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lundi 3 janvier 2011

H1N1 : LA PROPAGANDE DE LA PEUR RECOMMENCE EN ANGLETERRE

On y dit que des gens meurent de la grippe dont des enfants de moins de 5 ans qu'il faut absolument vacciner. On y dit aussi que le gens sont mal informés et que le gouvernement doit s'engager dans une campagne de vaccination.

J'ai l'impression que les gens se souviennent de l'arnaque de l'année passée, je l'espère du moins. Comme le ridicule ne tue pas, les compagnies pharmaceutiques se lèchent les babines en voyant les profits futurs de la vente de vaccins à des gouvernements complices.

mardi 14 décembre 2010

H1N1 : AUGMENTATION DE 700% DE FAUSSE COUCHE

Selon les US Centers for Disease Control, le taux de fausse couche a augmenté de 700% durant la pandémie de 2009 de H1N1, comparé aux années précédentes.

Un lien avec le vaccin ?
NaturalNews

lundi 20 septembre 2010

VACCINE LIBERATION ARMY

Eileen Dannemann a créé le mouvement "Vaccine Liberation Army" qui a pour mission d'informer la population sur les dangers de la vaccination. Elle veut particulièrement informer les jeunes de ces dangers. C'est pourquoi ils vendent des autocollants à l'effigie du mouvement, pour ceux qui aimeraient en distribuer, mais essentiellement, ils vont dans les écoles et distribuent les autocollants pour alimenter le débat. Les jeunes vont sur le sites et écoutent les vidéos qui les renseignent.

C'est ça manifester sa volonté.
Vaccine Liberation Army

Elle est interviewée à l'émission de Gary Null
Part 1

Part 2

mercredi 8 septembre 2010

LA H1N1 PLUS BÉNIGNE QUE DE RÉCENTES GRIPPES

En a-ton trop fait sur la grippe H1N1 ? La question se pose toujours alors qu'une recherche conduite aux Etats-Unis et publiée mardi montre que l'infection par la souche H1N1 de la pandémie grippale de 2009 a présenté un risque plus faible de complications graves que d'autres récents virus de la grippe. Alors que de nombreux Etats ont consacré des sommes considérables à l'achat de vaccins, une analyse statistique de cas de grippe dans le Wisconsin (nord) montre que les personnes ayant été infectées par le virus H1N1 étaient plus jeunes que celles qui ont été contaminées en 2007-2008 par la souche H3N2.

Le risque de complications graves n'a pas été plus grand chez les adultes et les enfants atteint par le virus H1N1 de 2009 comparativement aux souches virales des récentes saisons de grippe, constate le Dr Edward Belongia, de la "Marshfield Clinic Research Foundation", principal auteur des travaux parus dans le Journal of the American Medical Association (JAMA). Ces chercheurs ont répertorié 545 cas de contamination par le virus pandémique H1N1 de 2009, 221 cas de grippe avec le virus H1N1 de la grippe saisonnière et 632 patients infectés avec le virus H3N2 de la saison grippale 2007/2008. L'âge médian des sujets de l'étude était respectivement de 10, 11 et 25 ans.
(...)
TF1

jeudi 5 août 2010

H1N1 : CONTRATS RIGIDES ET DÉSÉQUILIBRÉS

Un an après la signature des contrats, le Sénat épingle la gestion de la pandémie de grippe A/H1N1. Un rapport de la chambre estime que que le gouvernement a été "empêtré" dans des contrats "déséquilibrés" et rigides signés avec les producteurs de vaccins, qui ne lui ont pas laissé "beaucoup de choix".

Pour les sénateurs, l'ensemble des contrats signés "se caractérisent par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses". Ils relèvent "l'absence de clause de révision" et "le transfert à l'Etat de la responsabilité des laboratoires du fait des produits défectueux". Ils s'étonnent aussi de la "confidentialité des contrats", levée suite à la demande de journalistes. L'acquéreur n'a pas bénéficié non plus de certaines garanties, notamment sur l'efficacité et la sécurité du vaccin, et ne disposait que de calendriers de livraison "purement indicatifs", notent les sénateurs.

Résiliation de 50 millions de doses

Le rapport de la commission d'enquête du Sénat, publié jeudi, est le 3e rapport parlementaire sur la gestion de la pandémie, après celui de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), publié fin juin, et celui de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, publié à la mi-juillet. La commission sénatoriale était présidée par François Autain, du groupe communiste républicain et citoyen.

