jeudi 18 octobre 2007

SOJA DE MOINS EN MOINS ADAPTÉ

Les plants de soja sélectionnés au fil des décennies pour leurs hauts rendements et leur résistance à certaines maladies sont moins efficaces que les anciennes variétés pour profiter des bactéries fixatrices d’azote, selon une étude publiée cette semaine. L’azote est l’un des nutriments essentiels des plantes. Contrairement à une céréale comme le blé, une légumineuse comme le soja est capable de fixer l’azote présent dans le sol grâce à l’action bénéfique de certaines bactéries, les rhizobium.

Des travaux récents menés par Ford Denison (University of Minnesota) et ses collègues ont montré que les plants de soja faisaient le tri entre le bon grain et l’ivraie : la plante récompense les ‘’bonnes’’ bactéries fixatrices d’azote en leur fournissant les produits dérivés de la photosynthèse dont elles ont besoin mais sanctionne les bactéries qui font ‘’semblant’’ de fixer l’azote.

Denison et ses collègues américains et hollandais se sont demandés comment cette capacité à faire le tri évoluait chez les semences de soja qui, souvent, sont plantées en alternance avec d’autres cultures sur des sols artificiellement fertilisés. Parfois les agriculteurs ajoutent des bactéries fixatrice d’azote avec les semences de soja.

En comparant les cultures de six variétés de soja représentatives de l’évolution des semences utilisées depuis 60 ans, les chercheurs ont constaté que les variétés récentes poussaient moins bien lorsque des bactéries ‘’simulatrices’’ étaient présentes dans le sol. Ce soja parvenait moins bien à établir la symbiose avec les bactéries utiles que les variétés plus anciennes.

Les chercheurs, qui publient leurs résultats dans les Proceedings (B) of the Royal Society of London, craignent que ces mauvaises performances diminuent les rendements du soja dans les pays où les sols ne reçoivent pas autant d’engrais azotés qu’en Occident.
Sciences et Avenir.com

GAG, SOUCOUPE VOLANTE

ENFANTS INDIGOS

La pédagogie pour "Enfant Indigo" diffère des techniques traditionnelles. L'important est de comprendre l'origine et l'aboutissement de ce phénomène social nouveau et surprenant. L'ésotériste répond-il par ces explications ? Rudolf Steiner avait prévu la prochaine étape de l'humanité terrestre: Jupiter.

LE GRAND-PÈRE DE L'ADN DÉRAPE

Je poste cette article seulement pour montrer un discours raciste qui prend de plus en plus de place en occident.

James Watson est un professionnel de la polémique. Le scientifique de 79 ans a laissé entendre dans les colonnes du Sunday Times que les Africains seraient moins intelligents que les occidentaux. Venant de n’importe qui, ces quelques mots passeraient pour un dérapage raciste de plus. Mais voilà, James Watson n’est pas n’importe qui: ce biochimiste américain a reçu le prix Nobel — avec Francis Crick et Maurice Wilkins en 1962 — pour l’étude de la structure de l’acide désoxyribonucléique (ADN). Ce qui lui a valu, depuis la mort de Francis Crick, le surnom de grand-père de l’ADN. Molécule centrale, complexe, logée dans le noyau des cellules et portant l’héritage génétique des êtres vivants.

«Capacités intellectuelles moindres»

Interrogé par le Times, quelques jours avant la sortie de son prochain livre «Eviter les gens ennuyants», James Watson n’y va pas par quatre chemins : «Mon espoir est que tous les hommes sont égaux mais les gens qui ont eu affaire avec des employés noirs se sont rendus compte que ce n’était pas vrai.» Et d’ajouter que, selon lui, «il n’y a aucune raison solide d'avancer que les capacités intellectuelles des peuples géographiquement séparés dans leur évolution prouveraient qu’ils ont évolué de manière identique».

Stockholm reste muet

Lors de cet entretien, le scientifique s’est même risqué à des prédictions géopolitiques: Il se dit «fondamentalement triste au sujet du devenir de l’Afrique» parce «toutes nos politiques sociales sont fondées sur le fait que leur intelligence (celles des Africains) est identique aux nôtres (Ndlr: occidentaux) alors que tous les tests disent pas vraiment».

Et pour enfoncer le clou, James Watson avance une explication génétique: «Le gène à l’origine des différences au niveau de l’intelligence humaine pourrait être identifié d’ici dix à quinze ans.»

Un prix Nobel peut-il dire que les Africains sont dotés d’une capacité de réflexion moindre et ce sur une base génétique? Contacté par 20minutes.fr, Hans Jörnvall, secrétaire du comité Nobel à l'institut Karolinska (Stockholm) — l ’organisme qui décerne le prix Nobel de médecine — ne veut pas commenter les propos de James Watson.

OVNI EN VIRGINIE


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