samedi 20 décembre 2008
FIN DE LA DÉMOCRATIE ?
Après que le peuple étatsuniens se soit débarrassé de la bande de racailles des Bush en élisant Obama, le premier ministre canadien, Steven Harpen, s'est vu perdre ses précieux appuis du clan Bush. Son gouvernement fut déstabilisé juste après. Le parlement est fermé jusqu'au milieu de janvier en attendant de savoir ce que la Reine d'Angleterre décidera à propos du gouvernement de coalition qui veut prendre la place de Harper.
Et voilà qu'en Belgique, le premier ministre Yves Leterme, a présenté dans la soirée de vendredi, la démission de son équipe au roi Albert II. Son équipe était trempée dans des magouilles avec les juges.
Est-ce un signe de la fin de la démocratie ? Les Bush lui ont fait la vie dure en tout cas.
C'est amusant tout de même qu'on s'en remette à la royauté pour régler les problèmes de la démocratie. Serait-ce que la monarchie reprendrait du poil de la bête ? Il est certain qu'avec un gouvernement qui change aux 4 ans, il est difficile d'avoir une vision d'avenir cohérente et productive. Un roi, lui, demeure en place jusqu'à sa mort. Il a tout intérêt à prendre soin de son peuple. Un député, lui, ne cherche qu'à se faire réélire et toucher sa généreuse pension en bout de route.
M'enfin ! On voit que l'énergie change. Nous sommes moins tolérants et nous prenons position. Nous sommes en recherche d'intégrité et d'authenticité.
Si la légende du Grand Monarque qui viendra sauver l'humanité s'avère, on semble lui préparer le terrain en redonnant à la royauté le pouvoir sur la démocratie. Peu importe. Ces mouvements politiques me semblent, intuitivement, d'une grande importance pour l'avenir de l'humanité.
PENSER AU SEXE FAIT ÉTERNUER
C’est une étude très sérieuse que viennent de publier deux chercheurs britanniques dans le journal de la société royal de médicine et qui est reprise par l’enemble de la presse anglais. Pour cause, elle pourrait bien enfin donner une explication aux crises d’éternuement à répétition. Car, selon le Dr Mahmood Bhutta, ORL à l’hôpital John Radcliffe d’Oxford, en Angleterre, et son collègue le Dr Harold Maxwell, un psychiatre, éternuer ne serait pas seulement la conséquence d’un gros rhume ou d’un rayon de soleil dans l’oeil. Non, éternuer serait aussi la preuve que l’on est en train de penser au sexe.
Une nouvelle qui risque de provoquer plus d’un haussement de sourcils la prochaine fois que votre voisin éternuera dans le métro. Il n’empêche, les deux chercheurs sont formels et ont notamment étudié le cas d’un homme d’une quarantaine d’année ne pouvant s’empêcher d’éternuer dès qu’il pensait au sexe.
Et visiblement ce n’est pas le seul, ainsi quand on tape dans Google les requêtes sex et sneezing (éternuement), on obtient plus de 595.000 occurences et quelque 15.000 en tapant les mots en français.
@20minutes
Une nouvelle qui risque de provoquer plus d’un haussement de sourcils la prochaine fois que votre voisin éternuera dans le métro. Il n’empêche, les deux chercheurs sont formels et ont notamment étudié le cas d’un homme d’une quarantaine d’année ne pouvant s’empêcher d’éternuer dès qu’il pensait au sexe.
Et visiblement ce n’est pas le seul, ainsi quand on tape dans Google les requêtes sex et sneezing (éternuement), on obtient plus de 595.000 occurences et quelque 15.000 en tapant les mots en français.
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