(Los Angeles) Un homme désespéré (Joe Stack) dans la cinquantaine a volé un petit avion et s'est écrasé dans un bâtiment de l'agence fédérale du revenu à Austin, au Texas, ce matin.
L'homme avait préalablement mis feu à sa propre maison. Les autorités rapportent que plusieurs personnes ont été blessées lors de l'écrasement, mais que seul le pilote a perdu la vie.
Une note de six pages laissée sur le Net par un homme disant s'appeler Joe Stack, et citée par plusieurs médias, semble expliquer le geste.
Dans cette lettre longue et parfois incohérente, l'homme dit que l'agence fédérale de revenu a ruiné sa vie, et qu'il entend "pousser l'expérience jusqu'au bout".
L'agence fédérale de l'aviation considère qu'il s'agit d'un «acte criminel». Le FBI fera enquête.
cyberpresse
jeudi 18 février 2010
mercredi 17 février 2010
USA : VICTIME D'UNE CYBERATTAQUE
Hier, sans trop faire de bruit autour de la chose, les États-Unis ont été la cible d'une cyberattaque importante. Résultat : plus de 60 millions de téléphones cellulaires hors d'usage, le réseau électrique inopérant dans une partie du pays, Wall Street fermé pendant une semaine et le réseau Internet inutilisable sur le territoire.
Heureusement pour les États-Unis, cette attaque était virtuelle et organisée par les services de sécurité américains qui avaient recréé pour l'occasion la Situation Room du président américain et les différents niveaux de commandement touchés dans une telle crise. Même une chaîne d'information virtuelle était là pour suivre la crise comme si elle était bien réelle. D'ailleurs, CNN était sur place et devrait bientôt présenter une émission sur le sujet.
L'opération Shockwave, qui a fait virtuellement tremblé nos voisins de 10 heures à 22 heures, était une réalisation des services de sécurité américains, mais également de l'Université de Georgetown et du Bipartisan Policy Center qui désiraient évaluer les lacunes du système actuel, notamment au niveau des pouvoirs de Washington dans pareille circonstance.
Par exemple, l'exercice aura permis de constater que la constitution américaine empêche le gouvernement fédéral et les autorités de mettre en quarantaine les cellulaires pour contrôler la prolifération du virus.
Dans le scénario de l'attaque virtuelle, le tout a commencé à partir d'une application de téléphone intelligent pour suivre une équipe de sport scolaire, la situation a rapidement dégénéré alors que le logiciel a servi également à capturer les mots de passe et les courriels des victimes pour ensuite servir à polluer le réseau Internet et faire tomber différents services administratifs et commerciaux.
Si vous êtes curieux dans savoir plus sur le sujet, une petite recherche sur Google vous permettra d'accéder à plusieurs articles sur l'expérience de mardi.
Radio-Canada
Heureusement pour les États-Unis, cette attaque était virtuelle et organisée par les services de sécurité américains qui avaient recréé pour l'occasion la Situation Room du président américain et les différents niveaux de commandement touchés dans une telle crise. Même une chaîne d'information virtuelle était là pour suivre la crise comme si elle était bien réelle. D'ailleurs, CNN était sur place et devrait bientôt présenter une émission sur le sujet.
L'opération Shockwave, qui a fait virtuellement tremblé nos voisins de 10 heures à 22 heures, était une réalisation des services de sécurité américains, mais également de l'Université de Georgetown et du Bipartisan Policy Center qui désiraient évaluer les lacunes du système actuel, notamment au niveau des pouvoirs de Washington dans pareille circonstance.
Par exemple, l'exercice aura permis de constater que la constitution américaine empêche le gouvernement fédéral et les autorités de mettre en quarantaine les cellulaires pour contrôler la prolifération du virus.
Dans le scénario de l'attaque virtuelle, le tout a commencé à partir d'une application de téléphone intelligent pour suivre une équipe de sport scolaire, la situation a rapidement dégénéré alors que le logiciel a servi également à capturer les mots de passe et les courriels des victimes pour ensuite servir à polluer le réseau Internet et faire tomber différents services administratifs et commerciaux.
Si vous êtes curieux dans savoir plus sur le sujet, une petite recherche sur Google vous permettra d'accéder à plusieurs articles sur l'expérience de mardi.
Radio-Canada
mardi 16 février 2010
samedi 13 février 2010
ATTAQUE SOUS "FAUX PAVILLON" À VANCOUVER
Bien des gens s'attendent à une attaque sous "faux pavillon" à Vancouver lors des jeux olympiques.
AlterInfo a produit un article sur le sujet : L'opération False Flag de type 9/11 aux JO de Vancouver se confirme!!!
Alex Jones sur PrisonPlanet a aussi produit un article complet sur le sujet : Could Vancouver 2010 be the next 9/11?