Le rapport, rédigé par l'UMP Alain Milon, a été complété par des contributions critiques des sénateurs d'opposition. Le rapport s'intéresse particulièrement aux contrats signés en juillet-août 2009 avec les fabricants pour 94 millions de doses, dont 50 millions ont fait l'objet d'une résiliation début janvier.
TF1

vendredi 11 juin 2010

VACCINS : ALLERGIE

Une amie qui a des problèmes respiratoires graves depuis quelques jours, est allé chez le médecin aujourd'hui. Le médecin lui a dit que c'est dû à une allergie puissante. Il lui avoue que depuis le début du beau temps au Québec, il y a énormément d'allergie, c'est du jamais vu; une vraie épidémie. Je me demandais : qu'est-ce qu'ils ont tous en commun pour avoir des allergies ainsi ? Au Québec, si je me souviens bien, c'est autour de 60% des gens qui se sont faits vaccinés contre le H1N1. Quand on sait que les vaccins affaiblissent le système immunitaire pour au moins un an...

On garde cela dans la filière 13 en attendant d'avoir plus d'info !

samedi 24 avril 2010

VACCIN : J-J CRÈVECOEUR LANCE L'ALERTE

Extrait
(...)
Pourtant, que vous le vouliez ou non, l'OMS continue de nous prendre pour de sinistres crétins en niant l'évidence de sa situation de corruption (voir référence), mais en plus, on nous annonce que les autorités sanitaires et les laboratoires états-uniens accélèrent le développement de nouvelles techniques de production de vaccins, à base de cultures cellulaires cancérisées (bonjour l'explosion des cancers dans les prochaines années) et à base de technique de recombinaison génétique (bonjour les humains OGM dégénérés !) (voir référence).

Quand vous aurez lu ces deux petits articles, vous comprendrez que nous ne pouvons pas prendre ces informations à la légère. Car si nous ne faisons rien, cette vaccination obligatoire à laquelle nous avons échappé de justesse nous retombera sur la figure beaucoup plus rapidement que nous ne l'imaginons, et sans laisser, cette fois, aux lanceurs d'alertes la possibilité d'alerter la population...

Je ne vous cache pas que je suis extrêmement préoccupé et inquiet de ce qui se prépare. Dans ce contexte, il m'est difficile de ne pas me poser certaines questions...
(...)
Lire la suite

mardi 6 avril 2010

H1N1 : LES VACCINÉS SONT PLUS À RISQUE

Les personnes vaccinées contre la grippe saisonnière ont-elles été plus exposées au risque de contracter le virus H1N1 que les autres?

Des épidémiologistes britanno-colombiens ne peuvent établir un lien de cause à effet clair, mais ils évoquent cette possibilité.

Au printemps 2009, la Dre Danuta Skowronski et ses collègues du Centre de contrôle des maladies de Colombie-Britannique ont remarqué que les élèves d'une école qui présentaient les symptômes du virus H1N1 avaient été plus souvent vaccinées contre la grippe saisonnière que ceux restés en bonne santé.

Pas moins de 2700 personnes de quatre provinces (Colombie-Britannique, Alberta, Ontario et Québec) ont depuis participé à quatre études pour vérifier l'existence d'un rapport.

Une première recherche a confirmé que le vaccin protégeait contre la grippe saisonnière, mais qu'il semblait associé à un risque accru de 68 % de contracter le virus H1N1.

Trois autres études donnent des résultats semblables et établissent que la probabilité de contracter le H1N1 est multipliée par des facteurs situés entre 1,4 et 2,5 pour les personnes vaccinées.

Le risque d'hospitalisation pour les patients atteints de H1N1 n'a cependant pas augmenté pour ces personnes.

Ne pas sauter aux conclusions

Les auteurs des travaux pensent qu'il est encore trop tôt pour établir un lien clair. Leurs résultats, selon eux, peuvent être influencés par d'autres facteurs extérieurs qui n'ont pas été pris en compte dans leur recherche.

Le détail de ces travaux sera publié prochainement dans la revue PLoS Medecine.
radio-canada

jeudi 25 mars 2010

H1N1 : L'OMS ACCUSÉE

Moins d'un an après l'apparition du virus H1N1, l'OMS est aujourd'hui sur la sellette. L'Organisation mondiale de la santé a-t-elle déclaré hâtivement le plan de lutte contre une pandémie ? C'est l'enquête du 20 heures.
VIDÉO

jeudi 11 février 2010

H1N1 : UNE PANDÉMIE EXAGÉRÉE

Enfin, on se réveille au Québec :
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MONTRÉAL - Des experts québécois et européens accusent l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’avoir exagéré l’importance de la grippe A (H1N1) et d’avoir favorisé volontairement l’enrichissement de l’industrie pharmaceutique.
Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d’avoir «naïvement» suivi le mouvement mondial.

Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l’éclosion du virus, l’OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette «hystérie pandémique».

