lundi 15 décembre 2008
DU COKE COMME PESTICIDE
En Inde, des cultivateurs, après avoir entendu que le coke et le pepsi contient un taux élevé de pesticide, ont décidé d'utiliser le coke et le pepsi comme pesticide dans leurs champs. Ils disent que cela semble fonctionner et ça leur coûte 3 à 4 fois moins cher que les pesticides habituels.
UN ÉLÈVE S'INDIGNE
... face au système d'éducation aux USA. Dans son livre d'histoire, on parle
- du Nouvel Ordre Mondial;
- et du libre-échange Canda-USA-Mexique comme étant au centre de ce N.O.M.;
- du succès de la lutte contre la drogue alors qu'on sait que c'est un échec car ils se financent avec l'argent de la drogue.
LA FED REFUSE DE DIVULGUER
La Réserve Fédérale étasunienne refuse de divulguer à Bloomberg News où sont allés les 2 000 000 000 000 $ de l'argent des taxes. Pourquoi cacher cette information ? Ça sent la magouille.
DETTE ILLÉGALE
Le Président de l’Equateur, Rafael Correa, a aujourd’hui annoncé que son gouvernement n’honorera pas le remboursement de 3,8 milliards de dollars d’obligations d’Etat, détenues par des institutions financières étrangères :
(...)
« Je viens d’ordonner de ne pas payer les intérêts de la dette. Le pays est donc en état de défaut de paiement vis-à-vis de la dette extérieure, » déclara Correa. « Nous assumons entièrement la responsabilité de cet acte. »
Correa avait déjà prévenu le 20 novembre qu’il comptait ne pas payer cette partie de la dette, considérée comme « illégitime, malhonnête et illégale, » comme l’affirmaient les conclusions publiées ce jour là par la Commission pour l’audit complet du crédit public (CAIC), Commission que le gouvernement avait constituée en juillet 2007.
(...)
@solidarite et progres
(...)
« Je viens d’ordonner de ne pas payer les intérêts de la dette. Le pays est donc en état de défaut de paiement vis-à-vis de la dette extérieure, » déclara Correa. « Nous assumons entièrement la responsabilité de cet acte. »
Correa avait déjà prévenu le 20 novembre qu’il comptait ne pas payer cette partie de la dette, considérée comme « illégitime, malhonnête et illégale, » comme l’affirmaient les conclusions publiées ce jour là par la Commission pour l’audit complet du crédit public (CAIC), Commission que le gouvernement avait constituée en juillet 2007.
(...)
@solidarite et progres
TENTATIVE DE GÉNOCIDE ?
Robert Mugabe, président du Zimbabwe, affirment que l'épidépie de choléra qui sévit dans son pays présentement est un acte terroriste perpétré par l'Angleterre, l'épidémie donnant un prétexte pour envahir et déstabiliser le pays.
HARARE, Zimbabwe, 13 décembre 2008/African Press Organization (APO)/ — L’épidémie de choléra et la disparition de militants sont venues s’ajouter aux difficultés économiques et politiques du Zimbabwé pour créer une situation très grave sur le plan des droits de l’homme, a déclaré l’ambassadeur des États-Unis, M. James McGee, en incitant les États limitrophes de ce pays à agir en vue d’améliorer la situation.
Lors d’une conférence de presse organisée le 11 décembre par le département d’État, il a dit : « Un seul homme, Robert Mugabe, entouré de sa bande tient le pays en otage, et le Zimbabwé est en train de tomber rapidement au rang d’État en faillite. »
(...)
Les États africains ne font que dire qu’il s’agit d’un problème africain et qu’il faut une solution africaine, mais jusqu’ici ils ont été peu disposés à agir et à indiquer ce qu’était cette solution africaine, a-t-il dit en ajoutant : « La solution africaine est très simple : faire partir Robert Mugabe. »
(...)
@US Department of State
On dit aussi dans la presse africaine :
HARARE, Zimbabwe, 13 décembre 2008/African Press Organization (APO)/ — L’épidémie de choléra et la disparition de militants sont venues s’ajouter aux difficultés économiques et politiques du Zimbabwé pour créer une situation très grave sur le plan des droits de l’homme, a déclaré l’ambassadeur des États-Unis, M. James McGee, en incitant les États limitrophes de ce pays à agir en vue d’améliorer la situation.
Lors d’une conférence de presse organisée le 11 décembre par le département d’État, il a dit : « Un seul homme, Robert Mugabe, entouré de sa bande tient le pays en otage, et le Zimbabwé est en train de tomber rapidement au rang d’État en faillite. »
(...)
Les États africains ne font que dire qu’il s’agit d’un problème africain et qu’il faut une solution africaine, mais jusqu’ici ils ont été peu disposés à agir et à indiquer ce qu’était cette solution africaine, a-t-il dit en ajoutant : « La solution africaine est très simple : faire partir Robert Mugabe. »
(...)
@US Department of State
S'abonner à :
Messages (Atom)