Une explication. Un point de vue :
samedi 25 avril 2009
L'ARMÉE US SE PRÉPARE
Aux Etats-Unis, des plans de contingence en cas de crise extrême sont discutés et visent à préparer les militaires à faire face à l’insurrection sociale qui vient.
Le 12 février le Director of National Intelligence, l’amiral Dennis Blair, parlant devant le Comité sur le renseignement du Sénat américain, a affirmé que la crise économique posait « la menace la plus grave à notre stabilité et notre sécurité nationale ». Cette crise, dit-il peut provoquer de « l’extrémisme violent » du même type que celui des années 1920 et 1930.
Le spectre des troubles sociaux fut évoqué dès novembre 2008 devant l’Académie de guerre de l’armée de terre. Une étude militaire, « Les inconnus connus : Chocs non conventionnels dans le développement de la stratégie de la défense », affirme que l’Armée américaine doit être prête à affronter une « dislocation stratégique violente, à l’intérieur des Etats-Unis », provoquée par « un effondrement économique imprévu », « une résistance nationale engagée » et « d’envahissantes situations d’urgence sur le plan de la santé publique ».
Tous ces événements, poursuit l’étude, pourraient provoquer « la disparition d’un ordre politique et juridique fonctionnel ». Des « violences civiles généralisées », poursuit le texte, « forceraient l’appareil militaire de réorienter in extremis ses forces afin de préserver les fondements de l’ordre public et de la sécurité des personnes ».
En clair, le chaos social et l’explosion de mécontentement provoqué par la non-résolution de la crise économique pourraient conduire le gouvernement américain à imposer, à l’aide de l’Armée, la loi martiale. Cet état d’exception « pourrait inclure l’emploi de la force militaire contre des groupes hostiles à l’intérieur des Etats-Unis ».
Alors, après la planche à billets et les récettes Keynesiennes des années 1920, veut-on réellement reprendre les « solutions » des années 1930 ?
► Solidarité et Progrès
Le 12 février le Director of National Intelligence, l’amiral Dennis Blair, parlant devant le Comité sur le renseignement du Sénat américain, a affirmé que la crise économique posait « la menace la plus grave à notre stabilité et notre sécurité nationale ». Cette crise, dit-il peut provoquer de « l’extrémisme violent » du même type que celui des années 1920 et 1930.
Le spectre des troubles sociaux fut évoqué dès novembre 2008 devant l’Académie de guerre de l’armée de terre. Une étude militaire, « Les inconnus connus : Chocs non conventionnels dans le développement de la stratégie de la défense », affirme que l’Armée américaine doit être prête à affronter une « dislocation stratégique violente, à l’intérieur des Etats-Unis », provoquée par « un effondrement économique imprévu », « une résistance nationale engagée » et « d’envahissantes situations d’urgence sur le plan de la santé publique ».
Tous ces événements, poursuit l’étude, pourraient provoquer « la disparition d’un ordre politique et juridique fonctionnel ». Des « violences civiles généralisées », poursuit le texte, « forceraient l’appareil militaire de réorienter in extremis ses forces afin de préserver les fondements de l’ordre public et de la sécurité des personnes ».
En clair, le chaos social et l’explosion de mécontentement provoqué par la non-résolution de la crise économique pourraient conduire le gouvernement américain à imposer, à l’aide de l’Armée, la loi martiale. Cet état d’exception « pourrait inclure l’emploi de la force militaire contre des groupes hostiles à l’intérieur des Etats-Unis ».
Alors, après la planche à billets et les récettes Keynesiennes des années 1920, veut-on réellement reprendre les « solutions » des années 1930 ?
► Solidarité et Progrès
VERS UNE GLACIATION ?
Voici que la fin de la conclusion d'un article qui amène des éléments scientifiques intéressants sur le sujet du bouleversement des températures :
(...)
On sait que le Soleil suit un cycle de onze ans durant lequel son activité s’accroît puis décroît. Cependant, dans le cycle récent, l’activité a été si faible que certains experts craignent que nous entrions dans un nouveau « Minimum de Dalton », référence à la période de 1790 à 1830, le « petit âge glaciaire » où l’activité solaire était en comparaison plus faible. L’astronome Khabibullo Abdusamatov, de l’Observatoire Pulkovo en Russie, a prévu en 2005 que l’activité solaire était sur le point de décroître, amenant un refroidissement. Et en 2008, Oleg Sorokhtine, de l’Académie russe, conseilla de « stocker des manteaux de fourrure », prévoyant un strict minimum solaire d’ici l’an 2040, suivi d’une période de glaciation.
Soyons clairs. Le but de la psychose sciemment entretenue sur le réchauffement planétaire est, en fin de compte, de réduire la population mondiale. Les initiateurs de ce genre de campagne, comme les co-fondateurs du World Wildlife Fund, le prince Philip d’Angleterre ou le prince Bernhard des Pays-Bas (un ancien officier SS) ne s’en cachent pas.
Cessons d’être les dupes de ces campagnes d’horreur, derrière lesquelles se dissimulent des objectifs inavouables. Un retour au concept de progrès scientifique fournirait à l’humanité les meilleurs moyens de traiter tout défi futur menaçant sa survie, que ce soit le changement climatique, de nouvelles maladies ou toute autre menace non encore envisagée.
(...)
