Assumer un choix n'est pas toujours facile et le regret, le doute, voire l'angoisse, accompagnent parfois la décision. Des psychologues de l'université du Michigan viennent d'identifier un remède simple à cet inconfort intellectuel : se laver les mains.
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cité sciences
lundi 10 mai 2010
LE FAST-FOOD MODIFIE LE CERVEAU
Les hamburgers, sodas ou barres chocolatées modifieraient nos connexions cérébrales. Une expérience a été réalisée sur des rats à l'Institut de recherche Scripps de Floride (un des États d'Amérique les plus touchés par l'obésité). Les neurobiologistes voulaient savoir si un régime de type fastfood modifiait l'expérience du plaisir chez ces rongeurs. Pour ce faire, ils ont procédé en deux temps. D'abord, en implantant une électrode dans un centre du plaisir (l'hypothalamus) et en apprenant aux rats à s'autostimuler en appuyant sur un levier. De cette façon, ils ont pu mesurer le seuil de stimulation électrique à partir duquel les rats ressentaient du plaisir. Puis les rats ont été soumis à un régime de type fast-food.
Au bout de deux semaines de ce régime, les neurobiologistes ont constaté que le seuil de stimulation produisant du plaisir avait augmenté : les rats avaient besoin de stimuler davantage leur hypothalamus pour obtenir le même plaisir. Le fastfood provoquerait donc une désensibilisation des circuits du plaisir, obligeant le mangeur à augmenter ses doses pour se sentir satisfait. Le cerveau serait en quelque sorte blasé, et aurait besoin de se surstimuler pour obtenir la même sensation de plaisir. Les neurobiologistes ont également constaté une diminution d'un type de récepteurs de la dopamine, la molécule du plaisir. Ces modifications, tant biochimiques que comportementales, sont identiques à celles produites par la cocaïne et l'héroïne. La spirale de l'obésité serait amorcée comme une toxicomanie.
pour la science
dimanche 9 mai 2010
samedi 8 mai 2010
LA FOLIE DES HAUTEURS
J'ai hâte que les politiciens cessent de planer comme des vautours dans leur illusion de supériorité. Ils volent tellement haut, enivrés par leur pouvoir, qu'ils n'ont plus aucune idée de ce qui se passe sur Terre, au niveau de l'homme. Et nous les imbéciles, on les met au pouvoir. Je vais finir par croire qu'on aime souffrir. Ce n'est pas le temps d'une révolution, c'est à dire de tout jeter à terre et recommencer, c'est le temps d'une évolution. Partons de ce qu'on a, prenons notre place, assumons notre humanité et défendons-la à tout prix. La souffrance devrait être une aberration pour l'homme d'aujourd'hui. La paix, son seul objectif.
Mais il y a certains politiciens, comme Nigel Farage, qui ose rester des hommes authentiques et dénoncer la traîtrise, l'ignominie et le mensonge. Lui aussi s'envola, mais comme un aigle plutôt qu'un vautour. Mais il semble qu'on lui ait coupé ses ailes cette semaine : le petit avion dans lequel il traversait l'Angleterre s'est écrasée. Heureusement, il est toujours vivant et, semble-t-il, dans une assez bonne condition.
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