On a donné à des volontaires un milkshake de 380 calories en … mentant : on disait à un groupe que c'était 620 calories et à un autre, 140 calories. On s'est ensuite précipité pour voir l'action de ce mensonge (mais c'est pour la SCIENCE) sur les niveaux de ghréline. Ceux qui croyaient le milkshake comme super-calorique ont vu leur niveaux baisser bien plus après ingestion (par rapport à la normale). Ceux qui croyaient se nourrir faiblement voyaient le contraire : les niveaux de ghréline ne bougeaient quasiment pas.
Il est donc clair que l' « état d'esprit » lors de la consommation de nourriture a un impact sur la satiété.

Aucun commentaire:
Publier un commentaire