Selon la propriétaire du chat infortuné, les deux compagnies assurent que l’implant est sans danger alors que cela est faux. Elle demande des dommages et intérêts pour le préjudice subi.
L’implant contient un petit émetteur radio qui transmet un code d’identification quand l’animal est scanné par le refuge ou le vétérinaire qui l’a retrouvé. Les animaux perdus peuvent ainsi être identifiés et rapidement rendus à leurs propriétaires.

La propriétaire de Bulkin est persuadée que le cas de son chat n’est que la surface de l’iceberg. Elle et son avocat vont tenter de rallier des propriétaires d’animaux qui ont eu le même problème à leur cause.
Il y a à ce jour très peu de recherche sur les cancers pouvant être causés par la présence de puces électroniques. En revanche les associations de vétérinaires n’hésitent pas à souligner qu’elles ont permis de réunir plusieurs milliers d’animaux avec leurs propriétaires.
Un représentant d’un centre médical ajoute : « Nous pensons que tout risque associé à la puce électronique est largement compensé par les avantages qu’elle apporte. »
