Cruauté, violences psychologiques et sexuelles, humiliations..., la télé-réalité devient folle. Son arrivée au début des années 2000 ouvrait une nouvelle ère dans l'histoire de l'audiovisuel. 50 ans d'archives retracent l'évolution du divertissement : comment la mise en scène de l'intime, dans les années 80, a ouvert un nouveau champ, comment la privatisation des plus grandes chaînes a modifié le rapport au téléspectateur. A l'aide de spécialistes, dont le philosophe Bernard Stiegler, ce réquisitoire démontre comment l'émotion a fait place à l'exacerbation des pulsions les plus destructrices.
dimanche 29 mai 2011
CONSOMMER À EN MOURIR
À l’heure où la frénésie consumériste du temps des Fêtes bat son plein, ce document fait une analyse grinçante de l’évolution du comportement des consommateurs américains. Derrière l'attitude des acheteurs boulimiques, se profile entre autres, l’épuisement des ressources et l’accumulation des déchets. Des sociologues, psychologues et philosophes analysent les limites du credo d’aujourd’hui : «Je consomme donc je suis», de cette quête du bonheur à travers la possession de l’objet dernier cri.
NOTRE POISON QUOTIDIEN
La journaliste Marie-Monique Robin présente un film sur les produits chimiques présents dans nos aliments.
Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?
Entrevue et résumé du documentaire ici
Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?
Entrevue et résumé du documentaire ici
CONDITIONNEMENT ALIMENTAIRE
Une récente étude américaine suggère que l'état d'esprit des gens peut influencer la manière dont ils sont physiquement satisfaits après un repas et que cela va affecter leur prochaine sensation de faim (et l'idée de manger davantage). Les conclusions de cette étude pourrait aider à lutter contre l'obésité. Les chercheurs se sont concentrés sur la ghréline, que l'on nomme aussi « hormone de la faim » dans nos entrailles : elle stimule l'appétit et la sensation de faim. Le niveau de cette hormone s'accroît avant les repas et décroît après le repas, évidemment.
On a donné à des volontaires un milkshake de 380 calories en … mentant : on disait à un groupe que c'était 620 calories et à un autre, 140 calories. On s'est ensuite précipité pour voir l'action de ce mensonge (mais c'est pour la SCIENCE) sur les niveaux de ghréline. Ceux qui croyaient le milkshake comme super-calorique ont vu leur niveaux baisser bien plus après ingestion (par rapport à la normale). Ceux qui croyaient se nourrir faiblement voyaient le contraire : les niveaux de ghréline ne bougeaient quasiment pas.
Il est donc clair que l' « état d'esprit » lors de la consommation de nourriture a un impact sur la satiété.
sur la toile
On a donné à des volontaires un milkshake de 380 calories en … mentant : on disait à un groupe que c'était 620 calories et à un autre, 140 calories. On s'est ensuite précipité pour voir l'action de ce mensonge (mais c'est pour la SCIENCE) sur les niveaux de ghréline. Ceux qui croyaient le milkshake comme super-calorique ont vu leur niveaux baisser bien plus après ingestion (par rapport à la normale). Ceux qui croyaient se nourrir faiblement voyaient le contraire : les niveaux de ghréline ne bougeaient quasiment pas.
Il est donc clair que l' « état d'esprit » lors de la consommation de nourriture a un impact sur la satiété.
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