Similac, la bien connue marque de nourriture pour enfants, nourrit nos enfants avec principalement du "sucre".
Le 1er ingrédient est 42,6% de sirop de maïs. Le sirop de maïs est du fructose. Le fructose est connu pour ne pas être reconnu "normalement" par notre corps comme du sucre, donc notre corps ne produit pas d'insuline. Les effets sont, entre autres, l'accumulation de gras dans le foie et un taux élevé de sucre dans le corps conduisant vers des problèmes de diabète.
Plus épeurant encore, le 4ème ingrédient est 10,1% de sucre. Ça fait 52,7% de sucre dans la préparation appelée "Grow and Go". Connaissez-vous un parent qui préparerait de la nourriture pour ses enfants en commençant par introduire 50% de sucre ?
Le 2ème ingrédient est "protéines de soja". Chez Consumers Union on a analysé la préparation de Similac et ils ont découvert que c'est du soja OGM. Le 5ème ingrédient est de l'Huile de soja...OGM encore une fois.
dimanche 3 octobre 2010
samedi 2 octobre 2010
EXPÉRIENCE : INUCULER LA SYPHILIS À DES GUATÉMALTÈQUES
Il y a environ 65 ans, le gouvernement des États-Unis a mené au Guatemala des études médicales concernant des maladies sexuellement transmissibles (MST). Aujourd'hui, les Américains se sont excusés d'avoir inoculé sciemment la syphilis ou la blennorragie à des Guatémaltèques.
Vendredi, la secrétaire d'État Hillary Clinton et la ministre de la Santé Kathleen Sebelius ont indiqué que l'étude qui a été menée de 1946 à 1948 était « clairement contraire à l'éthique » et « répréhensible ».
Environ 1500 personnes avaient participé à cette expérimentation, qui avait pour objectif de déterminer si la pénicilline, que l'on commençait à peine à utiliser, pouvait être utilisée pour prévenir des MST.
Dans un premier temps, les chercheurs avaient choisi comme cobayes des personnes vulnérables, y compris des gens atteints de troubles mentaux. Celles-ci n'ont pas été informées de l'objet de la recherche et de ce qui allait leur arriver.
Ces cobayes ont été encouragés à transmettre des maladies sexuelles. C'est le cas de prostituées qui ont ensuite eu des rapports sexuels avec des soldats ou des détenus.
Dans une deuxième phase, l'approche de la recherche a changé et a consisté à inoculer les maladies directement à des soldats, des prisonniers et des handicapés mentaux.
Les personnes infectées n'ont pas été traitées. Au moins un des cobayes est mort pendant la tenue de l'étude sans qu'il soit établi si l'expérience était elle-même à l'origine de son décès.
« Un crime contre l'humanité »
Informé jeudi par les Américains de l'existence de cette étude, le président du Guatemala, Alvaro Colom, a fortement réagi. Il a déclaré que « ce qui est arrivé à l'époque est un crime contre l'humanité et le gouvernement se réserve le droit de porter plainte ».
Pour leur part, les représentants américains ont dit être « révoltées qu'une recherche aussi répréhensible ait pu être menée en invoquant la santé publique ». Le porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, a indiqué que le président Barack Obama devait joindre par téléphone son homologue guatémaltèque pour lui présenter « personnellement ses excuses » vendredi soir.
L'étude, qui n'a jamais été publiée, a été rendue publique cette année après que Susan Reverby, une historienne médicale du Wellesley College, soit tombée par hasard sur des documents d'archives mentionnant cette expérimentation. Elle a été menée par un controversé docteur américain, John Cutler.
D'ailleurs, le directeur des Instituts nationaux de la santé, Francis Collins, qui a décrit l'étude comme étant un « chapitre noir de l'histoire de la médecine », a souligné que le directeur de la Santé américain de l'époque, Thomas Parran, avait vraisemblablement été mis au courant de l'expérimentation.
Radio-Canada.ca
Syphillis en images (images pouvant déranger certaines personnes)
Vendredi, la secrétaire d'État Hillary Clinton et la ministre de la Santé Kathleen Sebelius ont indiqué que l'étude qui a été menée de 1946 à 1948 était « clairement contraire à l'éthique » et « répréhensible ».
Environ 1500 personnes avaient participé à cette expérimentation, qui avait pour objectif de déterminer si la pénicilline, que l'on commençait à peine à utiliser, pouvait être utilisée pour prévenir des MST.
Dans un premier temps, les chercheurs avaient choisi comme cobayes des personnes vulnérables, y compris des gens atteints de troubles mentaux. Celles-ci n'ont pas été informées de l'objet de la recherche et de ce qui allait leur arriver.
