Le Centre de contrôle des maladies des USA vient de recommander la diminution du taux de fluorure ajouté à l'eau de 1,2mg à 0,7mg par litre.
Une étude leur a fait constater que 40% (2/5) des enfants de 12 à 15 ans souffrent d'excès fluorure, ce qui détériore leurs dents (dental fluorosis - images)
CDC data briefs via NaturalNews
C'est un pas dans le bon sens, mais idéalement, faudrait arrêter d'ajouter du fluorure à l'eau.
dimanche 9 janvier 2011
L'ISLANDE S'EN SORT GRÂCE À LA FAILLITE DES BANQUIERS
Reprise économique en Islande suite au crash de 2008 (fin de la récession)
Dans une interview reprise par l’agence d’information financière Bloomberg, le Président de l'Islande, Olafur Grimsson explique :« La différence [avec l’Irlande] c’est qu’en Islande nous avons laissé les banques faire faillite. C’étaient des banques privées et on n’y a pas injecté d’argent pour les maintenir à flot; l’Etat n’a pas à assumer cette responsabilité.»
« L’Islande se porte bien mieux qu’attendu », ajoute le Président Grimsson qui s'interroge :
« Peut-on demander aux gens ordinaires – les agriculteurs et les pêcheurs, les enseignants, les docteurs et les infirmières – d’assumer la responsabilité de la faillite des banques privées ? Cette question, qui fut au cœur du débat dans le cas de la banque islandaise Icesave, va être la question brûlante dans de nombreux pays européens. »
(...)
L'Islande emprunte également à des taux plus favorables, signe d'une meilleure confiance et des économistes soulignent que le petit pays a peut-être fait un bon choix en laissant chuter ses banques plutôt que d'injecter à tour de bras des fonds publics, comme l'a fait l'Irlande par exemple. Le rebond islandais devrait néanmoins rester modeste, selon les dernières prévisions de novembre de l'Office national de la statistique.
Le Post
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Voyez ce que ça fait de botter le cul des banksters :
Dans une interview reprise par l’agence d’information financière Bloomberg, le Président de l'Islande, Olafur Grimsson explique :« La différence [avec l’Irlande] c’est qu’en Islande nous avons laissé les banques faire faillite. C’étaient des banques privées et on n’y a pas injecté d’argent pour les maintenir à flot; l’Etat n’a pas à assumer cette responsabilité.»
« L’Islande se porte bien mieux qu’attendu », ajoute le Président Grimsson qui s'interroge :
« Peut-on demander aux gens ordinaires – les agriculteurs et les pêcheurs, les enseignants, les docteurs et les infirmières – d’assumer la responsabilité de la faillite des banques privées ? Cette question, qui fut au cœur du débat dans le cas de la banque islandaise Icesave, va être la question brûlante dans de nombreux pays européens. »
(...)
L'Islande emprunte également à des taux plus favorables, signe d'une meilleure confiance et des économistes soulignent que le petit pays a peut-être fait un bon choix en laissant chuter ses banques plutôt que d'injecter à tour de bras des fonds publics, comme l'a fait l'Irlande par exemple. Le rebond islandais devrait néanmoins rester modeste, selon les dernières prévisions de novembre de l'Office national de la statistique.
Le Post
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Voyez ce que ça fait de botter le cul des banksters :
vendredi 7 janvier 2011
CITATION DU JOUR
«Pour être quelqu’un,
ici et maintenant,
il faut renoncer à être un autre,
ailleurs ou plus tard.»
LE PÔLE NORD BOUGE; L'AÉROPORT DE TAMPA FERME SES ROUTES
Le pôle nord magnétique bouge en permanence vers l’ouest, du grand nord canadien vers la Russie, et les répercussions se font ressentir jusqu’en Floride où la principale piste de l’aéroport de Tampa est fermée pour une semaine, histoire de changer la signalisation.
