
Comment ça marche? On ne sait pas trop. Wolfram jette un peu tout dans la marmite: «automatisation», «langage naturel», «heuristique», «savoir organisé». Il semble que d’un côté, il ait entrepris la tâche de «structurer le savoir» (mais pas selon les standards du Web sémantique), dans des domaines aussi variés que la science, la musique ou la cuisine. Et de l’autre, il peut le passer à la moulinette d’algorithmes dérivés de son célèbre logiciel Mathematica.
Nova Spivak, patron de Twine, un type plutôt calé sur le sujet «donnée organisée et structurée», est le seul au monde à avoir pu tester la bête pendant deux heures. Son verdict? «Wolfram Alpha pourrait être aussi important que Google.»
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@20 minutes