Je ne veux pas tomber dans la paranoïa, mais c'est le sujet de l'heure et je tiens à vous mettre au courant des tendances.
Voici une vidéo en anglais sur le sujet, où le gars montre les endroits qui, selon lui, pourraient être des cibles pour un attentat :
AlterInfo a produit un article sur le sujet : L'opération False Flag de type 9/11 aux JO de Vancouver se confirme!!!
Alex Jones sur PrisonPlanet a aussi produit un article complet sur le sujet : Could Vancouver 2010 be the next 9/11?
Je ne veux pas tomber dans la paranoïa, mais c'est le sujet de l'heure et je tiens à vous mettre au courant des tendances.
Voici une vidéo en anglais sur le sujet, où le gars montre les endroits qui, selon lui, pourraient être des cibles pour un attentat :
LES MENSONGES SUR LE SIDA
vendredi 12 février 2010
jeudi 11 février 2010
H1N1 : UNE PANDÉMIE EXAGÉRÉE
Enfin, on se réveille au Québec :
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MONTRÉAL - Des experts québécois et européens accusent l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’avoir exagéré l’importance de la grippe A (H1N1) et d’avoir favorisé volontairement l’enrichissement de l’industrie pharmaceutique.
Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d’avoir «naïvement» suivi le mouvement mondial.
Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l’éclosion du virus, l’OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette «hystérie pandémique».
«C’est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale», a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe.
Les liens entre les l’OMS et l’industrie pharmaceutique ont été également soulevés comme cause possible de ce dérapage.
«En 2006 déjà, les États ont commencé à conclure de gros contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour faire face à d’éventuelles pandémies. Ces engagements de commercialisation devaient prendre effet dès que l’OMS déclarerait officiellement une pandémie. Quand l’OMS l’a fait, elle a joué un rôle clé et cela a accru de 18 milliards de dollars les dépenses de santé dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques s’étaient préparées, elles n’attendaient en fait que cela», ajoute le Dr Wodarg.
Alors que l’OMS soutient n’avoir «rien à se reprocher», un expert en pharmacovigilance à l’Université de Montréal questionne les agissements des pays occidentaux qui, à l’exception de la Pologne, se sont tous empressés de mettre sur pied des campagnes massives de vaccination, sans même s’interroger sur les recommandations de l’OMS.
«On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s’est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d’argent. Il n’y a pas eu des millions de morts et rien ne justifiait cet état d’urgence», déplore Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine.
Questionnée à ce sujet, Dominique Breton, une porte-parole du ministère de la Santé, a rétorqué qu’il était «facile de critiquer le gouvernement après coup».
«Nous avons agi comme des autorités responsables et nous avons suivi les recommandations de l’OMS. Finalement, le virus n’était pas aussi virulent qu’on aurait pu le croire, mais on aurait pu se retrouver devant un très grand nombre de personnes infectées», a-t-elle affirmé.
Le gouvernement du Québec a assumé 40% du coût des 4.4 millions de doses de vaccin qui ont été distribuées au Québec.
canoe
Voir sur le site de Protégez-vous :
H1N1 : Scandale
Grippe A (H1N1): l'OMS au banc des accusés
La gestion québécoise de la crise
Perdre confiance
Entrevue exclusive avec le Dr Fernand Turcotte
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MONTRÉAL - Des experts québécois et européens accusent l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’avoir exagéré l’importance de la grippe A (H1N1) et d’avoir favorisé volontairement l’enrichissement de l’industrie pharmaceutique.
Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d’avoir «naïvement» suivi le mouvement mondial.
Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l’éclosion du virus, l’OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette «hystérie pandémique».
«C’est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale», a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe.
Les liens entre les l’OMS et l’industrie pharmaceutique ont été également soulevés comme cause possible de ce dérapage.
«En 2006 déjà, les États ont commencé à conclure de gros contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour faire face à d’éventuelles pandémies. Ces engagements de commercialisation devaient prendre effet dès que l’OMS déclarerait officiellement une pandémie. Quand l’OMS l’a fait, elle a joué un rôle clé et cela a accru de 18 milliards de dollars les dépenses de santé dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques s’étaient préparées, elles n’attendaient en fait que cela», ajoute le Dr Wodarg.
Alors que l’OMS soutient n’avoir «rien à se reprocher», un expert en pharmacovigilance à l’Université de Montréal questionne les agissements des pays occidentaux qui, à l’exception de la Pologne, se sont tous empressés de mettre sur pied des campagnes massives de vaccination, sans même s’interroger sur les recommandations de l’OMS.
«On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s’est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d’argent. Il n’y a pas eu des millions de morts et rien ne justifiait cet état d’urgence», déplore Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine.
