samedi 12 février 2011
vendredi 11 février 2011
LES HACKERS CHINOIS ESPIONNENT LES PÉTROLIÈRES
SECURITE - Le fabricant d'Antivirus McAfee ne révèlent pas le nom des compagnies visées...
L’espionnage, c'est un peu comme le racket: à l'exception de Google l'an dernier, une entreprise victime préfère se taire. Non seulement le mal est déjà fait, mais cela n'envoie pas un bon message aux actionnaires. Aussi McAfee garde les noms sous silence.
Selon le fabricant d'antivirus des hackers agissant à partir de la Chine se sont introduits dans les ordinateurs de cinq multinationales du secteur des hydrocarbures pour espionner leurs projets en matière d'appels d'offres et dérober d'autres secrets dans un nouveau rapport. Il indique que sept autres ont été espionnées mais n'ont pas pu être identifiées.
Deux ans, peut-être quatre
«Il ne s'agissait pas d'attaques particulièrement sophistiquées, et pourtant elles ont très bien atteint leurs objectifs», a déclaré Dmitri Alperovitch, vice-président de McAfee chargé des recherches sur les menaces informatiques.
Durant au moins deux ans, et peut-être quatre, les pirates ont eu accès aux réseaux informatiques de ces multinationales et se sont concentrés sur les documents financiers liés à la prospection pétrolière et gazière et aux appels d'offres, a dit Alperovitch.
Tous les pays pratiquent l’espionnage industriels, particulièrement la Chine ou la Russie qui y voient un moyen de rattraper leur retard technologique et économique, expliquait à 20minutes.fr John Bumgarner, de l' U.S. Cyber Consequences Unit lors d'une attaque précédente.
20 minutes
L’espionnage, c'est un peu comme le racket: à l'exception de Google l'an dernier, une entreprise victime préfère se taire. Non seulement le mal est déjà fait, mais cela n'envoie pas un bon message aux actionnaires. Aussi McAfee garde les noms sous silence.
Selon le fabricant d'antivirus des hackers agissant à partir de la Chine se sont introduits dans les ordinateurs de cinq multinationales du secteur des hydrocarbures pour espionner leurs projets en matière d'appels d'offres et dérober d'autres secrets dans un nouveau rapport. Il indique que sept autres ont été espionnées mais n'ont pas pu être identifiées.
Deux ans, peut-être quatre
«Il ne s'agissait pas d'attaques particulièrement sophistiquées, et pourtant elles ont très bien atteint leurs objectifs», a déclaré Dmitri Alperovitch, vice-président de McAfee chargé des recherches sur les menaces informatiques.
Durant au moins deux ans, et peut-être quatre, les pirates ont eu accès aux réseaux informatiques de ces multinationales et se sont concentrés sur les documents financiers liés à la prospection pétrolière et gazière et aux appels d'offres, a dit Alperovitch.
Tous les pays pratiquent l’espionnage industriels, particulièrement la Chine ou la Russie qui y voient un moyen de rattraper leur retard technologique et économique, expliquait à 20minutes.fr John Bumgarner, de l' U.S. Cyber Consequences Unit lors d'une attaque précédente.
20 minutes
mercredi 9 février 2011
LA RUSSIE SUPPRIME L'HEURE D'HIVER
Le président russe Dmitri Medvedev a décidé de supprimer les changements horaires annuels et de maintenir son pays à l'heure d'été à partir du printemps 2011 (GMT +4H00 à Moscou), une mesure de santé publique selon lui, qui fait désormais de la Russie une exception en Europe.
«J'ai pris la décision d'annuler le passage à l'heure d'hiver à partir de cet automne. J'ai transmis une directive en ce sens au gouvernement», a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec des jeunes scientifiques, selon les agences russes.
Pour M. Medvedev, il s'agit de protéger les Russes «du stress et de maladies» provoquées par le changement horaire.
Il a aussi justifié cette mesure par le désagrément que cause le passage à l'heure d'été et d'hiver au cheptel du pays.
«Nous avons pris l'habitude de bouger les aiguilles de nos montres au printemps et à l'automne et nous avons tous l'habitude de nous en plaindre. En effet, cela déstabilise le rythme biologique de l'homme, cela irrite», a souligné le président russe.
«Et je ne parle même pas des pauvres vaches -et des autres animaux- qui ne comprennent pas les changements d'horaires et ne comprennent pas pourquoi on vient les traire à une heure différente», a ajouté M. Medvedev.
«Nous ne passerons plus à l'heure d'hiver; il nous reste à subir ce désagrément une dernière fois, car le passage à l'heure d'été implique une heure de sommeil en moins, mais ensuite ces ennuis seront écartés», s'est-il félicité.
(...)
cyberpresse
«J'ai pris la décision d'annuler le passage à l'heure d'hiver à partir de cet automne. J'ai transmis une directive en ce sens au gouvernement», a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec des jeunes scientifiques, selon les agences russes.
Pour M. Medvedev, il s'agit de protéger les Russes «du stress et de maladies» provoquées par le changement horaire.