Les changements du champ magnétique entourant la terre entrainent le déplacement régulier du pôle nord magnétique, sur lequel se basent les pilotes pour la navigation. C’est pourquoi l’autorité fédérale de l’aviation américaine a obligé l’aéroport de Tampa à refaire la signalisation de ses pistes, à commencer par la piste principale Ouest (sur un axe sud-nord) qui doit changer de nom pour s’appeler 19L/1R au lieu de 18L/36R. Le premier chiffre indique le nombre de dizaines de degrés par rapport au nord magnétique, en l’occurrence 180° donc plein sud, le second faisant de même pour l’autre sens de décollage ou d’atterrissage. La différence de 10° par rapport au pôle rendait l’opération indispensable.
Il faudra une semaine à l’aéroport de Tampa pour changer toute la signalisation, peinture sur piste et indicateurs de taxiways, après quoi la piste parallèle à la principale (Est) sera à son tour fermée pour des travaux similaires, puis celle moins utilisée qui court d’est en ouest.
Pourquoi Tampa et pas les autres aéroports américains? Une porte-parole de la FAA explique que les champs magnétiques varient d’un endroit à l’autre du globe, et que le déplacement du pôle nord magnétique peut n’entrainer aucune conséquence pour l’aviation à un endroit quand un autre est affecté. Mais elle s’avoue incapable de dire à quand remonte le dernier changement de signalisation sur un aéroport américain dû à ce déplacement, tellement l’évènement est rare…
Air Journal
Communiqué Tampa Airport
Les changements du champ magnétique entourant la terre entrainent le déplacement régulier du pôle nord magnétique, sur lequel se basent les pilotes pour la navigation. C’est pourquoi l’autorité fédérale de l’aviation américaine a obligé l’aéroport de Tampa à refaire la signalisation de ses pistes, à commencer par la piste principale Ouest (sur un axe sud-nord) qui doit changer de nom pour s’appeler 19L/1R au lieu de 18L/36R. Le premier chiffre indique le nombre de dizaines de degrés par rapport au nord magnétique, en l’occurrence 180° donc plein sud, le second faisant de même pour l’autre sens de décollage ou d’atterrissage. La différence de 10° par rapport au pôle rendait l’opération indispensable.
Il faudra une semaine à l’aéroport de Tampa pour changer toute la signalisation, peinture sur piste et indicateurs de taxiways, après quoi la piste parallèle à la principale (Est) sera à son tour fermée pour des travaux similaires, puis celle moins utilisée qui court d’est en ouest.
Pourquoi Tampa et pas les autres aéroports américains? Une porte-parole de la FAA explique que les champs magnétiques varient d’un endroit à l’autre du globe, et que le déplacement du pôle nord magnétique peut n’entrainer aucune conséquence pour l’aviation à un endroit quand un autre est affecté. Mais elle s’avoue incapable de dire à quand remonte le dernier changement de signalisation sur un aéroport américain dû à ce déplacement, tellement l’évènement est rare…
Air Journal
Communiqué Tampa Airport
mercredi 5 janvier 2011
FUITE DE GAZ DE SCHISTE AU QUÉBEC
Après le ministère de l'Environnement du Québec, c'est au tour du ministère des Ressources naturelles du Québec de confirmer que plusieurs des puits de gaz de schiste qu'il a inspectés présentent des fuites.
Selon un document du ministère soumis au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), 19 des 31 puits inspectés dans les MRC de Lotbinière, de Bécancour et des Maskoutains laissent échapper des émanations de gaz naturel.
(...)
Des inquiétudes, malgré les assurances de l'industrie
Pour André Bélisle, de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), ces informations confirment plutôt que le gouvernement du Québec doit adopter un moratoire sur l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste.
« C'est sûr qu'ils vont nous dire que c'est sans conséquence. BP disait la même chose par rapport au forage qu'ils ont fait dans le golfe du Mexique! Comment est-ce qu'on peut arriver dans une situation où on ne sait pas ce qui se passe, et après on se fait dire qu'il n'y a pas de problèmes? », s'insurge-t-il.