«C’est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale», a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe.

Les liens entre les l’OMS et l’industrie pharmaceutique ont été également soulevés comme cause possible de ce dérapage.

«En 2006 déjà, les États ont commencé à conclure de gros contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour faire face à d’éventuelles pandémies. Ces engagements de commercialisation devaient prendre effet dès que l’OMS déclarerait officiellement une pandémie. Quand l’OMS l’a fait, elle a joué un rôle clé et cela a accru de 18 milliards de dollars les dépenses de santé dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques s’étaient préparées, elles n’attendaient en fait que cela», ajoute le Dr Wodarg.

Alors que l’OMS soutient n’avoir «rien à se reprocher», un expert en pharmacovigilance à l’Université de Montréal questionne les agissements des pays occidentaux qui, à l’exception de la Pologne, se sont tous empressés de mettre sur pied des campagnes massives de vaccination, sans même s’interroger sur les recommandations de l’OMS.

«On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s’est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d’argent. Il n’y a pas eu des millions de morts et rien ne justifiait cet état d’urgence», déplore Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine.

Questionnée à ce sujet, Dominique Breton, une porte-parole du ministère de la Santé, a rétorqué qu’il était «facile de critiquer le gouvernement après coup».

«Nous avons agi comme des autorités responsables et nous avons suivi les recommandations de l’OMS. Finalement, le virus n’était pas aussi virulent qu’on aurait pu le croire, mais on aurait pu se retrouver devant un très grand nombre de personnes infectées», a-t-elle affirmé.

Le gouvernement du Québec a assumé 40% du coût des 4.4 millions de doses de vaccin qui ont été distribuées au Québec.
canoe

Voir sur le site de Protégez-vous :
H1N1 : Scandale

  • Grippe A (H1N1): l'OMS au banc des accusés

  • La gestion québécoise de la crise

  • Perdre confiance

  • Entrevue exclusive avec le Dr Fernand Turcotte

  • dimanche 13 décembre 2009

    H1N1 : LES CENTRES DE VACCINATION FERMENT AU QUÉBEC

    Le gouvernement du Québec fermera ses centres de vaccination contre la grippe A (H1N1) dès le vendredi 18 décembre prochain. À partir du samedi 19 décembre, la vaccination sera toujours offerte, mais dans d'autres lieux comme les CLSC. Des précisions à ce sujet seront fournies la semaine prochaine.

    Jusqu'à maintenant, plus de 3,8 millions de Québécois ont reçu le vaccin contre le virus A (H1N1), incluant 60 % des personnes faisant partie des groupes à risque (femmes enceintes, enfants en bas âge, malades chroniques). Cette dernière donnée réjouit le ministre de la Santé, Yves Bolduc, qui estime avoir atteint son objectif de convaincre une bonne proportion de gens de se faire vacciner pour limiter les dégâts.

    Le ministre Bolduc s'est défendu d'avoir été alarmiste en évoquant la possibilité, en octobre dernier, que 2,5 millions de personnes puissent contracter la grippe H1N1 et que Québec doive décréter l'urgence sanitaire. Il a expliqué qu'il était difficile de prévoir combien de personnes seraient infectées, puisqu'on décrivait le virus comme étant très contagieux.

    Toutefois, le virus a provoqué 74 morts et l'hospitalisation de 2443 personnes depuis le début de la deuxième vague de la pandémie, au mois d'août, soit un bilan moins lourd que prévu, selon les données fournies jeudi par le directeur de la protection de la Santé publique, le Dr Horacio Arruda.

    Conséquence logique: de 150 000 personnes quotidiennement au plus fort de la campagne, la fréquentation des centres de vaccination a chuté à 90 000 personnes par jour à l'heure actuelle.

    Le Dr Arruda continue d'inciter les jeunes, surtout, à aller se faire vacciner, puisqu'ils semblent être la clientèle la plus difficile à convaincre.

    De leur côté, les autorités fédérales ont annoncé mercredi une campagne publicitaire pour tenter de maintenir l'intérêt de la population envers la vaccination.
    @radio-canada
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    Il semble qu'on s'est rendu compte que ce n'était pas une vraie pandémie. Faudra maintenant trouver des façons de limiter les effets du cocktail chimique inoculé dans le corps de nos frères et soeurs vaccinés. À ce que j'en ai compris, les vaccinés ont un, deux mois au plus, pour désintoxiquer leur corps. On va vous aider.

    Mais pour le moment, j'ai le goût de fêter la fin de la vaccination. Je vous laisse sur deux chansons de 1967 :

    "Pas besoin d'un docteur" par Les Hou Lops


    "Think (freedom)" par Aretha Franklin