Jusqu'à maintenant, plus de 3,8 millions de Québécois ont reçu le vaccin contre le virus A (H1N1), incluant 60 % des personnes faisant partie des groupes à risque (femmes enceintes, enfants en bas âge, malades chroniques). Cette dernière donnée réjouit le ministre de la Santé, Yves Bolduc, qui estime avoir atteint son objectif de convaincre une bonne proportion de gens de se faire vacciner pour limiter les dégâts.
Le ministre Bolduc s'est défendu d'avoir été alarmiste en évoquant la possibilité, en octobre dernier, que 2,5 millions de personnes puissent contracter la grippe H1N1 et que Québec doive décréter l'urgence sanitaire. Il a expliqué qu'il était difficile de prévoir combien de personnes seraient infectées, puisqu'on décrivait le virus comme étant très contagieux.
Toutefois, le virus a provoqué 74 morts et l'hospitalisation de 2443 personnes depuis le début de la deuxième vague de la pandémie, au mois d'août, soit un bilan moins lourd que prévu, selon les données fournies jeudi par le directeur de la protection de la Santé publique, le Dr Horacio Arruda.
Conséquence logique: de 150 000 personnes quotidiennement au plus fort de la campagne, la fréquentation des centres de vaccination a chuté à 90 000 personnes par jour à l'heure actuelle.
Le Dr Arruda continue d'inciter les jeunes, surtout, à aller se faire vacciner, puisqu'ils semblent être la clientèle la plus difficile à convaincre.
De leur côté, les autorités fédérales ont annoncé mercredi une campagne publicitaire pour tenter de maintenir l'intérêt de la population envers la vaccination.
@radio-canada
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Il semble qu'on s'est rendu compte que ce n'était pas une vraie pandémie. Faudra maintenant trouver des façons de limiter les effets du cocktail chimique inoculé dans le corps de nos frères et soeurs vaccinés. À ce que j'en ai compris, les vaccinés ont un, deux mois au plus, pour désintoxiquer leur corps. On va vous aider.
Mais pour le moment, j'ai le goût de fêter la fin de la vaccination. Je vous laisse sur deux chansons de 1967 :
"Pas besoin d'un docteur" par Les Hou Lops
"Think (freedom)" par Aretha Franklin
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Il semble qu'on s'est rendu compte que ce n'était pas une vraie pandémie. Faudra maintenant trouver des façons de limiter les effets du cocktail chimique inoculé dans le corps de nos frères et soeurs vaccinés. À ce que j'en ai compris, les vaccinés ont un, deux mois au plus, pour désintoxiquer leur corps. On va vous aider.
Mais pour le moment, j'ai le goût de fêter la fin de la vaccination. Je vous laisse sur deux chansons de 1967 :
"Pas besoin d'un docteur" par Les Hou Lops
"Think (freedom)" par Aretha Franklin
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