M. Bélisle s'en prend en outre au terme « gaz naturel », trop imprécis selon lui. « C'est une manière de nous endormir! Est-ce qu'on parle de méthane? Est-ce qu'on parle de sulfure d'hydrogène ? Est-ce qu'on parle de radon? Est-ce qu'on parle d'un mélange de tous ces gaz-là? En quelle quantité et depuis combien de temps ? On ne veut pas répondre à ces questions-là. »
« Il faut appeler une réglementation qui soit cohérente et conséquente, et il faut avoir les moyens de vérifier sur le terrain », poursuit M. Bélisle. « Que ce soit au niveau de l'eau, que ce soit au niveau de l'air, on sait qu'il y a des risques importants. »
De son côté, le maire de Bécancour, Maurice Richard, ne cache pas qu'il a été ébranlé par ces nouvelles informations. M. Richard, qui s'est toujours prononcé en faveur de l'exploitation du gaz de schiste, répète que la sécurité du processus est essentielle.
« Vous savez, un réservoir, il est étanche ou il ne l'est pas. Dans ce cas-ci, il y avait des failles ou des fuites dans beaucoup de puits. Est-ce qu'elles étaient dangereuses ou pas dangereuses? [...] La question n'est pas là. C'est que ça doit être étanche. Donc, la méthode de travail, la façon de faire, doit avoir une certitude d'étanchéité. »
Pour Serge Fortier, du Comité de vigilance sur le gaz de schiste des MRC de Lotbinière et de Bécancour, les informations du ministère confirment qu'un moratoire sur l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste est nécessaire.
« On voit que c'est fait tout croche, et ça ne fait que commencer! On est en phase d'exploration et l'industrie n'est même pas capable de faire attention actuellement. Qu'est-ce que ça va être quand ça va être en exploitation? », soutient M. Fortier.
(...)
Radio-Canada
Selon un document du ministère soumis au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), 19 des 31 puits inspectés dans les MRC de Lotbinière, de Bécancour et des Maskoutains laissent échapper des émanations de gaz naturel.
(...)
Des inquiétudes, malgré les assurances de l'industrie
Pour André Bélisle, de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), ces informations confirment plutôt que le gouvernement du Québec doit adopter un moratoire sur l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste.
« C'est sûr qu'ils vont nous dire que c'est sans conséquence. BP disait la même chose par rapport au forage qu'ils ont fait dans le golfe du Mexique! Comment est-ce qu'on peut arriver dans une situation où on ne sait pas ce qui se passe, et après on se fait dire qu'il n'y a pas de problèmes? », s'insurge-t-il.
M. Bélisle s'en prend en outre au terme « gaz naturel », trop imprécis selon lui. « C'est une manière de nous endormir! Est-ce qu'on parle de méthane? Est-ce qu'on parle de sulfure d'hydrogène ? Est-ce qu'on parle de radon? Est-ce qu'on parle d'un mélange de tous ces gaz-là? En quelle quantité et depuis combien de temps ? On ne veut pas répondre à ces questions-là. »
« Il faut appeler une réglementation qui soit cohérente et conséquente, et il faut avoir les moyens de vérifier sur le terrain », poursuit M. Bélisle. « Que ce soit au niveau de l'eau, que ce soit au niveau de l'air, on sait qu'il y a des risques importants. »
De son côté, le maire de Bécancour, Maurice Richard, ne cache pas qu'il a été ébranlé par ces nouvelles informations. M. Richard, qui s'est toujours prononcé en faveur de l'exploitation du gaz de schiste, répète que la sécurité du processus est essentielle.
« Vous savez, un réservoir, il est étanche ou il ne l'est pas. Dans ce cas-ci, il y avait des failles ou des fuites dans beaucoup de puits. Est-ce qu'elles étaient dangereuses ou pas dangereuses? [...] La question n'est pas là. C'est que ça doit être étanche. Donc, la méthode de travail, la façon de faire, doit avoir une certitude d'étanchéité. »
Pour Serge Fortier, du Comité de vigilance sur le gaz de schiste des MRC de Lotbinière et de Bécancour, les informations du ministère confirment qu'un moratoire sur l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste est nécessaire.
« On voit que c'est fait tout croche, et ça ne fait que commencer! On est en phase d'exploration et l'industrie n'est même pas capable de faire attention actuellement. Qu'est-ce que ça va être quand ça va être en exploitation? », soutient M. Fortier.
(...)
Radio-Canada
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