C'est étrange, on dirait qu'elle se relève à la fin de sa trajectoire. Peut-être un effet d'optique ou autre chose :
Voici l'explication-média :
lundi 16 février 2009
dimanche 15 février 2009
BLEU : COULEUR DE LA CRÉATIVITÉ
Les couleurs ont-elle une réelle influence sur nos compétences? Oui, à en croire une étude qui fait apparaître que le rouge et le bleu n'agissent pas de la même manière sur notre cerveau: le bleu stimulerait notre créativité, alors que le rouge nous donnerait le souci du détail.
«Les gens ne sont pas conscients de cet effet», s'émerveille le premier auteur Juliet Zhu, spécialiste du comportement à l'université de Colombie-Britannique (Canada), dont les travaux sont publiés dans le dernier numéro de la revue Science.L'effet de la couleur sur le subconscient est un des domaines les plus recherchés en psychologie, en partie parce que les responsables du marketing l'utilisent à des fins commerciales. Cette nouvelle étude montre à quel point ils doivent être prudents, car le rouge et le bleu peuvent provoquer des réactions bien différentes, selon la tâche impliquée.
Pour les besoins de l'expérience, des étudiants ont été soumis à une série de tests cognitifs, la plupart à partir d'écrans d'ordinateur de couleur rouge ou bleue. Les deux couleurs pouvaient mettre en valeur leurs performances, mais de façon très différente.
Les étudiants ont mémorisé plus de mots quand la liste de mots à retenir se trouvait sur l'écran rouge. Invités à réfléchir aux différents usages d'une brique, les individus face à l'écran rouge ont dressé une liste pratique, comme «construire une maison», alors que ceux assis devant un écran bleu ont été plus créatifs.
Quand ils visionnaient des annonces publicitaires, ceux qui voyaient les écrans rouges se fixaient sur ce qui était à éviter: ils préféraient le dentifrice anti-gingivite à celui qui blanchit les dents. Ceux face au bleu choisissaient les images de voyage d'une pub filmée, plutôt que la technicité d'une autre.
Parce que les gens apprennent tôt que le rouge implique de fuir le danger, peut-être sont-ils ralentis par cette couleur, ce qui leur permet d'être meilleurs dans le discernement des détails lors de la mémorisation, de la relecture, avance Zhu. De même, ils associent le bleu au ciel, à la liberté, à la paix, ce qui favorise peut-être l'envie d'explorer et stimule la créativité.
«Il existe une corrélation entre ces couleurs et les différentes motivations», ajoute la chercheuse.
Si ces découvertes se confirment, la découverte du lien entre couleur et créativité pourrait être une avancée importante. Pionnier dans le domaine de la psychologie des couleurs, Andrew Elliot, de l'université de Rochester (New York), fait toutefois preuve de prudence, notant que l'étude ne prend en compte ni l'intensité ni l'éclat de la couleur considérée.
La recherche sur les couleurs concerne essentiellement le rouge. On sait, par exemple, qu'il favorise les sportifs qui le portent, parce qu'il intimide. Elliot a par ailleurs établi que le rouge rendait les femmes plus séduisantes aux yeux des hommes, une information importante à l'approche de la Saint-Valentin.
@cyberpresse
«Les gens ne sont pas conscients de cet effet», s'émerveille le premier auteur Juliet Zhu, spécialiste du comportement à l'université de Colombie-Britannique (Canada), dont les travaux sont publiés dans le dernier numéro de la revue Science.L'effet de la couleur sur le subconscient est un des domaines les plus recherchés en psychologie, en partie parce que les responsables du marketing l'utilisent à des fins commerciales. Cette nouvelle étude montre à quel point ils doivent être prudents, car le rouge et le bleu peuvent provoquer des réactions bien différentes, selon la tâche impliquée.
Pour les besoins de l'expérience, des étudiants ont été soumis à une série de tests cognitifs, la plupart à partir d'écrans d'ordinateur de couleur rouge ou bleue. Les deux couleurs pouvaient mettre en valeur leurs performances, mais de façon très différente.
Les étudiants ont mémorisé plus de mots quand la liste de mots à retenir se trouvait sur l'écran rouge. Invités à réfléchir aux différents usages d'une brique, les individus face à l'écran rouge ont dressé une liste pratique, comme «construire une maison», alors que ceux assis devant un écran bleu ont été plus créatifs.
Quand ils visionnaient des annonces publicitaires, ceux qui voyaient les écrans rouges se fixaient sur ce qui était à éviter: ils préféraient le dentifrice anti-gingivite à celui qui blanchit les dents. Ceux face au bleu choisissaient les images de voyage d'une pub filmée, plutôt que la technicité d'une autre.
Parce que les gens apprennent tôt que le rouge implique de fuir le danger, peut-être sont-ils ralentis par cette couleur, ce qui leur permet d'être meilleurs dans le discernement des détails lors de la mémorisation, de la relecture, avance Zhu. De même, ils associent le bleu au ciel, à la liberté, à la paix, ce qui favorise peut-être l'envie d'explorer et stimule la créativité.