Questionnée à ce sujet, Dominique Breton, une porte-parole du ministère de la Santé, a rétorqué qu’il était «facile de critiquer le gouvernement après coup».
«Nous avons agi comme des autorités responsables et nous avons suivi les recommandations de l’OMS. Finalement, le virus n’était pas aussi virulent qu’on aurait pu le croire, mais on aurait pu se retrouver devant un très grand nombre de personnes infectées», a-t-elle affirmé.
Le gouvernement du Québec a assumé 40% du coût des 4.4 millions de doses de vaccin qui ont été distribuées au Québec.
canoe
Voir sur le site de Protégez-vous :
H1N1 : Scandale
lundi 8 février 2010
LA RELIGION SURVIVRA AUX EXTRATERRESTRES
On ne s'étonne pas qu'un congrès sur la vie extraterrestre, la semaine dernière à Londres, spécule sur la biologie et la chimie, sans parler de l'astronomie. Mais la religion? Une enquête s'est intéressée à ce qu'il adviendrait des grandes religions du monde si on découvrait un jour une forme de vie étrangère.
(...)
la suite sur Cyberpresse
(...)
la suite sur Cyberpresse
dimanche 7 février 2010
USA : LE GOUVERNEMENT PRÉLÈVE L'ADN
Aux USA, le gouvernement oblige les hôpitaux à prélever l'ADN de tous les nouveaux nés, et ce, sans même aviser les parents. Cela a commencé en 1960. Il est fait autour de 50 tests d'ADN pour chaque échantillon. Il n'y a pas de règle qui dicte combien de temps que l'ADN peut être gardé.
CNN
CNN
GARE AUX MAMELONS EXPLOSIFS
La mort au bout du téton. Les services secrets britanniques affirment que la prochaine arme des terroristes sera... les implants mammaires piégés. Selon le MI5, en effet, une cinquantaine de médecins formés en Grande-Bretagne ont pris la direction du Yemen ou du Pakistan pour mettre leur savoir en application. Ils projetteraient d’implanter à des femmes volontaires des prothèses remplies de penthrite.
Indétectable
Ce puissant explosif est celui qu’avait tenté d’utiliser le Nigérian de 23 ans pour son attentat sur un avion de ligne américain en provenance d'Amsterdam en décembre dernier. Selon les experts, trente grammes de penthrite suffisent à faire un trou dans la carlingue d’un avion, susceptible d’en entraîner le crash.
Le plus inquiétant est que cette nouvelle technique serait totalement indétectable, que ce soit par la palpation ou le scanner. Et selon les informations du MI5, des opérations auraient déjà eu lieu sur plusieurs femmes. Al-Qaida n’en est pas à son premier coup fourré, puisque l’organisation terroriste avait déjà mis au point la bombe anale. Et c’est armé d’un slip explosif qu’Umar Farouk Abdulmutallab avait tenté son attentat-suicide.
20 minutes
Indétectable
Ce puissant explosif est celui qu’avait tenté d’utiliser le Nigérian de 23 ans pour son attentat sur un avion de ligne américain en provenance d'Amsterdam en décembre dernier. Selon les experts, trente grammes de penthrite suffisent à faire un trou dans la carlingue d’un avion, susceptible d’en entraîner le crash.
Le plus inquiétant est que cette nouvelle technique serait totalement indétectable, que ce soit par la palpation ou le scanner. Et selon les informations du MI5, des opérations auraient déjà eu lieu sur plusieurs femmes. Al-Qaida n’en est pas à son premier coup fourré, puisque l’organisation terroriste avait déjà mis au point la bombe anale. Et c’est armé d’un slip explosif qu’Umar Farouk Abdulmutallab avait tenté son attentat-suicide.
20 minutes
samedi 6 février 2010
ÉTAT DE LA SITUATION DE L'HUMANITÉ
Project Camelot a écrit un état de la situation sur ce à quoi on peut s'attendre pour maintenant et le futur. Ils posent les hypothèses (infos reçues) et ils tentent de les vérifier. Ils se sont inspirés des nombreuses entrevues publiques qu'ils ont fait ces dernières années et des renseignements confidentiels qu'ils ont reçu. C'est un must et c'est en français.
État de la situation - Project Camelot
État de la situation - Project Camelot
vendredi 5 février 2010
jeudi 4 février 2010
CENSURE SUR DAILYMOTION
Plusieurs comptes ont été censurés sur Dailymotion sous prétexte de non-respect des règles de publication sur le site. Des milliers de vidéos ont été ainsi supprimées, et pour certains, ce fut sans préavis. Blueman, dans son article, nous fait part de sa vision des faits et de ce qu'il lui est arrivé :
Article de Blueman sur la Censure
Article de Blueman sur la Censure
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