On sait que le Soleil suit un cycle de onze ans durant lequel son activité s’accroît puis décroît. Cependant, dans le cycle récent, l’activité a été si faible que certains experts craignent que nous entrions dans un nouveau « Minimum de Dalton », référence à la période de 1790 à 1830, le « petit âge glaciaire » où l’activité solaire était en comparaison plus faible. L’astronome Khabibullo Abdusamatov, de l’Observatoire Pulkovo en Russie, a prévu en 2005 que l’activité solaire était sur le point de décroître, amenant un refroidissement. Et en 2008, Oleg Sorokhtine, de l’Académie russe, conseilla de « stocker des manteaux de fourrure », prévoyant un strict minimum solaire d’ici l’an 2040, suivi d’une période de glaciation.
Soyons clairs. Le but de la psychose sciemment entretenue sur le réchauffement planétaire est, en fin de compte, de réduire la population mondiale. Les initiateurs de ce genre de campagne, comme les co-fondateurs du World Wildlife Fund, le prince Philip d’Angleterre ou le prince Bernhard des Pays-Bas (un ancien officier SS) ne s’en cachent pas.
Cessons d’être les dupes de ces campagnes d’horreur, derrière lesquelles se dissimulent des objectifs inavouables. Un retour au concept de progrès scientifique fournirait à l’humanité les meilleurs moyens de traiter tout défi futur menaçant sa survie, que ce soit le changement climatique, de nouvelles maladies ou toute autre menace non encore envisagée.
jeudi 23 avril 2009
NAZI INTERNATIONAL
Angela Merkel, chancelier fédéral de l'Allemagne. Angela veut dire ANGE; Merk en allemand veut dire ÉTRANGE; el veut dire DIEU, comme dans Gabriel, Mikael... Angela Merkel : l'ange étrange de Dieu ou l'ange étranger de Dieu. Amusant quand même.
En 2006, en 2007, puis de nouveau en 2008, elle est classée comme la femme la plus puissante du monde par le magazine américain Forbes. Elle a une formation universitaire plutôt impressionnante, mais aussi intrigante:
"De 1961 à 1971, elle étudie à l’école scolaire polytechnique de Templin. Grâce à ses facultés au dessus de la moyenne en mathématiques et en langues étrangères – elle parle couramment le russe et l’anglais –, elle a obtenu en 1973 son Abitur avec 1, la note maximale.C'est quand même spécial d'avoir un docteur en physique à la tête d'un pays.
De 1973 à 1978, elle fait des études de physique à l’université Karl-Marx de Leipzig. En 1978, elle reçoit son diplôme de fin d'études en physique. Elle est admise comme collaboratrice à l'Institut central de chimie-physique de l'Académie des sciences de Berlin-Est. Sous la direction de Lutz Zülicke, elle prépare sa thèse (Calcul des constantes de vitesse des réactions élémentaires des hydrocarbures simples) et obtient le doctorat de physique en 1986. Après ses études, elle travaille jusqu’en 1990 à l’Institut central de chimie-physique, en tant que chercheuse dans le domaine de la physique quantique." ► Wikipedia
Camelot Project ont rencontré Joseph Farrell, auteur du livre Nazi International. Farrell nous fait part de ses intéressantes découvertes sur la technologie avancée allemande et de ses ramifications à travers le monde (c'est en anglais) :
Pour vous amuser un peu : dans cet article, on insinue qu'Angela Merkel est la fille d'Hitler. On aurait congelé le sperme d'Hitler, puis inséminer Gretl, la plus jeune soeur d'Eva Braun, épouse de Hitler. On y présente des photos pour montrer la ressemblance.
Voici Gretl et Angela, côte à côte, pas le même âge mais quand même :
Et voici papa Hitler :
Pour vous amuser un peu : dans cet article, on insinue qu'Angela Merkel est la fille d'Hitler. On aurait congelé le sperme d'Hitler, puis inséminer Gretl, la plus jeune soeur d'Eva Braun, épouse de Hitler. On y présente des photos pour montrer la ressemblance.
Voici Gretl et Angela, côte à côte, pas le même âge mais quand même :
Et voici papa Hitler :
mercredi 22 avril 2009
METS SYNTHÉTIQUE
Un chef et un chimiste français ont créé un mets complètement synthétique, aucun fruit aucun légume n'a été utilisé. Ils pensent que cette unique création nous ouvrira des portes sur un nouveau monde de possibilités. M'enfin, on n'arrête pas le progrès.
ROBOTS BACTÉRIES
Les chercheurs l’école polytechnique de Zurich (ETH) ont réussi à fabriquer des micro-robots, à peine plus grand que des bactéries. Ils ouvrent de nouvelles perspectives dans le traitement de certaines maladies.
Ils ressemblent à de minuscules tire-bouchons dotés d’une « tête » encore plus petite et se déplacent dans les milieux liquides à la façon des bactéries en utilisant leur flagelle. Ces ABF (Bacterial Artificial Flagella) sont l’œuvre du laboratoire Robotique et Systèmes intelligents de l’Ecole fédérale polytechnique de Zurich. Mesurant de 25 à 60 µm, ils sont à peine plus gros que les bactéries flagellées observées dans la nature dont la taille varie entre 5 et 20 µm.
Ils ressemblent à de minuscules tire-bouchons dotés d’une « tête » encore plus petite et se déplacent dans les milieux liquides à la façon des bactéries en utilisant leur flagelle. Ces ABF (Bacterial Artificial Flagella) sont l’œuvre du laboratoire Robotique et Systèmes intelligents de l’Ecole fédérale polytechnique de Zurich. Mesurant de 25 à 60 µm, ils sont à peine plus gros que les bactéries flagellées observées dans la nature dont la taille varie entre 5 et 20 µm.
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