On demande des comptes !
samedi 9 janvier 2010
jeudi 7 janvier 2010
LE PARLEMENT CANADIEN FERMÉ
Le premier ministre Harper a décidé de fermer le parlement canadien jusqu'au 3 mars, deux jours après la fin des Olympiques de Vancouver. Tous les projets de loi en cours devront être rediscutés du début, en mars. Certains pensent que c'est dû à son impopularité au sein de la population. Le gouvernement dit qu'il veut préparer son budget durant ce congé.
Harper s'explique
Dans cette vidéo en anglais, on pense que cela cache une crise plus grande. On soupçonne un autre attentat "false flag" aux Olympiques de Vancouver qui commenceront bientôt. On nous y avise que la société qui s'occupe de la sécurité aux Olympiques est Verint; c'est eux qui avait installé la sécurité dans le métro de Londres, et comme par hasard, le système a failli juste avant et pendant l'attaque du 7/7/2005.
Harper s'explique
Dans cette vidéo en anglais, on pense que cela cache une crise plus grande. On soupçonne un autre attentat "false flag" aux Olympiques de Vancouver qui commenceront bientôt. On nous y avise que la société qui s'occupe de la sécurité aux Olympiques est Verint; c'est eux qui avait installé la sécurité dans le métro de Londres, et comme par hasard, le système a failli juste avant et pendant l'attaque du 7/7/2005.
UN GUERRIER CONSCIENT
Un soldat américain a eu une ouverture de conscience durant et suite à son passage en Irak; voici son témoignage:
mercredi 6 janvier 2010
mardi 5 janvier 2010
LE POINT G N'EXISTERAIT PAS
Le point G ne serait qu'un mythe, estiment des chercheurs britanniques à la lumière des résultats de la plus vaste enquête menée à ce jour sur cette zone érogène féminine.
Menés auprès de 1800 femmes, les travaux d'Andrea Burri et de ses collègues du King's College de Londres n'ont pas permis de mettre en évidence cette région.
Ainsi, selon eux, le point G n'existe pas et serait simplement une idée subjective. Il ferait ainsi partie de l'imaginaire féminin, encouragé par les magazines et par certains sexologues.
Cette région, qui serait fortement érogène chez certaines femmes, est également appelée zone de Gräfenberg, du nom du sexologue allemand Ernest Gräfenberg, qui en a étudié l'existence pour la première fois dans les années 1950.
Elle serait située dans le vagin, et serait composée de nombreuses terminaisons nerveuses qui, si elles sont activées, mènent à un plaisir sexuel intense.
Le concept de point G a ensuite été popularisé dans les années 80 par la sexologue Beverley Whipple. Cette dernière estime que les résultats de la présente étude sont erronés puisqu'ils ne tiennent pas compte des expériences des femmes lesbiennes ou bisexuelles et n'ont pas considéré la pluralité des partenaires sexuels et l'obtention de l'orgasme grâce à des techniques.
Selon l'un des auteurs, le Pr Tim Spector, aucun trait physique réel n'a été remarqué chez les femmes qui disaient avoir un point G, et ce, malgré une alimentation particulière ou une méthode d'exercices.
En 2008, des chercheurs italiens affirmaient avoir établi que le tissu de la paroi antérieure entre l'urètre et le vagin était plus épais chez les femmes qui ont des orgasmes vaginaux intenses que chez celles qui n'en ont pas. Ils pensaient alors avoir découvert le point G.
En 2004, le biologiste Desmond Morris affirmait avoir identifié quatre points G dans la partie supérieure du vagin.
Le détail de la présente étude est publié dans le Journal of sexual medecine.
Radio-Canada
Menés auprès de 1800 femmes, les travaux d'Andrea Burri et de ses collègues du King's College de Londres n'ont pas permis de mettre en évidence cette région.
Ainsi, selon eux, le point G n'existe pas et serait simplement une idée subjective. Il ferait ainsi partie de l'imaginaire féminin, encouragé par les magazines et par certains sexologues.
Cette région, qui serait fortement érogène chez certaines femmes, est également appelée zone de Gräfenberg, du nom du sexologue allemand Ernest Gräfenberg, qui en a étudié l'existence pour la première fois dans les années 1950.
Elle serait située dans le vagin, et serait composée de nombreuses terminaisons nerveuses qui, si elles sont activées, mènent à un plaisir sexuel intense.
Le concept de point G a ensuite été popularisé dans les années 80 par la sexologue Beverley Whipple. Cette dernière estime que les résultats de la présente étude sont erronés puisqu'ils ne tiennent pas compte des expériences des femmes lesbiennes ou bisexuelles et n'ont pas considéré la pluralité des partenaires sexuels et l'obtention de l'orgasme grâce à des techniques.
Selon l'un des auteurs, le Pr Tim Spector, aucun trait physique réel n'a été remarqué chez les femmes qui disaient avoir un point G, et ce, malgré une alimentation particulière ou une méthode d'exercices.
En 2008, des chercheurs italiens affirmaient avoir établi que le tissu de la paroi antérieure entre l'urètre et le vagin était plus épais chez les femmes qui ont des orgasmes vaginaux intenses que chez celles qui n'en ont pas. Ils pensaient alors avoir découvert le point G.
En 2004, le biologiste Desmond Morris affirmait avoir identifié quatre points G dans la partie supérieure du vagin.
Le détail de la présente étude est publié dans le Journal of sexual medecine.
Radio-Canada
CNN ANNONCE LE REFROIDISSEMENT PLANÉTAIRE
Les intervenants demandent de cesser la propagande sur le réchauffement et de mettre fin au projet de taxe sur le carbone. On serait dans un refroidissement qui pourrait durer 20 ans. On y dit aussi qu'il est arrogant de penser que c'est l'homme qui change la température, tout le monde sait que c'est le soleil qui dicte la température.
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