vendredi 16 mars 2007

ENLÈVEMENTS EXTRATERRESTRES

« Les personnes enlevées sont confrontées à une expérience dont elles ne peuvent nier la réalité, mais qui est pourtant jugée impossible. C’est là que réside la cause première de l’émergence d’un état de stress post-traumatique : vivre quelque chose qui n’est pas envisageable »

UN PHÉNOMÈNE MONDIAL

En Afrique du Sud, John Mack a découvert que les mêmes petits êtres gris décrits par ses experiencers ont été baptisés Mantindane par les Zoulous. Il cite le guérisseur zoulou Credo Mutwa qui déclara : « Demandez aux Pygmées, aux Bushmen du Kalahari, aux Ovahimba de Namibie, aux tribus du Zaïre. Tous vous parleront de la présence grandissante parmi nous de ce que vous appelez en Occident les extraterrestres ». John Mack a découvert que les experiencers décrivent les mêmes types d’êtres de l’Afrique au Brésil, de l’Australie à la Turquie. En outre, dans certaines cultures traditionnelles, on rapporte leur existence depuis des siècles. Par exemple, chez certains Indiens de la forêt amazonienne, on appelle Ikuyas des êtres précisément décrits comme les petites entités à grosse tête dont parlent Karin, Sue ou Will. Les circonstances des rencontres entre ces Ikuyas et les Indiens sont similaires à celles rapportées par les experiencers de John Mack. Ces entités ne peuvent être dirigés au moyen des techniques spirituelles traditionnelles des chamans, et ils sont souvent associés à des observations d’objets ou de phénomènes lumineux. La terreur, parfois, est la même pour les témoins indiens, africains, que pour les patients de John Mack…

LE NEZ, ORGANE QUANTIQUE

Le nez est plus sensible à la vibration des molécules odorantes qu’à leur forme.

C’est grâce aux fréquences des vibrations qu’elles émettent que les molécules qui viennent chatouiller nos narines sont identifiées à une odeur par notre cerveau, avancent des chercheurs anglais de l’University College (Londres). On pensait jusqu’à présent que ces molécules étaient reconnues par les récepteurs du nez grâce à leur forme en 3D, selon le modèle, bien connu en biologie, qui veut qu’une molécule « ouvre » une porte chimique, à la manière d’une clé ayant trouvé la bonne serrure, et déclenche une cascade d’évé-nements conduisant à son identification dans le cerveau. L’équipe de Marshall Stoneham explique que, en fait, la molécule odorante ouvre la porte comme une carte magnétique, en étant reconnue par sa vibration spécifique.

Pour détecter cette fréquence, un électron – émis par la muqueuse par exemple – est envoyé sur la molécule comme une sonde. S’il possède exactement l’énergie de vibration de l’odorant, il va traverser cette molécule pour atteindre le récepteur, lequel activera les neurones. Selon les calculs des chercheurs, ce processus de nature quantique est assez rapide et intense pour être compatible avec les conditions biologiques.

Leur résultat est d’autant plus intéressant qu’il pallie les défauts du modèle clé-serrure. Il explique, par exemple, que deux molécules de formes différentes puissent sentir pareil. Ou bien, qu’ajouter un simple carbone – sans changer la forme de la molécule– transforme une odeur de muguet en celle de bois de santal. Les exceptions au modèle classique sont si nombreuses que Charles Sell, chimiste spécialiste des fragrances, a avoué être incapable de prévoir les odeurs à partir de la forme des molécules. Un autre chercheur britannique, Luca Turin, trouve là enfin une base théorique solide à son idée controversée, exposée en 1996 (lire S. et A. n° 692, octobre 2004), et qui reposait déjà sur la vibration des molécules.

EFFACER DES SOUVENIRS

Au moment où de mauvais souvenirs remontent à la surface, ils sont vulnérables : il est possible de les effacer sans modifier le reste des souvenirs stockés, expliquent des chercheurs français et américains.

A priori, cela ressemble au point de départ d’un film d’anticipation. Des médecins capables d’effacer certains souvenirs, de façon sélective. Les souvenirs les plus désagréables, ceux qui sont cause de stress. De fait, les neurobiologistes ont démontré –sur des rats- qu’un souvenir associé à un traumatisme pouvait être effacé sans que les autres souvenirs soient affectés.

C’est au moment où la mémoire est réactivée que les chercheurs interviennent. Au moment du stockage des informations, la mémoire fonctionne en deux temps : l’information passe d’un stockage à court terme à un stockage à long terme. C’est la phase de consolidation. Pendant longtemps, on a pensé qu’un souvenir consolidé était intouchable et qu’aucune molécule pharmaceutique ne pouvait l’atteindre. Jusqu’à ce que des études suggèrent que la réactivation de ce souvenir le rendait vulnérable.

