Quelqu'un a dit, « Monsanto a inventé le porc. » Très bientôt nous apprendrons, ici, en Inde et en Asie, que les compagnies semencières multinationales étasuniennes et européennes ont « inventé » le riz. Et bientôt nous devrons payer des royalties à ces compagnies pour manger du riz. Retenez votre souffle, cette situation est à nos portes.
Je vous pose cette question avant que vous ne lisiez la suite : Que feriez-vous à une compagnie qui prétend avoir « inventé le riz » et veut son dû parce que vous, Madames et Messieurs, mangez du riz ?
L'Inde est le pays du riz. Le riz est notre aliment de base depuis des milliers d'années. Un scientifique français a dit autrefois que l'Inde a 200.000 variétés de riz. D'autres écologistes disent 100.000. Est-ce important ? Dans les régions traditionnelles de production, j'ai trouvé que le goût et la forme du riz diffèrent souvent d'un village à l'autre. Plus maintenant. Après la révolution verte, les variétés disponibles sur le marché pour les semis commerciaux sont tombées à une cinquantaine. Cela doit certainement être la plus grande destruction de biodiversité dans les cultures vivrières partout dans le monde.
Il y a quarante ans, quand ma mère faisait cuire le riz basmati, un doux arôme imprégnait toute la maison. Plus maintenant. Sous la révolution verte, le riz hybride lentement introduit dans les denrées est maintenant produit par de grandes exploitations mécanisées avec de grandes doses d'engrais et de pesticides. Bayer CropScience, une compagnie allemande, a modifié génétiquement les semences de riz. Le génie de cette révolution génétique est sorti de sa lampe et personne ne sait combien de variétés de riz sont contaminées. Nul ne sait vraiment combien de ce poison d'ingénierie est déjà entré dans notre chaîne alimentaire. Et c'est arrivé sans étude de biosécurité appropriée.
Le riz appartient à l'espèce Oryza. Des gens profanes comme moi ont dit que le riz s'autopollinise avec peu ou aucune chance que le pollen dérive pour aller contaminer le riz du champ voisin. Cependant, la RiceTech, une compagnie de semences hybrides étasunienne, a établi que « le vent avait aidé le pollen du riz à se déplacer sur plus de 600 pieds. » [APHIS Workshop, 13-15 septembre 2004 ; résumé] Si le riz génétiquement modifié est planté au milieu du riz naturel, il y a toutes les chances pour que ce dernier soit contaminé, et c'est ce qui s'est passé aux États-Unis d'Amérique .
(...)
@alterinfo
dimanche 13 juillet 2008
PRISON ROSE
Joe Arpaio, le shériff de MARICOPA COUNTY(ARIZONA), se fait toujours réélire. Voici pourquoi :
Il a créé une prison extérieure où les prisonniers couchent dans des tentes. Il a ainsi sauvé 10 millions de dollar qu'il aurait eu à dépenser sur une nouvelle prison.
Chaque repas coûte 20 sous et sont chargés aux prisonniers. Il y est interdit de fumer, d'avoir des magazines pornographiques, il n'y a aucun équipement d'entrâinement musculaire et les seuls films qu'ils peuvent voir sont des films à audience G pour général.
Arpaio : "Ils sont là pour payer leur dettes à la société, pas pour se faire des muscles pour agresser d'autres personnes en sortant de prison."
Arpaio leur fait faire des travaux pour la communauté et sauve de l'argent et fait baisser les taxes des concitoyens. Les travaux sont autant pour les hommes que pour les femmes.
Comme la télé cablée est obligatoire dans les prisons américaines, il l'a installée mais les prisonniers ne peuvent régarder que DIsney Channel et le canal météo, histoire de savoir comment il va faire chaud lorsqu'ils seront sur les travaux communautaires.
Il a coupé le café car cela n'a aucune valeur nutritive et il leur a dit que s'ils n'aimaient pas cela, ils n'avaient qu'à ne pas revenir ! (If you don't like it, don't come back.)
Il fait très chaud en Arizona et les tentes deviennent comme des fournaises. C'est l'enfer disent-ils.
Arpaio a même eu l'audace de faire porter du rose aux prisonniers mâles.
Il a créé une prison extérieure où les prisonniers couchent dans des tentes. Il a ainsi sauvé 10 millions de dollar qu'il aurait eu à dépenser sur une nouvelle prison.