Il a aussi justifié cette mesure par le désagrément que cause le passage à l'heure d'été et d'hiver au cheptel du pays.
«Nous avons pris l'habitude de bouger les aiguilles de nos montres au printemps et à l'automne et nous avons tous l'habitude de nous en plaindre. En effet, cela déstabilise le rythme biologique de l'homme, cela irrite», a souligné le président russe.
«Et je ne parle même pas des pauvres vaches -et des autres animaux- qui ne comprennent pas les changements d'horaires et ne comprennent pas pourquoi on vient les traire à une heure différente», a ajouté M. Medvedev.
«Nous ne passerons plus à l'heure d'hiver; il nous reste à subir ce désagrément une dernière fois, car le passage à l'heure d'été implique une heure de sommeil en moins, mais ensuite ces ennuis seront écartés», s'est-il félicité.
(...)
cyberpresse
MANGER DU RIZ EN PLASTIQUE
Des compagnies chinoises ont été prises à produire du riz contenant du plastique. Le riz est fabriqué avec de la pomme de terre, de la patate douce et du plastique. Manger trois bols revient à manger un sac de plastique.
Very Vietnam
Very Vietnam
LAC VOSTOK
Des scientifiques russes sont sur le point d'atteindre les eaux d'un très ancien lac emprisonné sous 4 kilomètres de glace depuis des millions d'années en Antarctique.
Joint par l'agence Reuters via un téléphone satellite, le chef de la station polaire Vostok, Alexei Turkeyev, a déclaré qu'il ne reste plus qu'une mince couche de glace à forer avant d'atteindre les eaux du lac, baptisé Vostok par les scientifiques russes.
Recouverte par une couche de glace de près de 4 kilomètres d'épaisseur, cette vaste étendue d'eau, d'une taille comparable à celle du lac Ontario, est enfermée sous les glaces de l'Antarctique depuis plus de 15 millions d'années, selon les calculs des scientifiques.
Le fait que les eaux du lac Vostok n'aient pas été en contact avec l'atmosphère terrestre depuis autant de temps fascine les chercheurs pour qui ces eaux revêtent une valeur archéologique inestimable. Les scientifiques espèrent découvrir dans les eaux du lac Vostok des formes de vie très anciennes ou en apprendre davantage sur l'existence d'un écosystème dans ce lac privé de lumière et isolé de la surface depuis la formation de la calotte glaciaire de l'Antarctique.
Le forage de l'épaisse couche de glace qui recouvre le lac a été entrepris en 1998 par les Russes. Les opérations ont été arrêtées à quelques centaines de mètres de la surface du lac, pour éviter d'en contaminer les eaux. Dans les carottes de forage, les experts ont découvert la présence de bactéries vieilles de plus de 500 000 ans.
Le forage a repris cette année après de longues discussions internationales visant à s'assurer que ce forage était en conformité avec les termes du Traité de l'Antarctique. Certains scientifiques s'opposent aussi à la poursuite du forage en raison des risques de contamination qu'il représente pour cette précieuse étendue d'eau.
Le lac Vostok est le plus grand des 150 lacs sous-glaciaires répertoriés en Antarctique.
Radio-Canada.ca
Joint par l'agence Reuters via un téléphone satellite, le chef de la station polaire Vostok, Alexei Turkeyev, a déclaré qu'il ne reste plus qu'une mince couche de glace à forer avant d'atteindre les eaux du lac, baptisé Vostok par les scientifiques russes.
Recouverte par une couche de glace de près de 4 kilomètres d'épaisseur, cette vaste étendue d'eau, d'une taille comparable à celle du lac Ontario, est enfermée sous les glaces de l'Antarctique depuis plus de 15 millions d'années, selon les calculs des scientifiques.
Le fait que les eaux du lac Vostok n'aient pas été en contact avec l'atmosphère terrestre depuis autant de temps fascine les chercheurs pour qui ces eaux revêtent une valeur archéologique inestimable. Les scientifiques espèrent découvrir dans les eaux du lac Vostok des formes de vie très anciennes ou en apprendre davantage sur l'existence d'un écosystème dans ce lac privé de lumière et isolé de la surface depuis la formation de la calotte glaciaire de l'Antarctique.
Le forage de l'épaisse couche de glace qui recouvre le lac a été entrepris en 1998 par les Russes. Les opérations ont été arrêtées à quelques centaines de mètres de la surface du lac, pour éviter d'en contaminer les eaux. Dans les carottes de forage, les experts ont découvert la présence de bactéries vieilles de plus de 500 000 ans.
Le forage a repris cette année après de longues discussions internationales visant à s'assurer que ce forage était en conformité avec les termes du Traité de l'Antarctique. Certains scientifiques s'opposent aussi à la poursuite du forage en raison des risques de contamination qu'il représente pour cette précieuse étendue d'eau.
Le lac Vostok est le plus grand des 150 lacs sous-glaciaires répertoriés en Antarctique.
Radio-Canada.ca
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