotidiens leurs plates excuses pour s’être trompés de A à Z. Cette initiative est la conséquence d’un protocole d’accord signé avec la famille Bin Mahfouz pour mettre un terme aux procès en diffamation engagés. Cependant, faute de place, les lecteurs des journaux devront se contenter d’un démenti succinct et sans appel, alors que le protocole comprend 12 pages de rétractations portant sur 42 erreurs graves.
Tout sur Voltairenet.org
C’est une humiliation rare : les deux experts les plus cités au monde à propos du financement des attentats du 11 septembre 2001 ont publié, au tarif publicitaire, dans de grands quotidiens leurs plates excuses pour s’être trompés de A à Z. Cette initiative est la conséquence d’un protocole d’accord signé avec la famille Bin Mahfouz pour mettre un terme aux procès en diffamation engagés. Cependant, faute de place, les lecteurs des journaux devront se contenter d’un démenti succinct et sans appel, alors que le protocole comprend 12 pages de rétractations portant sur 42 erreurs graves.
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PRISON SANS BARREAU
Le journal britannique The Independant publie à la une un article choc : "Prisoners To Be Chipped Like Dogs" (Prisoniers pucés comme des chiens).
Le gouvernement britannique planifie l'implantation de puces électroniques sous la peau de milliers de prisonniers dans le but de faire plus de places dans les prisons surpeuplées. Ils pourront ainsi suivent par satellite les prisonniers grâce aux ondes radio. La puce, ou la Radio Frequency IDentification (RFID) Tag, grande comme deux grains de riz contient et communique toutes les informations sur l'identité du détenu.
On appelle aussi la puce la "Spychip" (Puce Espion). Elle est déjà utilisé pour tracer les animaux, le bétail et les bagages. On veux assi pucer tous les prisonniers pour garder ordre dans les prisons.
Ainsi on pourra retracer une personne pucée comme on retrouve une voiture volée avec le GPS. On pourra savoir si le prisonnier est près d'une zone qui lui est interdite comme une école primaire pour les abuseurs d'enfants. Une compagnie est même en train de développer une puce qui sera implantée plus profondément sous la peau et qui pourra vibrer, électrocuter, envoyer un message et recevoir des messages. Une autre compagnie a déjà parlé de pouvoir injecter un poison contenu dans la puce. Tout est possible !
Ils ont considéré le problème d'éthique mais comme les prisons sont surpeuplées, la fin justifie les moyens.
Mais la population sera-t-elle plus en sécurité avec ce système ? Pensez-y, le criminel sera toujours en liberté, rien ne l'empêchera de faire un crime violent. La seule différence c'est que le gouvernement saura que c'est lui qui l'a fait. De plus, quoi penser du fait qu'on peut cloner une puce. Les criminels dans des groupes organisés disposent de beaucoup d'argent et de moyens. Ils pourraient cloner la puce et l'implanter dans une personne honnête quelconque et s'enlever la sienne.
Pourquoi n'essaient-ils pas de réduire la criminalité plutôt que d'agrandir les prisons ?
De plus, Katherine Albrecht de spychips.com, affirme avoir en sa possession des études qui prouvent que des tumeurs cancéreuses se développent rapidement autour des puces électroniques implantées dans des souris et des chiens. En fait, un cancer fatal se développe dans 1 à 10 % des cas (EsoNews du 08-12-2007).
Le reste d'entre nous, c'est pour quand la puce !?
Vos rendez vous compte qu'ils appelent cela la Puce Espion ! Une fois tout le monde implanté, c'est le contrôle total sur nos vies, le droit de vie ou de mort.