Chaque repas coûte 20 sous et sont chargés aux prisonniers. Il y est interdit de fumer, d'avoir des magazines pornographiques, il n'y a aucun équipement d'entrâinement musculaire et les seuls films qu'ils peuvent voir sont des films à audience G pour général.
Arpaio : "Ils sont là pour payer leur dettes à la société, pas pour se faire des muscles pour agresser d'autres personnes en sortant de prison."
Arpaio leur fait faire des travaux pour la communauté et sauve de l'argent et fait baisser les taxes des concitoyens. Les travaux sont autant pour les hommes que pour les femmes.
Comme la télé cablée est obligatoire dans les prisons américaines, il l'a installée mais les prisonniers ne peuvent régarder que DIsney Channel et le canal météo, histoire de savoir comment il va faire chaud lorsqu'ils seront sur les travaux communautaires.
Il a coupé le café car cela n'a aucune valeur nutritive et il leur a dit que s'ils n'aimaient pas cela, ils n'avaient qu'à ne pas revenir ! (If you don't like it, don't come back.)
Il fait très chaud en Arizona et les tentes deviennent comme des fournaises. C'est l'enfer disent-ils.
Arpaio a même eu l'audace de faire porter du rose aux prisonniers mâles.
MALÉDICTION SEXUELLE
Découverte d'une malédiction à caractère sexuel sur un site antique
Une malédiction à caractère sexuel a été mise au jour lors de fouilles dans un site datant du VIIe siècle à Chypre, une découverte particulièrement rare pour l'époque, a rapporté vendredi la presse chypriote.
«La malédiction, écrite en grec sur une tablette de plomb, est: "que ton pénis te fasse mal quand tu fais l'amour"», a indiqué à l'hebdomadaire Cyprus Weekly Pierre Aupert, un archéologue français responsable des fouilles sur l'ancien site royal d'Amathonte, près de Limassol.
La tablette montre également un homme tenant dans sa main droite un objet ressemblant à un sablier, selon M. Aupert.
L'inscription date du VIIe siècle, à l'époque où la religion chrétienne était bien implantée sur l'île méditerranéenne, ce qui fait penser au chercheur qu'elle se réfère à des activités de sorcellerie ou de chamanisme, survivances de l'ère païenne.
L'antique cité d'Amathonte a été fondée par les Phéniciens environ 1500 ans avant JC, et s'est enrichie grâce à la culture des céréales et aux mines de cuivre. La ville, capitale régionale au temps de la présence romaine, était florissante au VIIe siècle avant d'être abandonnée cinq siècles plus tard.
Une malédiction à caractère sexuel a été mise au jour lors de fouilles dans un site datant du VIIe siècle à Chypre, une découverte particulièrement rare pour l'époque, a rapporté vendredi la presse chypriote.
«La malédiction, écrite en grec sur une tablette de plomb, est: "que ton pénis te fasse mal quand tu fais l'amour"», a indiqué à l'hebdomadaire Cyprus Weekly Pierre Aupert, un archéologue français responsable des fouilles sur l'ancien site royal d'Amathonte, près de Limassol.
La tablette montre également un homme tenant dans sa main droite un objet ressemblant à un sablier, selon M. Aupert.
L'inscription date du VIIe siècle, à l'époque où la religion chrétienne était bien implantée sur l'île méditerranéenne, ce qui fait penser au chercheur qu'elle se réfère à des activités de sorcellerie ou de chamanisme, survivances de l'ère païenne.
L'antique cité d'Amathonte a été fondée par les Phéniciens environ 1500 ans avant JC, et s'est enrichie grâce à la culture des céréales et aux mines de cuivre. La ville, capitale régionale au temps de la présence romaine, était florissante au VIIe siècle avant d'être abandonnée cinq siècles plus tard.
SE REJOUIR DU PRIX DE L'ESSENCE
10 raisons
1 - Le chant des oiseaux se fait entendre le matin, les tondeuses à essence étant soudainement moins populaires...
2 - La semaine de quatre jours pointe à l’horizon. Les États de New York et de l’Utah ont modifié l’horaire des fonctionnaires, à quatre jours de 10 heures, pour qu’ils diminuent leur facture d’essence, tout en réduisant le trafic et le smog. L’idée traversera-t-elle la frontière?
3 - Moins de chauffards qui vous collent à 130 km/h sur l’autoroute. Le prix de l’essence ainsi que les nouvelles pénalités pour excès de vitesse ont clairement ralenti l’ardeur des Gilles Villeneuve de ce monde, qui n’ont pas leur place sur les routes du Québec.
