mardi 22 juillet 2008

ATTENTAT EN CHINE - 21 JUILLET 2008

TRAVERSER UN MUR

LA FIN DU SAC EN PLASTIQUE

Los Angeles interdira les sacs en plastique dans ses commerces

Los Angeles a adopté mardi l'interdiction des sacs en plastique dans ses commerces d'ici à 2010, une mesure destinée à lutter contre la pollution et déjà en vigueur à San Francisco, également en Californie.

Deuxième ville des États-Unis avec près de 4 millions d'habitants, Los Angeles prohibera la distribution de sacs en plastique à partir du 1er juillet 2010 dans les supermarchés, les épiceries et les magasins de détail, selon ce règlement adopté en séance plénière par son conseil municipal.

À cette date, les clients devront apporter leurs propres sacs pour transporter leurs courses, où à défaut, acheter pour 25 cents un sac biodégradable.

Quelque 2,3 milliards de sacs en plastique sont distribués chaque année rien qu'à Los Angeles.
(...)

dimanche 20 juillet 2008

OGM, ARGENTINE, 10 ANS APRÈS

La grande arnaque :

LA FIN DU PÉTROLE

(...)Le raisonnement est simple, logique et sans équivoque : la société telle que nous la connaissons ne peut subsister sans pétrole. L'or noir est le pilier de l'économie du monde industrialisé car notre système industriel fonctionne essentiellement grâce aux hydrocarbures: nos modes de transports, le chauffage de nos maisons, l'eau chaude, l’électricité, les matières plastiques, les produits de beauté, les vêtements, mais aussi et surtout l'agriculture devenue intensive et qui grâce -ou à cause, selon le point de vue- aux engrais chimiques, aux traitements herbicides, fongicides et insecticides à permis durant le 20e siècle de multiplier la population mondiale par trois. Notre confort, nos loisir, notre sécurité alimentaire et sanitaire, les moindres de nos habitudes sont conditionnées et intégralement alimentées par le pétrole. Sa disparition équivaudrait par conséquent à une décroissance économique, à l'explosion du chômage massif et à la réduction drastique du niveau de vie dans les pays industrialisés. Une vision qui laisse en somme très peu d’espoir à notre civilisation puisque que ce sont la famine, la désolation urbaine, l'exode voire la mort qui nous attendent. De plus en plus d'individus, essentiellement aux Etats-Unis, se préparent à une rupture économique et sociale d'envergure : des chefs d'entreprise, des commerciaux, des employés, des journalistes, professeurs et écrivains. Au programme, kits de survie, stocks de nourriture, installations autosuffisantes voire même pour certains un entraînement physique adapté et la sécurisation du domicile par tous les moyens, y compris les armes.(...) @Karmapolis

ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE

ou la main mise de l'empire sur le commerce mondial :

LA 11ÈME HEURE

Le film postule que l’humanité s’est progressivement coupée de la nature et a pris l’habitude d’user et abuser des ressources de la Terre. "La grande rupture s’est produite dans les années 1800 avec la machine à vapeur, le recours aux énergies fossiles, la révolution industrielle", explique Nathan Gardels, auteur, éditeur et "Media Fellow" du Forum de l’Économie Mondiale. "Ce fut une rupture décisive avec les formes et rythmes de vie antérieurs qui se régénéraient le plus souvent d’eux-mêmes. Avec la révolution industrielle est née l’idée que la nature est une ressource, une éternelle et inépuisable corne d’abondance. Du même coup, le progrès a été vu comme une croissance et une expansion illimitées." "On a d’abord extrait du charbon, puis du pétrole, il y a eu la révolution agricole, et la population mondiale a continué de croître, mine de rien, jusqu’au milliard d’individus", poursuit Thom Hartmann, auteur à succès et présentateur d’un talk-show radio progressiste. "Il nous avait fallu moins de 100 000 ans pour atteindre ce seuil. Le suivant n’a demandé que 150 ans : en 1930, nous étions déjà deux milliards. Le seul du troisième milliard a été franchi 30 ans plus tard. Songez-y un pu : John Kennedy a connu un monde deux fois moins peuplé que le nôtre !" "Au fil du temps, la technologie a gagné en puissance, tandis que s’amplifiait notre impact sur l’environnement", indique Nathan Gardels. "Ce qui signifie que nous pouvons infliger à la nature infiniment plus de dommages qu’auparavant. Et que nous devons être d’autant plus prudents." (...)

En français :