Ainsi, l’équipe de Joseph LeDoux (New York University, USA) et Valérie Doyère (NAMC/ CNRS/ Orsay, France), associée à l’époque à Karim Nader (McGill University, Canada), a déjà démontré qu’une molécule pouvait effacer un souvenir associé à un traumatisme. Pour cela, les chercheurs ont fait entendre un son à des rats avant de leur envoyer une décharge électrique sur les pattes, afin qu’ils aient peur en entendant ce son. Ensuite, ils ont injecté à certains rats un produit connu pour son effet amnésique avant de leur faire entendre le son. Le lendemain, les rats qui avaient reçu le produit n’avaient plus peur en entendant le fameux son.

Pour vérifier que cette action pharmacologiques n’affectait qu’un seul souvenir à la fois, LeDoux et ses collègues ont cette fois-ci habitués les rats à avoir peur de deux sons différents –toujours associés à des décharges électriques. Après avoir injecté le produit, ils ont fait entendre un seul des deux sons aux rats. Ces rongeurs n’avaient plus peur du son entendu sous l’effet du produit. L’autre continuait à les stresser, preuve que l’action thérapeutique était bien ciblée.

Ces observations sont confirmées par l’étude de l’activité neuronale des rats au niveau de l’amygdale, une partie du cerveau impliquée dans les émotions et la peur. Lors du rappel du souvenir traumatique, l’activité augmente dans l’amygdale. Chez les rats ayant reçu le produit, elle diminue.

Ces travaux, publiés par la revue Nature Neuroscience du 11 mars, confirment qu’au cours du processus de reconsolidation –la réactivation du souvenir- un traitement peut effacer un souvenir. Les chercheurs espèrent que cela permettra de mieux soigner les patients qui souffrent de stress post-traumatique, un stress associé à des souvenirs traumatisants et vivaces. Cependant les résultats obtenus sur les rats n’ont pas encore été vérifiés sur l’homme.

Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(16/03/07)

jeudi 15 mars 2007

SORCIÈRE EN PLEIN VOL

Voyez ce qui apparaît être une sorcière ou un humanoïde habillé en sorcière. C'est du moins ce que les témoins disent : un être au grands yeux, avec des longues griffes, la peau foncée, un chapeau pointu et volant au-dessus d'un cimetière. En effet, il y a eu plusieurs apparitions de la sorte et on se demande si elles sont reliées. Quelqu'un a filmé la dite "sorcière" que d'autres pensent être un extraterrestre et qu'une scientifique trouve très drôle (c'est en espagnol soustitré en anglais, mais vous comprendrez avec ce que je viens de vous dire) :

mercredi 14 mars 2007

MAÏS TRANSGÉNIQUE ET TOXICITÉ

Autorisé en Europe en 2005 pour la consommation animale et en 2006 pour la consommation humaine, le maïs transgénique MON863 de la firme Monsanto est-il toxique ? Le Criigen, le Comité de Recherche et d'Information Indépendantes sur le génie génétique, allié à Greenpeace, réaffirme que le MON863, modifié pour exprimer une protéine insecticide issue du Bacillus thuringiensis, ne peut pas être considéré comme un produit sûr.

Gilles-Eric Séralini, membre du Criigen, publie avec deux collègues un article (1) montrant que les rats nourris avec ce maïs transgénique pendant 90 jours présentent des anomalies rénales, hépatiques et métaboliques. Les trois auteurs relèvent une perte de poids de 3,3% chez les femelles et 3,7% chez les mâles. Les taux de graisses et de sucres augmentent dans le sang des femelles, ainsi que le poids du foie par rapport au corps. Chez les mâles c’est le contraire qui se produit, et le poids des reins diminuent. S’y ajoutent des variations de sodium et de phosphore dans les urines.
(...)
Article sur Nouvel Obs

L'ANTICHRIST EST VERT

Le Pape a été averti par le cardinal Biffi que l'Antichrist est vert, c'est à dire que c'est un écolo, un pacifique et un écuméniste. Biffi cite Vladimir Solovyov (1853-1900), un philosophe russse, qui disait que l'antichrist convoquera un concile écuménique pour tenter de créer un concensus de toutes les confessions catholiques.

Pope is warned of a green Antichrist

MICKEY MOUSE EST UN ALIEN

mardi 13 mars 2007

COMPROMIS RAISONNABLES

Les compromis raisonnables sont à la mode au Québec. Imaginez comment ce médecin aurait agi s'il avait tenté un compromis raisonnable... Regardez la petite vidéo :