4 - Tout semble dorénavant possible. Pensons seulement à l’auto électrique, aux maisons chauffées à partir de déchets domestiques , aux immenses cargos traversant l’océan grâce à d’immenses voiles ou aux véhicules qui carburent aux algues .
5 - L’arrogance des constructeurs automobiles américains se retourne contre eux. Défiant toute logique, ils avaient choisi de mettre tout leurs œufs dans le panier des SUV, aussi gros qu’inutiles en ville. Tout d’un coup, les mots GM et faillite se retrouvent dans la même phrase.
6 - Le nombre de bateaux à moteur et de motomarines est en baisse sur les lacs. Bien que ces bruyantes embarcations n’aient pas complètement disparus, certains riverains notent une baisse appréciable des décibels cet été. Plus besoin de crier pour demander une bière.
7 - Le transport en commun connaît une renaissance, après avoir été carrément oublié pendant plus d’une décennie. De nouveaux départs en train de banlieue, plus de service en autobus, des voies réservées pour le covoiturage. Ne manque plus qu’une baisse des tarifs.
8 - Le Hummer est mort. General Motors souhaite se débarrasser de cette encombrante marque. À défaut d’un acheteur, il mettra la clé dans la porte.
9 - Moins de pollution, de smog, de trafic et de morts sur les routes. Selon la CIBC, le prix de l’essence devrait provoquer le retrait de 10 millions de véhicules des routes des États-Unis au cours des quatre prochaines années. Très forte, la vague semble vouloir déferler ici aussi.
10 - L’actuel boum d’innovation fait pâlir le précédent, provoqué par la crise du pétrole des années 70. Partout dans le monde, des chercheurs planchent avec plus de détermination que jamais sur le développement des énergies renouvelables, de l’architecture verte et de la mobilité de demain. Bienvenue dans le XXIe siècle.
(...)
@François Cardinal
1 - Le chant des oiseaux se fait entendre le matin, les tondeuses à essence étant soudainement moins populaires...
2 - La semaine de quatre jours pointe à l’horizon. Les États de New York et de l’Utah ont modifié l’horaire des fonctionnaires, à quatre jours de 10 heures, pour qu’ils diminuent leur facture d’essence, tout en réduisant le trafic et le smog. L’idée traversera-t-elle la frontière?
3 - Moins de chauffards qui vous collent à 130 km/h sur l’autoroute. Le prix de l’essence ainsi que les nouvelles pénalités pour excès de vitesse ont clairement ralenti l’ardeur des Gilles Villeneuve de ce monde, qui n’ont pas leur place sur les routes du Québec.
4 - Tout semble dorénavant possible. Pensons seulement à l’auto électrique, aux maisons chauffées à partir de déchets domestiques , aux immenses cargos traversant l’océan grâce à d’immenses voiles ou aux véhicules qui carburent aux algues .
5 - L’arrogance des constructeurs automobiles américains se retourne contre eux. Défiant toute logique, ils avaient choisi de mettre tout leurs œufs dans le panier des SUV, aussi gros qu’inutiles en ville. Tout d’un coup, les mots GM et faillite se retrouvent dans la même phrase.
6 - Le nombre de bateaux à moteur et de motomarines est en baisse sur les lacs. Bien que ces bruyantes embarcations n’aient pas complètement disparus, certains riverains notent une baisse appréciable des décibels cet été. Plus besoin de crier pour demander une bière.
7 - Le transport en commun connaît une renaissance, après avoir été carrément oublié pendant plus d’une décennie. De nouveaux départs en train de banlieue, plus de service en autobus, des voies réservées pour le covoiturage. Ne manque plus qu’une baisse des tarifs.
8 - Le Hummer est mort. General Motors souhaite se débarrasser de cette encombrante marque. À défaut d’un acheteur, il mettra la clé dans la porte.
9 - Moins de pollution, de smog, de trafic et de morts sur les routes. Selon la CIBC, le prix de l’essence devrait provoquer le retrait de 10 millions de véhicules des routes des États-Unis au cours des quatre prochaines années. Très forte, la vague semble vouloir déferler ici aussi.
10 - L’actuel boum d’innovation fait pâlir le précédent, provoqué par la crise du pétrole des années 70. Partout dans le monde, des chercheurs planchent avec plus de détermination que jamais sur le développement des énergies renouvelables, de l’architecture verte et de la mobilité de demain. Bienvenue dans le XXIe siècle.
(...)
