et sa revue de presse du 18 novembre 2009
lundi 23 novembre 2009
dimanche 22 novembre 2009
LES ENFANTS DU NOUVEAU MONDE
Sylvie Simon est interviewé par Lilou Mace
Titre du livre : Enfants indigo, une nouvelle conscience planétaire
Nous sommes arrivés à une époque où nous devons choisir entre la survie de la Terre et le pillage quotidien de ses richesses, dont cet ouvrage fait le bilan. En même temps, nous observons l'émergence d'enfants qui pensent et agissent en dehors des normes, contestent nos institutions, sont passionnés par les technologies modernes. Le regard qu'ils portent sur le monde est bien différent du nôtre, et ressemble à s'y méprendre à celui des physiciens quantiques qui nous parlent de la solidarité de l'homme avec l'univers et de l'appartenance de tout au Tout. On les appelle " Enfants Indigo ", d'après la couleur de leur aura décrite par des voyants. Seraient-ils venus pour aider l'humanité à évoluer ? L'ambition de ce livre est de tenter de répondre à cette question en réfléchissant sur les mutations actuelles de la Terre et de ses habitants et l'arrivée massive de ces enfants.
Titre du livre : Enfants indigo, une nouvelle conscience planétaire
Nous sommes arrivés à une époque où nous devons choisir entre la survie de la Terre et le pillage quotidien de ses richesses, dont cet ouvrage fait le bilan. En même temps, nous observons l'émergence d'enfants qui pensent et agissent en dehors des normes, contestent nos institutions, sont passionnés par les technologies modernes. Le regard qu'ils portent sur le monde est bien différent du nôtre, et ressemble à s'y méprendre à celui des physiciens quantiques qui nous parlent de la solidarité de l'homme avec l'univers et de l'appartenance de tout au Tout. On les appelle " Enfants Indigo ", d'après la couleur de leur aura décrite par des voyants. Seraient-ils venus pour aider l'humanité à évoluer ? L'ambition de ce livre est de tenter de répondre à cette question en réfléchissant sur les mutations actuelles de la Terre et de ses habitants et l'arrivée massive de ces enfants.
samedi 21 novembre 2009
UN SOURIRE QUI COÛTE CHER
Le cas de cette Québécoise fait couler beaucoup d'encre...
Fallait pas mettre ses photos sur facebook ! Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépression a vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait diffusé sur Facebook des photos qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances. Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi chez IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Un spectacle de strip-tease
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, de fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour justifier la suspension de ses allocations. On m'a dit que «je suis en mesure de travailler à cause de Facebook», a-t-elle dit sur le site de la télévision publique CBC, citant l'explication donnée par son assureur.
Nombreux commentaires
Le cas de Nathalie Blanchard a suscité un immense intérêt dans le public, à en juger d'après le nombre de commentaires et d'opinions publiés samedi sur le site de CBC. Manulife a refusé de commenter cette affaire, mais a adressé à CBC un communiqué pour souligner qu'il ne prenait pas la décision de refuser ou d'interrompre le versement d'allocations à un client en se basant uniquement sur des informations trouvées sur Facebook ou d'autres sites de socialisation. Mais la compagnie a reconnu qu'elle les utilisait pour s'informer sur ses clients.
--------------
Des étudiants d'Oxford qui ont trop fêté
Pour fêter la fin de l’année scolaire, des étudiants de l’Université d’Oxford se sont immortalisé en train de s’envoyer à la tête champagne, confettis et morceaux de viande. Jusque là, disons que c’est plutôt bon enfant.
Puis les fêtards ont mis en ligne, sur le réseau social Facebook, les photos de la soirée, pensant qu’elles ne seraient visibles que par leurs amis.
Erreur: l’administration de l’Université a repéré les images de ces étudiants en liesse. Flagrant délit d’infraction au code de bonne conduite, a-t-elle tranché, demandant à chaque étudiant identifié sur les photos une amende de 100 livres (148 euros) et une comparution en conseil de discipline.
«On avait prévenu nos étudiants qu’ils seraient punis s’ils avaient des comportements anti-sociaux», justifie le porte-parole de l’Université. Qui sont les mouchards? Après une petite recherche sur Facebook, deux profils (deux hommes) sont identifiés comme appartenant au «staff de l'Université d'Oxford».
20 minutes
Fallait pas mettre ses photos sur facebook ! Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépression a vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait diffusé sur Facebook des photos qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances. Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi chez IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Un spectacle de strip-tease
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, de fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour justifier la suspension de ses allocations. On m'a dit que «je suis en mesure de travailler à cause de Facebook», a-t-elle dit sur le site de la télévision publique CBC, citant l'explication donnée par son assureur.
Nombreux commentaires
Le cas de Nathalie Blanchard a suscité un immense intérêt dans le public, à en juger d'après le nombre de commentaires et d'opinions publiés samedi sur le site de CBC. Manulife a refusé de commenter cette affaire, mais a adressé à CBC un communiqué pour souligner qu'il ne prenait pas la décision de refuser ou d'interrompre le versement d'allocations à un client en se basant uniquement sur des informations trouvées sur Facebook ou d'autres sites de socialisation. Mais la compagnie a reconnu qu'elle les utilisait pour s'informer sur ses clients.
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Des étudiants d'Oxford qui ont trop fêté
Pour fêter la fin de l’année scolaire, des étudiants de l’Université d’Oxford se sont immortalisé en train de s’envoyer à la tête champagne, confettis et morceaux de viande. Jusque là, disons que c’est plutôt bon enfant.
Puis les fêtards ont mis en ligne, sur le réseau social Facebook, les photos de la soirée, pensant qu’elles ne seraient visibles que par leurs amis.
Erreur: l’administration de l’Université a repéré les images de ces étudiants en liesse. Flagrant délit d’infraction au code de bonne conduite, a-t-elle tranché, demandant à chaque étudiant identifié sur les photos une amende de 100 livres (148 euros) et une comparution en conseil de discipline.
«On avait prévenu nos étudiants qu’ils seraient punis s’ils avaient des comportements anti-sociaux», justifie le porte-parole de l’Université. Qui sont les mouchards? Après une petite recherche sur Facebook, deux profils (deux hommes) sont identifiés comme appartenant au «staff de l'Université d'Oxford».
20 minutes
COMPTE DE CARBONE
On nous vend déjà de l'eau. Bientôt ce sera l'air qu'on respire.
Jovanovic nous parle de cette méga arnarque :
Jovanovic nous parle de cette méga arnarque :
mercredi 18 novembre 2009
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