mercredi 2 juillet 2008
PANIQUE : TRANSFERT DE FONDS
Il y aurait soudainement une grande demande de transfert de fonds de la banque de l'ONU vers des banques de New York. Il y a eu tellement de demandes qu'il y un délai de 24 à 48 heures pour effectuer le transfert.
Article tiré d'un site payant :
WMR's United Nations sources report that there has been a sudden rush in requests for foreign exchange wire transfer requests from New York City banks. The sudden demand for transferring funds abroad has resulted in a 24 to 48-hour processing delay due to the sheer volume of requests.
Foreign employees at the United Nations are transferring their money from accounts at the United Nations Federal Credit Union (UNFCU) and other New York City banks, both domestic and foreign-owned, and the move has been sudden.
There has been no explanation for the sudden wire transfer activity, although the rumor mill suggests fears of a sudden economic collapse and/or a U.S. and Israeli military attack on Iran, which could touch off a wider regional conflict.
@http://www.waynemadsenreport.com/
Article tiré d'un site payant :
WMR's United Nations sources report that there has been a sudden rush in requests for foreign exchange wire transfer requests from New York City banks. The sudden demand for transferring funds abroad has resulted in a 24 to 48-hour processing delay due to the sheer volume of requests.
Foreign employees at the United Nations are transferring their money from accounts at the United Nations Federal Credit Union (UNFCU) and other New York City banks, both domestic and foreign-owned, and the move has been sudden.
There has been no explanation for the sudden wire transfer activity, although the rumor mill suggests fears of a sudden economic collapse and/or a U.S. and Israeli military attack on Iran, which could touch off a wider regional conflict.
@http://www.waynemadsenreport.com/
CHAMPIGNONS MAGIQUES
Les effets mystiques des champignons hallucinogènes sont durables
Les effets de bien-être spirituel et de plénitude provoqués par l'hallucinogène psilocybine contenu dans des champignons paraissent être durables, selon une petite étude publiée mardi aux États-Unis.
Des chercheurs de l'Université Johns Hopkins (Maryland) ont observé que la plupart des 36 volontaires qu'ils ont suivi, ayant pris de la psilocybine dans des conditions très contrôlées ont fait part d'effets bénéfiques ayant duré plus d'un an.
Les premiers résultats de cette étude clinique, visant à percer les secrets de ces champignons hallucinogènes, avaient été publiés en 2006.
«La vaste majorité de ces volontaires ont caractérisé leur expérience (depuis 14 mois) comme la plus ou l'une des plus constructives personnellement et aussi des plus significatives spirituellement de leur vie», explique le Dr Roland Griffiths, professeur de Psychiatrie et de neurosciences à l'université Johns Hopkins, principal auteur de cette communication parue dans le Journal of Psychopharmacology.
(...)
@cyberpresse
Les champignons contenant de la
psilocybine ont été utilisés dans
certaines cultures pendant
des siècles à des fins religieuses,
divinatoires ou par des guérisseurs.
psilocybine ont été utilisés dans
certaines cultures pendant
des siècles à des fins religieuses,
divinatoires ou par des guérisseurs.
Les effets de bien-être spirituel et de plénitude provoqués par l'hallucinogène psilocybine contenu dans des champignons paraissent être durables, selon une petite étude publiée mardi aux États-Unis.
Des chercheurs de l'Université Johns Hopkins (Maryland) ont observé que la plupart des 36 volontaires qu'ils ont suivi, ayant pris de la psilocybine dans des conditions très contrôlées ont fait part d'effets bénéfiques ayant duré plus d'un an.
Les premiers résultats de cette étude clinique, visant à percer les secrets de ces champignons hallucinogènes, avaient été publiés en 2006.
«La vaste majorité de ces volontaires ont caractérisé leur expérience (depuis 14 mois) comme la plus ou l'une des plus constructives personnellement et aussi des plus significatives spirituellement de leur vie», explique le Dr Roland Griffiths, professeur de Psychiatrie et de neurosciences à l'université Johns Hopkins, principal auteur de cette communication parue dans le Journal of Psychopharmacology.
(...)
@cyberpresse
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