Dans cette entrevue avec Alex Jones sur le réseau RT, on y voit un extrait montrant Clinton avouant perdre la guerre de l'info aux mains des nouveaux réseaux d'information comme RT, Al Jazeera et un nouveau réseau multilingue en Chine dont l'anglais.
vendredi 4 mars 2011
LA SIXIÈME GRANDE EXTINCTION
La sixième grande extinction des espèces de l'histoire de la Terre est bien commencée, confirment des scientifiques américains.
Dans un article publié dans la revue Nature, des paléobiologistes de l'Université de Californie à Berkeley estiment qu'au rythme de destruction actuel, il ne faudrait pas plus de 400 ans pour que les trois quarts des espèces de mammifères disparaissent.
Les autres grandes vagues de disparition s'étaient déroulées sur des centaines et des millions d'années.
Selon le chercheur Anthony Barnosky, tout n'est cependant pas perdu.
Depuis les premières traces de vie fossile sur Terre, voici environ 540 millions d'années, les espèces ont connu cinq crises d'extinction grave, au cours desquelles plus de 75 % des espèces ont disparu. Toutefois, jusqu'à présent, des catastrophes ou des phénomènes naturels en étaient la cause, ce qui n'est pas le cas présentement. Cette fois, la menace est directement liée aux activités humaines, dont la liste est variée :
Les paléobiologistes ont utilisé comme thermomètre les mammifères, la classe d'animaux la plus précisément documentée à ce jour.
Leurs calculs montrent que 80 des 5570 espèces de mammifères recensées ont disparu au cours des 500 dernières années. La moyenne était de moins de deux extinctions par million d'années précédemment.
L'extinction la plus brutale, la dernière en date, a été déclenchée au crétacé, il y a quelque 65 millions d'années, vraisemblablement lorsqu'un astéroïde d'environ 15 km s'est abattu sur la Terre, dans l'actuelle péninsule du Yucatan au Mexique. La collision fut d'une puissance équivalente à 1 milliard de bombes atomiques. Conséquence : 76 % des espèces auraient disparu, en particulier les dinosaures.
Radio-Canada.ca
Dans un article publié dans la revue Nature, des paléobiologistes de l'Université de Californie à Berkeley estiment qu'au rythme de destruction actuel, il ne faudrait pas plus de 400 ans pour que les trois quarts des espèces de mammifères disparaissent.
Les autres grandes vagues de disparition s'étaient déroulées sur des centaines et des millions d'années.
Selon le chercheur Anthony Barnosky, tout n'est cependant pas perdu.
Jusqu'à présent, seul 1 % à 2 % de toutes les espèces se sont éteintes dans les groupes que nous connaissons. Il semble que nous ne sommes pas encore très avancés dans la voie de l'extinction. Nous pouvons encore en sauver beaucoup.La vie sur Terre
— Anthony Barnosky
Depuis les premières traces de vie fossile sur Terre, voici environ 540 millions d'années, les espèces ont connu cinq crises d'extinction grave, au cours desquelles plus de 75 % des espèces ont disparu. Toutefois, jusqu'à présent, des catastrophes ou des phénomènes naturels en étaient la cause, ce qui n'est pas le cas présentement. Cette fois, la menace est directement liée aux activités humaines, dont la liste est variée :
- destruction des écosystèmes
- surexploitation des ressources
- dissémination de microbes et de virus
- introduction accidentelle ou inconsidérée d'espèces dans un nouveau milieu
- réchauffement climatique, etc.
Les paléobiologistes ont utilisé comme thermomètre les mammifères, la classe d'animaux la plus précisément documentée à ce jour.
Leurs calculs montrent que 80 des 5570 espèces de mammifères recensées ont disparu au cours des 500 dernières années. La moyenne était de moins de deux extinctions par million d'années précédemment.
Le rythme d'extinction actuel ressemble étrangement à celui des crises massives d'extinction du passé, même avec une définition assez restrictive.Les cinq grandes crises précédentes se sont déroulées sur une échelle de temps géologique beaucoup plus longue, sur des centaines de milliers, voire des millions d'années.
— Anthony Barnosky
L'extinction la plus brutale, la dernière en date, a été déclenchée au crétacé, il y a quelque 65 millions d'années, vraisemblablement lorsqu'un astéroïde d'environ 15 km s'est abattu sur la Terre, dans l'actuelle péninsule du Yucatan au Mexique. La collision fut d'une puissance équivalente à 1 milliard de bombes atomiques. Conséquence : 76 % des espèces auraient disparu, en particulier les dinosaures.
Radio-Canada.ca
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