Au Japon, cela fait longtemps que l'on s'intéresse à la robotique et 15 ans que l'on essaie de fabriquer une combinaison permettant de soulager les efforts musculaires. L'équipe du professeur Shigeki Toyama de l'université de Tokyo a développé une combinaison qui assiste la force humaine. M. Toyama prévoit de mettre en place une société pour la production de sa combinaison dès la fin de cette année.
En moyenne, cette combinaison d'assistance musculaire permet de réduire l'effort physique de 62 %. Cette combinaison pourrait être utile aux industries qui veulent soulager les efforts de leurs ouvriers. Lorsque l'on plie les genoux, cette combinaison permet de réduire l'activité musculaire de moitié par exemple. Le “Robosuit” devrait arriver sur le marché japonais dès 2012 au prix de 8500 euros environ. Ce prix pourrait être diminué de moitié en cas de grande production.
sur la toile
telegraph
samedi 10 avril 2010
LES EXTRATERRESTRES SUR TERRE ?
Un sondage effectué dans 22 pays avec 23000 adultes répondants tente de comprendre ce que les gens pensent sur l'existence des extraterrestres :
En Inde et en Chine, 40 % des répondants croient que les extraterrestres vivent sur la Terre avec une apparence humaine.
En Belgique, Suède et au Pays-Bas, seulement 8% croient que des extraterrestres vivent parmi nous.
Les hommes sont plus enclin à y croire que les femmes (22% pour les hommes et 17% pour les femmes).
Tout pays, sexe, classe de revenus confondus, la plupart de ceux qui y croient ont moins de 35 ans.
telegraph
En Inde et en Chine, 40 % des répondants croient que les extraterrestres vivent sur la Terre avec une apparence humaine.
En Belgique, Suède et au Pays-Bas, seulement 8% croient que des extraterrestres vivent parmi nous.
Les hommes sont plus enclin à y croire que les femmes (22% pour les hommes et 17% pour les femmes).
Tout pays, sexe, classe de revenus confondus, la plupart de ceux qui y croient ont moins de 35 ans.
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VAGUE DE SUICIDES SOUS ENQUÊTE
France Télécom est-elle responsable du suicide de ses employés? C'est la question que pose la justice française en lançant, jeudi, une information judiciaire sur une situation qui préoccupe tout le pays.
L'enquête vise France Télécom et trois de ses dirigeants. Il s'agit d'une première en France : jamais une réorganisation dans une entreprise n'a constitué une infraction pénale.
Elle doit permettre d'étudier l'importante restructuration mise en place par l'entreprise, en 2006, et déterminer si elle a poussé au suicide pas moins de 48 salariés.
C'est le nombre de victimes avancé par l'Union syndicale solidaire (SUD), une des plus importantes organisations au sein de l'entreprise. De son côté, France Télécom reconnaît que 32 employés se sont enlevé la vie entre 2008 et 2009.
L'hiver dernier, le syndicat a déposé une plainte formelle devant la justice et se dit en mesure de présenter des preuves concernant au moins 14 cas de suicides, tentatives de suicide et dépressions graves.
L'organisation syndicale se dit également convaincue de la responsabilité de France Télécom dans tous les autres cas de suicides d'employés survenus au cours des quatre dernières années.
Le plan « Next », le grand responsable
Au centre de toute cette histoire : le plan baptisé « Next », que France Télécom a appliqué en 2006.
« Next » était basé sur trois principes assez simples : simplicité, innovation et performance. Le géant européen des communications misait alors sur la convergence des services et espérait devenir, en trois ans, une référence dans son domaine, autant auprès de sa clientèle que de ses actionnaires.
Pour y arriver, France Télécom a dû supprimer 22 000 emplois et muter plus de 10 000 personnes vers un nouvel emploi ou une autre région.
Les premiers cas de suicides potentiellement liés à ce chambardement sont répertoriés dans les mois qui ont suivi sa mise en application. Depuis, des gestes malheureux font la manchette dans les médias nationaux presque chaque mois.
Dans un rapport remis en mars 2010, le bureau de l'Inspection du travail mentionne que les dirigeants de France Télécom ont « mis en danger la vie d'autrui » et ont fait du « harcèlement moral » pour arriver à leurs fins.
Le bureau ajoute que la réorganisation était « de nature à porter des atteintes graves à la santé des travailleurs ».Ce rapport, jumelée à plusieurs autres études menées depuis 2006, sera bientôt scruté à la loupe par la justice française dans le cadre de la procédure qui vient de s'enclencher.
Radio-Canada
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Vidéo : Employeur/ Suicide: quelle responsabilité?
Vidéo - Mozinor tente d'en rire
L'enquête vise France Télécom et trois de ses dirigeants. Il s'agit d'une première en France : jamais une réorganisation dans une entreprise n'a constitué une infraction pénale.
Elle doit permettre d'étudier l'importante restructuration mise en place par l'entreprise, en 2006, et déterminer si elle a poussé au suicide pas moins de 48 salariés.
C'est le nombre de victimes avancé par l'Union syndicale solidaire (SUD), une des plus importantes organisations au sein de l'entreprise. De son côté, France Télécom reconnaît que 32 employés se sont enlevé la vie entre 2008 et 2009.
L'hiver dernier, le syndicat a déposé une plainte formelle devant la justice et se dit en mesure de présenter des preuves concernant au moins 14 cas de suicides, tentatives de suicide et dépressions graves.
L'organisation syndicale se dit également convaincue de la responsabilité de France Télécom dans tous les autres cas de suicides d'employés survenus au cours des quatre dernières années.
Le plan « Next », le grand responsable
Au centre de toute cette histoire : le plan baptisé « Next », que France Télécom a appliqué en 2006.
« Next » était basé sur trois principes assez simples : simplicité, innovation et performance. Le géant européen des communications misait alors sur la convergence des services et espérait devenir, en trois ans, une référence dans son domaine, autant auprès de sa clientèle que de ses actionnaires.
Pour y arriver, France Télécom a dû supprimer 22 000 emplois et muter plus de 10 000 personnes vers un nouvel emploi ou une autre région.
Les premiers cas de suicides potentiellement liés à ce chambardement sont répertoriés dans les mois qui ont suivi sa mise en application. Depuis, des gestes malheureux font la manchette dans les médias nationaux presque chaque mois.
Dans un rapport remis en mars 2010, le bureau de l'Inspection du travail mentionne que les dirigeants de France Télécom ont « mis en danger la vie d'autrui » et ont fait du « harcèlement moral » pour arriver à leurs fins.
Le bureau ajoute que la réorganisation était « de nature à porter des atteintes graves à la santé des travailleurs ».Ce rapport, jumelée à plusieurs autres études menées depuis 2006, sera bientôt scruté à la loupe par la justice française dans le cadre de la procédure qui vient de s'enclencher.
Radio-Canada
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