Une femme qui affirme avoir été arrêtée et détenue lors du Sommet du G20 intente une poursuite de 45 millions de dollars contre la police de Toronto et le procureur général du Canada.
Sherry Good est la plaignante qui représente plus de 800 personnes qui prétendent avoir été arrêtées sans motif valable lors de cet événement.
La dame de 51 ans affirme qu'elle n'était ni une manifestante ni une militante. Elle se dit victime des arrestations de masse effectuées par la police lors du G20. Elle a été arrêtée au coin des rues Queen et Spadina, le 27 juin, par l'escouade antiémeutes.
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Radio-Canada
samedi 7 août 2010
vendredi 6 août 2010
UN DAUPHIN S'ÉVADE OU SE SUICIDE !?
On sait que les dauphins sont assez intelligents. C'est un geste étrange qu'il pose. Peut-être qu'il en a ras le bol de faire le pitre devant une humanité endormie. Il n'a pas l'air très combattif sur le sol. C'est dans l'air du temps avec les crevettes qui deviennent suicidaires à cause du prozac qui se retrouve dans nos eaux usées.
jeudi 5 août 2010
H1N1 : CONTRATS RIGIDES ET DÉSÉQUILIBRÉS
Un an après la signature des contrats, le Sénat épingle la gestion de la pandémie de grippe A/H1N1. Un rapport de la chambre estime que que le gouvernement a été "empêtré" dans des contrats "déséquilibrés" et rigides signés avec les producteurs de vaccins, qui ne lui ont pas laissé "beaucoup de choix".
Pour les sénateurs, l'ensemble des contrats signés "se caractérisent par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses". Ils relèvent "l'absence de clause de révision" et "le transfert à l'Etat de la responsabilité des laboratoires du fait des produits défectueux". Ils s'étonnent aussi de la "confidentialité des contrats", levée suite à la demande de journalistes. L'acquéreur n'a pas bénéficié non plus de certaines garanties, notamment sur l'efficacité et la sécurité du vaccin, et ne disposait que de calendriers de livraison "purement indicatifs", notent les sénateurs.
Résiliation de 50 millions de doses
Le rapport de la commission d'enquête du Sénat, publié jeudi, est le 3e rapport parlementaire sur la gestion de la pandémie, après celui de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), publié fin juin, et celui de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, publié à la mi-juillet. La commission sénatoriale était présidée par François Autain, du groupe communiste républicain et citoyen.
Le rapport, rédigé par l'UMP Alain Milon, a été complété par des contributions critiques des sénateurs d'opposition. Le rapport s'intéresse particulièrement aux contrats signés en juillet-août 2009 avec les fabricants pour 94 millions de doses, dont 50 millions ont fait l'objet d'une résiliation début janvier.
TF1
Pour les sénateurs, l'ensemble des contrats signés "se caractérisent par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses". Ils relèvent "l'absence de clause de révision" et "le transfert à l'Etat de la responsabilité des laboratoires du fait des produits défectueux". Ils s'étonnent aussi de la "confidentialité des contrats", levée suite à la demande de journalistes. L'acquéreur n'a pas bénéficié non plus de certaines garanties, notamment sur l'efficacité et la sécurité du vaccin, et ne disposait que de calendriers de livraison "purement indicatifs", notent les sénateurs.
Résiliation de 50 millions de doses
Le rapport de la commission d'enquête du Sénat, publié jeudi, est le 3e rapport parlementaire sur la gestion de la pandémie, après celui de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), publié fin juin, et celui de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, publié à la mi-juillet. La commission sénatoriale était présidée par François Autain, du groupe communiste républicain et citoyen.
Le rapport, rédigé par l'UMP Alain Milon, a été complété par des contributions critiques des sénateurs d'opposition. Le rapport s'intéresse particulièrement aux contrats signés en juillet-août 2009 avec les fabricants pour 94 millions de doses, dont 50 millions ont fait l'objet d'une résiliation début janvier.
TF1
FRANÇOIS CHARTRAND : L'ENJEU PÉTROLE
François vous invite à visionner ses nouvelles vidéos dans lesquelles il expose son point de vue sur le sujet en titre.
Vidéo - François Chartrand
Vidéo - François Chartrand
mercredi 4 août 2010
VIANDE CLONÉE EN ANGLETERRE
Les doutes se trouvent donc confirmés : l'Agence de sécurité des aliments du Royaume-Uni a admis mardi que la viande de la progéniture d'une vache clonée était bel et bien entrée dans la chaîne alimentaire du pays, l'année dernière. Les responsables de cet organisme ont fait cette découverte après l'ouverture d'une enquête sur les déclarations d'un éleveur britannique ayant affirmé dans un journal vendre du lait produit par une vache née d'un clone, ce qui est interdit par l'Union européenne.
Ce fermier, s'exprimant sous couvert d'anonymat par crainte que les consommateurs refusent d'acheter sa production, avait affirmé dans le journal International Herald Tribune qu'il mélangeait chaque jour le lait de traite d'une vache née d'un bovin cloné à celui du reste de son troupeau. Il avait également indiqué qu'il vendait des embryons de cet animal à des éleveurs installés au Canada. Or, selon la réglementation européenne, les produits alimentaires, incluant le lait, provenant d'animaux clonés doivent être soumis à des contrôles et obtenir une autorisation pour être mis sur le marché.
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TF1
Ce fermier, s'exprimant sous couvert d'anonymat par crainte que les consommateurs refusent d'acheter sa production, avait affirmé dans le journal International Herald Tribune qu'il mélangeait chaque jour le lait de traite d'une vache née d'un bovin cloné à celui du reste de son troupeau. Il avait également indiqué qu'il vendait des embryons de cet animal à des éleveurs installés au Canada. Or, selon la réglementation européenne, les produits alimentaires, incluant le lait, provenant d'animaux clonés doivent être soumis à des contrôles et obtenir une autorisation pour être mis sur le marché.
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TF1
ON VOUS ÉCOUTE SUR VOTRE CELL
Selon FOX news, le FBI peut écouter les conversations de toute personne sur son cell et même écouter la personne par le microphone du cell, et ce, même s'il est fermé. Il faut enlever la batterie pour le rendre inactif.
lundi 2 août 2010
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