@François Cardinal
samedi 12 juillet 2008
L'HUMAIN EST FONCIÈREMENT BON
L'empathie, pratiquement un réflexe
Le sentiment d'empathie serait naturel, et ce, dès le plus jeune âge, estiment des psychologues américains.
Ils ont démontré que, lorsque des enfants voient des personnes souffrir, leurs cerveaux répondent comme s'ils souffraient eux-mêmes.
Une équipe de l'Université de Chicago a observé les réactions du cerveau de 17 enfants âgés de 7 à 12 ans auxquels étaient présentées des images de souffrance accidentelle (une chute d'objet sur des doigts) ou provoquée par une autre personne (une porte volontairement claquée sur des doigts).
Les chercheurs ont été surpris de constater que des circuits cérébraux activés habituellement lors de douleurs réelles étaient à l'oeuvre face à des images de douleurs accidentelles.
Des réactions similaires ont déjà été observées chez les adultes.
La douleur infligée
Dans un autre contexte, lorsqu'ils sont confrontés à des images de souffrance infligée par une tierce personne, les enfants activent des zones du cerveau impliquées dans l'analyse du fonctionnement social et du comportement moral.
Selon les chercheurs, les enfants cherchent une raison. Ils veulent savoir pourquoi la personne est blessée, si la souffrance infligée est juste. Ainsi, selon Jean Decety, s'ils cherchent une raison, c'est qu'ils se préoccupent de l'autre.
Les résultats de ces travaux publiés dans la revue Neuropsychologia pourraient être utilisés pour mieux comprendre les enfants agressifs ou asociaux.
Le sentiment d'empathie serait naturel, et ce, dès le plus jeune âge, estiment des psychologues américains.
Ils ont démontré que, lorsque des enfants voient des personnes souffrir, leurs cerveaux répondent comme s'ils souffraient eux-mêmes.
Une équipe de l'Université de Chicago a observé les réactions du cerveau de 17 enfants âgés de 7 à 12 ans auxquels étaient présentées des images de souffrance accidentelle (une chute d'objet sur des doigts) ou provoquée par une autre personne (une porte volontairement claquée sur des doigts).
Les chercheurs ont été surpris de constater que des circuits cérébraux activés habituellement lors de douleurs réelles étaient à l'oeuvre face à des images de douleurs accidentelles.
Cela nous montre que nous avons cette capacité innée de ressentir la souffrance d'autrui.
— Jean Decety, Université de Chicago
Des réactions similaires ont déjà été observées chez les adultes.
La douleur infligée
Dans un autre contexte, lorsqu'ils sont confrontés à des images de souffrance infligée par une tierce personne, les enfants activent des zones du cerveau impliquées dans l'analyse du fonctionnement social et du comportement moral.
Selon les chercheurs, les enfants cherchent une raison. Ils veulent savoir pourquoi la personne est blessée, si la souffrance infligée est juste. Ainsi, selon Jean Decety, s'ils cherchent une raison, c'est qu'ils se préoccupent de l'autre.
Les résultats de ces travaux publiés dans la revue Neuropsychologia pourraient être utilisés pour mieux comprendre les enfants agressifs ou asociaux.
vendredi 11 juillet 2008
LA MANNE DANS LE ST-LAURENT
D'importantes réserves de gaz naturel viennent d'être découvertes dans la vallée du Saint-Laurent, au coeur de la zone la plus densément peuplée du Québec, représentant une manne potentielle de plusieurs dizaines de milliards de dollars.
La société américaine Forest Oil, basée à Denver, dans l'Etat du Colorado, a annoncé cette semaine les résultats de tests préliminaires sur un territoire de 1.100 kilomètres carrés entre Montréal et Québec, où elle détient des droits de prospection.
Le groupe évalue à 116 milliards de mètres cubes le potentiel de ce gisement, un pactole potentiel de 40 milliards de dollars au cours actuel du gaz naturel et qui pourrait n'être que la partie visible de l'iceberg.
(...)
@afp
La société américaine Forest Oil, basée à Denver, dans l'Etat du Colorado, a annoncé cette semaine les résultats de tests préliminaires sur un territoire de 1.100 kilomètres carrés entre Montréal et Québec, où elle détient des droits de prospection.
Le groupe évalue à 116 milliards de mètres cubes le potentiel de ce gisement, un pactole potentiel de 40 milliards de dollars au cours actuel du gaz naturel et qui pourrait n'être que la partie visible de l'iceberg.
(...)
@afp
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