Au Canada, selon la loi sur l'amirauté (loi maritime), lorsqu'un enfant naît, il est considéré comme un paquet arrivant au port du pays. On prend en note le jour et l'heure de sa livraison au pays. Puis le pays emprunte de l'argent aux banques sur sa tête. Plus tard, on donne à l'enfant un numéro de compagnie (Numéro d'Assurance Sociale) , une sorte de tag en fait. Le NAS est comme un numéro UPC (code à barres) pour les produit. Aujourd'hui, on colle des RFID (puces) sur les produits pour les suivre de la production, aux transport, à l'entreposage et à la vente. Chaque produit et même chaque boîte du produit a son propre numéro d'identification. C'est pareil pour le NAS, chaque canadien a son NAS unique. Nous sommes donc considérer comme des produits arrivés au pays et nous avons été donné en gage aux banques. Maintenant, ceux qui ont "intérêt" à suivre leurs produits, biens et gages sont les banques et les gouvernements. C'est pourquoi, pour eux, de nous pucer et nous contrôler semblent tout à fait logique et éthique. À leur yeux, nous leur appartenons.
Le gouvernement britannique planifie l'implantation de puces électroniques sous la peau de milliers de prisonniers dans le but de faire plus de places dans les prisons surpeuplées. Ils pourront ainsi suivent par satellite les prisonniers grâce aux ondes radio. La puce, ou la Radio Frequency IDentification (RFID) Tag, grande comme deux grains de riz contient et communique toutes les informations sur l'identité du détenu.
On appelle aussi la puce la "Spychip" (Puce Espion). Elle est déjà utilisé pour tracer les animaux, le bétail et les bagages. On veux assi pucer tous les prisonniers pour garder ordre dans les prisons.
Ainsi on pourra retracer une personne pucée comme on retrouve une voiture volée avec le GPS. On pourra savoir si le prisonnier est près d'une zone qui lui est interdite comme une école primaire pour les abuseurs d'enfants. Une compagnie est même en train de développer une puce qui sera implantée plus profondément sous la peau et qui pourra vibrer, électrocuter, envoyer un message et recevoir des messages. Une autre compagnie a déjà parlé de pouvoir injecter un poison contenu dans la puce. Tout est possible !
Ils ont considéré le problème d'éthique mais comme les prisons sont surpeuplées, la fin justifie les moyens.
Mais la population sera-t-elle plus en sécurité avec ce système ? Pensez-y, le criminel sera toujours en liberté, rien ne l'empêchera de faire un crime violent. La seule différence c'est que le gouvernement saura que c'est lui qui l'a fait. De plus, quoi penser du fait qu'on peut cloner une puce. Les criminels dans des groupes organisés disposent de beaucoup d'argent et de moyens. Ils pourraient cloner la puce et l'implanter dans une personne honnête quelconque et s'enlever la sienne.
Pourquoi n'essaient-ils pas de réduire la criminalité plutôt que d'agrandir les prisons ?
De plus, Katherine Albrecht de spychips.com, affirme avoir en sa possession des études qui prouvent que des tumeurs cancéreuses se développent rapidement autour des puces électroniques implantées dans des souris et des chiens. En fait, un cancer fatal se développe dans 1 à 10 % des cas (EsoNews du 08-12-2007).
Le reste d'entre nous, c'est pour quand la puce !?
Vos rendez vous compte qu'ils appelent cela la Puce Espion ! Une fois tout le monde implanté, c'est le contrôle total sur nos vies, le droit de vie ou de mort.
Au Canada, selon la loi sur l'amirauté (loi maritime), lorsqu'un enfant naît, il est considéré comme un paquet arrivant au port du pays. On prend en note le jour et l'heure de sa livraison au pays. Puis le pays emprunte de l'argent aux banques sur sa tête. Plus tard, on donne à l'enfant un numéro de compagnie (Numéro d'Assurance Sociale) , une sorte de tag en fait. Le NAS est comme un numéro UPC (code à barres) pour les produit. Aujourd'hui, on colle des RFID (puces) sur les produits pour les suivre de la production, aux transport, à l'entreposage et à la vente. Chaque produit et même chaque boîte du produit a son propre numéro d'identification. C'est pareil pour le NAS, chaque canadien a son NAS unique. Nous sommes donc considérer comme des produits arrivés au pays et nous avons été donné en gage aux banques. Maintenant, ceux qui ont "intérêt" à suivre leurs produits, biens et gages sont les banques et les gouvernements. C'est pourquoi, pour eux, de nous pucer et nous contrôler semblent tout à fait logique et éthique. À leur yeux, nous leur appartenons.
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