En multipliant les agressions militaires sur le territoire pakistanais et en accusant Islamabad d’avoir protégé Oussama Ben Laden, l’administration Obama cherche à pénétrer dans la zone d’influence chinoise. Cependant Beijing a immédiatement transféré un arsenal aérien à Islamabad et adressé un ultimatum à Washington : toute nouvelle ingérence US au Pakistan sera considérée comme un acte inamical envers la Chine !
(...)
la suite sur johanlivernette
vendredi 3 juin 2011
jeudi 2 juin 2011
PSYCHOPATHE
Lisez la description de la personnalité psychopathe qui suit, en pensant à l'élite qui nous dirige. Et regardez la société qu'ils nous ont construite : individualisme, capitalisme, guerre, souffrance, injustice, mépris, mensonge, fraude, superficialité, indifférence, vision à court terme, confusion sexuelle, stress, peur... C'est à croire qu'ils veulent nous transformer tous en psychopathes.
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Un rapport de la Haute Autorité de santé sur la prise en charge des psychopathies a identifié six points qui caractérisent la personnalité psychopathe :
L’indifférence froide
Les personnes ne sont pas sensibles, on ne peut pas les "prendre par les sentiments".
L’irresponsabilité
Cette irresponsabilité est souvent revendiquée, constante, avec un mépris des règles et des contraintes sociales.
Difficulté de maintenir une relation avec autrui
Mais de manière paradoxale, la personnalité psychopathe a des facilités à nouer des relations. Simplement, elles ne durent pas.
Intolérance à la frustration
La personnalité psychopathe ne supporte pas de ne pas obtenir ce qu’elle veut, et son seuil d’agressivité est très bas en la matière : elle va très vite s’énerver.
Absence de culpabilité
Il n’y a aucune remise en question après un passage à l’acte. Même les sanctions ne remettent pas le psychopathe en question.
Tendance à blâmer autrui
La personnalité psychopathe va expliquer de manière très rationnelle ses difficultés avec la société, en accusant les autres d’en être responsable, et de manière très convaincante.
en parler et agir.net
Entrevue en anglais avec Thomas Sheridan qui a écrit un livre sur les psychopathes
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Un rapport de la Haute Autorité de santé sur la prise en charge des psychopathies a identifié six points qui caractérisent la personnalité psychopathe :
L’indifférence froide
Les personnes ne sont pas sensibles, on ne peut pas les "prendre par les sentiments".
L’irresponsabilité
Cette irresponsabilité est souvent revendiquée, constante, avec un mépris des règles et des contraintes sociales.
Difficulté de maintenir une relation avec autrui
Mais de manière paradoxale, la personnalité psychopathe a des facilités à nouer des relations. Simplement, elles ne durent pas.
Intolérance à la frustration
La personnalité psychopathe ne supporte pas de ne pas obtenir ce qu’elle veut, et son seuil d’agressivité est très bas en la matière : elle va très vite s’énerver.
Absence de culpabilité
Il n’y a aucune remise en question après un passage à l’acte. Même les sanctions ne remettent pas le psychopathe en question.
Tendance à blâmer autrui
La personnalité psychopathe va expliquer de manière très rationnelle ses difficultés avec la société, en accusant les autres d’en être responsable, et de manière très convaincante.
en parler et agir.net
Entrevue en anglais avec Thomas Sheridan qui a écrit un livre sur les psychopathes
lundi 30 mai 2011
LOUPS GÉANTS
Des loups gris canadiens géants font peur aux résidents des régions rurales du Nord-Ouest des États-Unis. Habituellement, les loups gris pèsent en moyenne 80 livres. Ceux dont on parle ici, pèsent 140 à 180 livres. Ils vivent en meute pouvant aller jusqu'à douze loups. Pour chaque animal que ces loups tuent pour manger, ils en tuent trois autres juste pour le plaisir de tuer. Ce sont de vrais machines à tuer.
source
source
dimanche 29 mai 2011
LE TEMPS DE CERVEAU DISPONIBLE
Cruauté, violences psychologiques et sexuelles, humiliations..., la télé-réalité devient folle. Son arrivée au début des années 2000 ouvrait une nouvelle ère dans l'histoire de l'audiovisuel. 50 ans d'archives retracent l'évolution du divertissement : comment la mise en scène de l'intime, dans les années 80, a ouvert un nouveau champ, comment la privatisation des plus grandes chaînes a modifié le rapport au téléspectateur. A l'aide de spécialistes, dont le philosophe Bernard Stiegler, ce réquisitoire démontre comment l'émotion a fait place à l'exacerbation des pulsions les plus destructrices.
CONSOMMER À EN MOURIR
À l’heure où la frénésie consumériste du temps des Fêtes bat son plein, ce document fait une analyse grinçante de l’évolution du comportement des consommateurs américains. Derrière l'attitude des acheteurs boulimiques, se profile entre autres, l’épuisement des ressources et l’accumulation des déchets. Des sociologues, psychologues et philosophes analysent les limites du credo d’aujourd’hui : «Je consomme donc je suis», de cette quête du bonheur à travers la possession de l’objet dernier cri.
NOTRE POISON QUOTIDIEN
La journaliste Marie-Monique Robin présente un film sur les produits chimiques présents dans nos aliments.
Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?
Entrevue et résumé du documentaire ici
Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?
Entrevue et résumé du documentaire ici
CONDITIONNEMENT ALIMENTAIRE
Une récente étude américaine suggère que l'état d'esprit des gens peut influencer la manière dont ils sont physiquement satisfaits après un repas et que cela va affecter leur prochaine sensation de faim (et l'idée de manger davantage). Les conclusions de cette étude pourrait aider à lutter contre l'obésité. Les chercheurs se sont concentrés sur la ghréline, que l'on nomme aussi « hormone de la faim » dans nos entrailles : elle stimule l'appétit et la sensation de faim. Le niveau de cette hormone s'accroît avant les repas et décroît après le repas, évidemment.
On a donné à des volontaires un milkshake de 380 calories en … mentant : on disait à un groupe que c'était 620 calories et à un autre, 140 calories. On s'est ensuite précipité pour voir l'action de ce mensonge (mais c'est pour la SCIENCE) sur les niveaux de ghréline. Ceux qui croyaient le milkshake comme super-calorique ont vu leur niveaux baisser bien plus après ingestion (par rapport à la normale). Ceux qui croyaient se nourrir faiblement voyaient le contraire : les niveaux de ghréline ne bougeaient quasiment pas.
Il est donc clair que l' « état d'esprit » lors de la consommation de nourriture a un impact sur la satiété.
sur la toile
On a donné à des volontaires un milkshake de 380 calories en … mentant : on disait à un groupe que c'était 620 calories et à un autre, 140 calories. On s'est ensuite précipité pour voir l'action de ce mensonge (mais c'est pour la SCIENCE) sur les niveaux de ghréline. Ceux qui croyaient le milkshake comme super-calorique ont vu leur niveaux baisser bien plus après ingestion (par rapport à la normale). Ceux qui croyaient se nourrir faiblement voyaient le contraire : les niveaux de ghréline ne bougeaient quasiment pas.
Il est donc clair que l' « état d'esprit » lors de la consommation de nourriture a un impact sur la satiété.
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