En a-ton trop fait sur la grippe H1N1 ? La question se pose toujours alors qu'une recherche conduite aux Etats-Unis et publiée mardi montre que l'infection par la souche H1N1 de la pandémie grippale de 2009 a présenté un risque plus faible de complications graves que d'autres récents virus de la grippe. Alors que de nombreux Etats ont consacré des sommes considérables à l'achat de vaccins, une analyse statistique de cas de grippe dans le Wisconsin (nord) montre que les personnes ayant été infectées par le virus H1N1 étaient plus jeunes que celles qui ont été contaminées en 2007-2008 par la souche H3N2.
Le risque de complications graves n'a pas été plus grand chez les adultes et les enfants atteint par le virus H1N1 de 2009 comparativement aux souches virales des récentes saisons de grippe, constate le Dr Edward Belongia, de la "Marshfield Clinic Research Foundation", principal auteur des travaux parus dans le Journal of the American Medical Association (JAMA). Ces chercheurs ont répertorié 545 cas de contamination par le virus pandémique H1N1 de 2009, 221 cas de grippe avec le virus H1N1 de la grippe saisonnière et 632 patients infectés avec le virus H3N2 de la saison grippale 2007/2008. L'âge médian des sujets de l'étude était respectivement de 10, 11 et 25 ans.
(...) TF1
Ça vaut la peine d'expliquer un peu où Khalezov nous amène : (message précédent)
Lorsqu'une bombe nucléaire explose dans le sol, à une certaine profondeur, il se crée une bulle de roc extrêmement compressée qui contient toute la radioactivité. La radioactivité sera émise très doucement au travers du roc durant des années. Toutefois, l'onde de choc qui résulte de l'explosion, pulvérise littéralement tout au alentour jusqu'à une certaine circonférence. Si la bombe est placée juste assez profond sous le WTC, il se créera la bulle compressée et on s'arrangera pour que l'onde de choc se propage par les sous-sols du WTC. L'onde de choc finissant juste au niveau des sous-sols, elle se propagera dans l'édifice, qui agit comme un tube conducteur, mais l'onde ne se rendra pas jusqu'au niveau de la rue. Selon Khalezov, ceci est connu et facilement calculable. L'onde de choc entrera par les sous-sols et se propagera dans l'édifice jusqu'à une certaine hauteur. C'est pourquoi ils ont dû mettre des charges explosives dans les étages supérieures car l'onde de choc ne se rendait pas jusqu'en haut de l'édifice. Pensez-y, l'édifice a été pulvérisé (réduit en poussières) ! Imaginez la puissance de choc que cela prend pour pulvériser un tel édifice.
Voyez l'image ci-dessous. Cela explique comment la destruction nucléaire d'un édifice fonctionne.
La partie grisée n'est pas détruite par les ondes de choc. Vous souvenez-vous que seul le bout du WTC n'a pas été pulvérisé ? Voir la vidéo :
Pas étonnant qu'on ait appelé l'endroit "Ground Zero". Ground Zero est, entre autres, le nom donné au lieu d'impact d'une bombe nucléaire.
Voici la définition de "GROUND ZERO" venant du "Longman Advanced American Dictionary" avant et après le 9/11 :
Avant le 9/11 : Définition du dictionnaire publié en 2000 "l'endroit où une bombe nucléaire explose, là où la bombe cause les dommages les plus sévères"
Après le 9/11 : Définition du dictionnaire publié en 2007
"1.l'endroit où unegrosse bombeexplose, là où la bombe cause les dommages les plus sévères 2.l'endroit à New York où le World Trade Center a été détruit par des terroristes le 11 septembre 2001"
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Ça ressemble à du camouflage !
TF1
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