Ces cobayes ont été encouragés à transmettre des maladies sexuelles. C'est le cas de prostituées qui ont ensuite eu des rapports sexuels avec des soldats ou des détenus.
Dans une deuxième phase, l'approche de la recherche a changé et a consisté à inoculer les maladies directement à des soldats, des prisonniers et des handicapés mentaux.
Les personnes infectées n'ont pas été traitées. Au moins un des cobayes est mort pendant la tenue de l'étude sans qu'il soit établi si l'expérience était elle-même à l'origine de son décès.
« Un crime contre l'humanité »
Informé jeudi par les Américains de l'existence de cette étude, le président du Guatemala, Alvaro Colom, a fortement réagi. Il a déclaré que « ce qui est arrivé à l'époque est un crime contre l'humanité et le gouvernement se réserve le droit de porter plainte ».
Pour leur part, les représentants américains ont dit être « révoltées qu'une recherche aussi répréhensible ait pu être menée en invoquant la santé publique ». Le porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, a indiqué que le président Barack Obama devait joindre par téléphone son homologue guatémaltèque pour lui présenter « personnellement ses excuses » vendredi soir.
L'étude, qui n'a jamais été publiée, a été rendue publique cette année après que Susan Reverby, une historienne médicale du Wellesley College, soit tombée par hasard sur des documents d'archives mentionnant cette expérimentation. Elle a été menée par un controversé docteur américain, John Cutler.
D'ailleurs, le directeur des Instituts nationaux de la santé, Francis Collins, qui a décrit l'étude comme étant un « chapitre noir de l'histoire de la médecine », a souligné que le directeur de la Santé américain de l'époque, Thomas Parran, avait vraisemblablement été mis au courant de l'expérimentation.
Radio-Canada.ca
Syphillis en images (images pouvant déranger certaines personnes)
THE SECRET OF OZ
Si vous comprenez l'anglais, c'est à voir.
THE SECRET OF OZ
The economy of the US is in a deflationary spiral. Nothing can stop it — except monetary reform.
1. No more national debt. Nations should not be allowed to borrow. If they want to spend, they have to take the political heat right away by taxing.
2. No more fractional reserve lending. Banks can only lend money they actually have.
3. Gold money is NOT the answer. Historically gold ALWAYS works against a thriving middle class and ALWAYS works to create a plutocracy.
4. The total quantity of money + credit in a national system must be fixed, varying only with the population.
Donate or buy, at www dot secretofOz dot com
THE SECRET OF OZ
The economy of the US is in a deflationary spiral. Nothing can stop it — except monetary reform.
1. No more national debt. Nations should not be allowed to borrow. If they want to spend, they have to take the political heat right away by taxing.
2. No more fractional reserve lending. Banks can only lend money they actually have.
3. Gold money is NOT the answer. Historically gold ALWAYS works against a thriving middle class and ALWAYS works to create a plutocracy.
4. The total quantity of money + credit in a national system must be fixed, varying only with the population.
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vendredi 1 octobre 2010
ON ÉCOULE LES STOCKS DE VACCINS EN AFRIQUE
On écoule les stocks de vaccins AH1N1 en Afrique. Évidemment, on veut vacciner tous les enfants et les femmes enceintes.
DES SUPERS BÉBITTES DANS VOTRE LIT
Linda Moulton Howe vient d'écrire un article sur les "super bugs". Ces bébittes, résistantes à presque tous les pesticides, sont en train d'envahir les États-Unis. Grosses comme un pépin de pomme, elles se nourrissent principalement de sang humain.
earthfiles (article traduit par robot)
earthfiles (article traduit par robot)
CITATION
« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir ensemble comme des idiots. »
Martin Luther King
mercredi 29 septembre 2010
UNE CURE CONTRE LE CANCER
DCA, un acide non brevetable, semble être une cure miracle contre le cancer. Le chercheur a besoin de 100 millions de dollars pour tester et faire approuver le DCA. Les compagnies pharmaceutiques ne vont pas investir dans le DCA car ils ne peuvent pas le breveter (car c'est un ancien médicament), donc ils ne peuvent pas avoir l'exclusivité de la vente du DCA.
Tiens, on vient de trouver un projet d'investissement pour les fiducies de nos milliardaires en marque de sensations fortes. Ils pourraient être des sauveurs en stoppant l'épidémie de cancer... de vrais héros ! M'enfin, ils préfèrent sûrement aller faire chier les africains avec leurs vaccins à la con.
Tiens, on vient de trouver un projet d'investissement pour les fiducies de nos milliardaires en marque de sensations fortes. Ils pourraient être des sauveurs en stoppant l'épidémie de cancer... de vrais héros ! M'enfin, ils préfèrent sûrement aller faire chier les africains avec leurs vaccins à la con.
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