Cette biologiste suit les événements de près et dit les vraies affaires :
dimanche 20 juin 2010
LE PUITS DE L'ENFER
ÉTAT DE LA SITUATION
- Les autorités ont mis en place 30 centres de contamination pour laver les bateaux le long des côtes de la Louisiane et du Golfe.
- 30% du pétrole à la surface est récupéré.
Info venant de Richard C. Hoagland :
Selon lui, la vrai catastrophe n'est pas encore arrivée. Il a eu des renseignements privilégiés venant de BP et du gouvernement.
Les bateaux qui font la récupération du pétrole à la surface, auraient repérés, par GPS, l'émergence d'une bulle de gaz (méthane ?) de 15 à 20 milles de largeur et de 10 pieds de hauteur, autour du puits (shaft).
Un spécialiste pour fermer les puits, qui a travaillé au Koweit lors de la guerre du Golfe, a déjà écrit qu'il n'y a aucune sécurité avec des puits à cette profondeur, il avait averti BP. La pression est beaucoup trop forte : 100 000 livres de pression par pied carré, rien ne peut résister à cela. Ils ont quand même creusé à 22 000 pieds.
BP ont ignoré les avertissements, et en plus, ils ont fait des erreurs en bâtissant le puits.
Cette bulle de gaz, qu'il qualifie de "supersonique", peut créer une implosion supersonique, ce qu'on appelle la cavitation. Tous les bateaux dans les kilomètres environnants vont couler.
Le pire scénario à prévoir selon Hoagland : les formations de la croute terrestre sont en train de se briser sous les extrêmes pressions, on pourrait se retrouver avec une gigantesque explosion de gaz très toxiques qui seront balayés par les vents, et après, il y aurait un tsunami sur les côtes des États-Unis (la Floride est la plus vulnérable).
Ça pourrait arriver dans les semaines ou les mois à venir.
Hoagland à Coast to Coast AM :
Dans cette vidéo, qui est un extrait de Hoagland, voyez à la première minute, le sol qui a commencé à céder sous la pression :
Compte rendu en anglais de ce que dit Hoagland (vous pouvez le faire traduire)
- Les autorités ont mis en place 30 centres de contamination pour laver les bateaux le long des côtes de la Louisiane et du Golfe.
- 30% du pétrole à la surface est récupéré.
Info venant de Richard C. Hoagland :
Selon lui, la vrai catastrophe n'est pas encore arrivée. Il a eu des renseignements privilégiés venant de BP et du gouvernement.
Les bateaux qui font la récupération du pétrole à la surface, auraient repérés, par GPS, l'émergence d'une bulle de gaz (méthane ?) de 15 à 20 milles de largeur et de 10 pieds de hauteur, autour du puits (shaft).
Un spécialiste pour fermer les puits, qui a travaillé au Koweit lors de la guerre du Golfe, a déjà écrit qu'il n'y a aucune sécurité avec des puits à cette profondeur, il avait averti BP. La pression est beaucoup trop forte : 100 000 livres de pression par pied carré, rien ne peut résister à cela. Ils ont quand même creusé à 22 000 pieds.
BP ont ignoré les avertissements, et en plus, ils ont fait des erreurs en bâtissant le puits.
Cette bulle de gaz, qu'il qualifie de "supersonique", peut créer une implosion supersonique, ce qu'on appelle la cavitation. Tous les bateaux dans les kilomètres environnants vont couler.
Le pire scénario à prévoir selon Hoagland : les formations de la croute terrestre sont en train de se briser sous les extrêmes pressions, on pourrait se retrouver avec une gigantesque explosion de gaz très toxiques qui seront balayés par les vents, et après, il y aurait un tsunami sur les côtes des États-Unis (la Floride est la plus vulnérable).
Ça pourrait arriver dans les semaines ou les mois à venir.
Hoagland à Coast to Coast AM :
Dans cette vidéo, qui est un extrait de Hoagland, voyez à la première minute, le sol qui a commencé à céder sous la pression :
Compte rendu en anglais de ce que dit Hoagland (vous pouvez le faire traduire)
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