mercredi 17 février 2010

USA : VICTIME D'UNE CYBERATTAQUE

Hier, sans trop faire de bruit autour de la chose, les États-Unis ont été la cible d'une cyberattaque importante. Résultat : plus de 60 millions de téléphones cellulaires hors d'usage, le réseau électrique inopérant dans une partie du pays, Wall Street fermé pendant une semaine et le réseau Internet inutilisable sur le territoire.

Heureusement pour les États-Unis, cette attaque était virtuelle et organisée par les services de sécurité américains qui avaient recréé pour l'occasion la Situation Room du président américain et les différents niveaux de commandement touchés dans une telle crise. Même une chaîne d'information virtuelle était là pour suivre la crise comme si elle était bien réelle. D'ailleurs, CNN était sur place et devrait bientôt présenter une émission sur le sujet.

L'opération Shockwave, qui a fait virtuellement tremblé nos voisins de 10 heures à 22 heures, était une réalisation des services de sécurité américains, mais également de l'Université de Georgetown et du Bipartisan Policy Center qui désiraient évaluer les lacunes du système actuel, notamment au niveau des pouvoirs de Washington dans pareille circonstance.

Par exemple, l'exercice aura permis de constater que la constitution américaine empêche le gouvernement fédéral et les autorités de mettre en quarantaine les cellulaires pour contrôler la prolifération du virus.

Dans le scénario de l'attaque virtuelle, le tout a commencé à partir d'une application de téléphone intelligent pour suivre une équipe de sport scolaire, la situation a rapidement dégénéré alors que le logiciel a servi également à capturer les mots de passe et les courriels des victimes pour ensuite servir à polluer le réseau Internet et faire tomber différents services administratifs et commerciaux.

Si vous êtes curieux dans savoir plus sur le sujet, une petite recherche sur Google vous permettra d'accéder à plusieurs articles sur l'expérience de mardi.
Radio-Canada

samedi 13 février 2010

ATTAQUE SOUS "FAUX PAVILLON" À VANCOUVER

Bien des gens s'attendent à une attaque sous "faux pavillon" à Vancouver lors des jeux olympiques.

AlterInfo a produit un article sur le sujet : L'opération False Flag de type 9/11 aux JO de Vancouver se confirme!!!

Alex Jones sur PrisonPlanet a aussi produit un article complet sur le sujet : Could Vancouver 2010 be the next 9/11?

Je ne veux pas tomber dans la paranoïa, mais c'est le sujet de l'heure et je tiens à vous mettre au courant des tendances.

Voici une vidéo en anglais sur le sujet, où le gars montre les endroits qui, selon lui, pourraient être des cibles pour un attentat :

LES MENSONGES SUR LE SIDA

Interview avec Étienne De Harven, docteur en médecine et professeur émérite d'anatomopathologie à l'Université de Toronto, au Canada. Il est également membre du Comité consultatif sur le SIDA du Président de la République Sud Africaine.

jeudi 11 février 2010

H1N1 : UNE PANDÉMIE EXAGÉRÉE

Enfin, on se réveille au Québec :
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MONTRÉAL - Des experts québécois et européens accusent l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’avoir exagéré l’importance de la grippe A (H1N1) et d’avoir favorisé volontairement l’enrichissement de l’industrie pharmaceutique.
Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d’avoir «naïvement» suivi le mouvement mondial.

Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l’éclosion du virus, l’OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette «hystérie pandémique».

«C’est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale», a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe.

Les liens entre les l’OMS et l’industrie pharmaceutique ont été également soulevés comme cause possible de ce dérapage.

«En 2006 déjà, les États ont commencé à conclure de gros contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour faire face à d’éventuelles pandémies. Ces engagements de commercialisation devaient prendre effet dès que l’OMS déclarerait officiellement une pandémie. Quand l’OMS l’a fait, elle a joué un rôle clé et cela a accru de 18 milliards de dollars les dépenses de santé dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques s’étaient préparées, elles n’attendaient en fait que cela», ajoute le Dr Wodarg.

Alors que l’OMS soutient n’avoir «rien à se reprocher», un expert en pharmacovigilance à l’Université de Montréal questionne les agissements des pays occidentaux qui, à l’exception de la Pologne, se sont tous empressés de mettre sur pied des campagnes massives de vaccination, sans même s’interroger sur les recommandations de l’OMS.

«On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s’est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d’argent. Il n’y a pas eu des millions de morts et rien ne justifiait cet état d’urgence», déplore Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine.

Questionnée à ce sujet, Dominique Breton, une porte-parole du ministère de la Santé, a rétorqué qu’il était «facile de critiquer le gouvernement après coup».

«Nous avons agi comme des autorités responsables et nous avons suivi les recommandations de l’OMS. Finalement, le virus n’était pas aussi virulent qu’on aurait pu le croire, mais on aurait pu se retrouver devant un très grand nombre de personnes infectées», a-t-elle affirmé.

Le gouvernement du Québec a assumé 40% du coût des 4.4 millions de doses de vaccin qui ont été distribuées au Québec.
canoe

Voir sur le site de Protégez-vous :
H1N1 : Scandale

  • Grippe A (H1N1): l'OMS au banc des accusés

  • La gestion québécoise de la crise

  • Perdre confiance

  • Entrevue exclusive avec le Dr Fernand Turcotte