«Il existe une corrélation entre ces couleurs et les différentes motivations», ajoute la chercheuse.
Si ces découvertes se confirment, la découverte du lien entre couleur et créativité pourrait être une avancée importante. Pionnier dans le domaine de la psychologie des couleurs, Andrew Elliot, de l'université de Rochester (New York), fait toutefois preuve de prudence, notant que l'étude ne prend en compte ni l'intensité ni l'éclat de la couleur considérée.
La recherche sur les couleurs concerne essentiellement le rouge. On sait, par exemple, qu'il favorise les sportifs qui le portent, parce qu'il intimide. Elliot a par ailleurs établi que le rouge rendait les femmes plus séduisantes aux yeux des hommes, une information importante à l'approche de la Saint-Valentin.
@cyberpresse
OBAMA VEUT STIMULER LE PAYS ...
... mais c'est 1100 pages à lire en 24 heures pour les élus du congrès :
LE G7 ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL
Le G7 se rencontre en urgence pour discuter d'un nouvel ordre économique mondial. "Un nouvel ordre économique mondial peut sembler rhétorique, mais c'est le vrai but que nous devrions tous chercher à atteindre", dit le US Treasury Secretary Timothy Geithner.
samedi 14 février 2009
COLLISION DE SATELLITES
SPATIAL - «Un fait extrêmement rare», selon le directeur adjoint du Centre spatial de Toulouse…
Attention, accident dans l’espace! Un satellite commercial américain a été détruit après une collision avec un satellite militaire russe hors d’usage, créant deux nuages de débris qui dérivent dans l'espace.
La collision, considérée comme l'un des premiers accidents majeurs de ce genre dans l'espace, a eu lieu ce mardi à environ 800 kilomètres d'altitude au dessus de la Sibérie.
Premier accident de satellites intacts
«C'est la première fois qu'on a deux satellites intacts qui rentrent en collision», a indiqué Philippe Goudy, directeur adjoint du Centre spatial de Toulouse, qui dépend du Centre national d'études spatiales (Cnes), l'agence spatiale française.
«On a eu déjà eu des cas de collision dans le passé, mais c'était toujours avec ce qu'on appelle un débris, c'est à dire un morceau d'un ancien satellite désintégré, ou un morceau d'un bout de fusée», a-t-il précisé.
300.000 débris
Les débris des deux satellites - d'une taille allant de 1 à 10 centimètres de diamètre - seraient au nombre de 300.000, aux côtés de milliards d'autres plus petits fragments en tout genre.
Lancés à des milliers de kilomètres par heure, ils sont susceptibles de faire de gros dégâts sur les engins spatiaux, navettes et autres satellites. Selon la Nasa, le risque que la station spatiale internationale (ISS) soit endommagée est faible dans la mesure où elle gravite à une orbite plus basse (354 km) que celle de la collision.
Les débris retombent parfois sur terre et sont alors le plus souvent totalement détruits par la chaleur en rentrant dans l'atmosphère.
Attention, accident dans l’espace! Un satellite commercial américain a été détruit après une collision avec un satellite militaire russe hors d’usage, créant deux nuages de débris qui dérivent dans l'espace.
La collision, considérée comme l'un des premiers accidents majeurs de ce genre dans l'espace, a eu lieu ce mardi à environ 800 kilomètres d'altitude au dessus de la Sibérie.
Premier accident de satellites intacts
«C'est la première fois qu'on a deux satellites intacts qui rentrent en collision», a indiqué Philippe Goudy, directeur adjoint du Centre spatial de Toulouse, qui dépend du Centre national d'études spatiales (Cnes), l'agence spatiale française.
«On a eu déjà eu des cas de collision dans le passé, mais c'était toujours avec ce qu'on appelle un débris, c'est à dire un morceau d'un ancien satellite désintégré, ou un morceau d'un bout de fusée», a-t-il précisé.
300.000 débris
Les débris des deux satellites - d'une taille allant de 1 à 10 centimètres de diamètre - seraient au nombre de 300.000, aux côtés de milliards d'autres plus petits fragments en tout genre.
Lancés à des milliers de kilomètres par heure, ils sont susceptibles de faire de gros dégâts sur les engins spatiaux, navettes et autres satellites. Selon la Nasa, le risque que la station spatiale internationale (ISS) soit endommagée est faible dans la mesure où elle gravite à une orbite plus basse (354 km) que celle de la collision.
Les débris retombent parfois sur terre et sont alors le plus souvent totalement détruits par la chaleur en rentrant dans l'atmosphère.
ÉPIER LES COURRIELS AU CANADA
Devant un comité de la Chambre des communes à Ottawa, le ministre fédéral de la Sécurité publique a confirmé aujourd'hui que son ministère travaille actuellement sur un projet de loi pour moderniser la loi sur l'écoute électronique. Selon le ministre Peter Van Loan, nos lois actuelles remontent à « l'ère du téléphone à cadran ».
Le projet de loi en question veut obliger les fournisseurs de services Internet à permettre à la police d'épier les échanges de courriers électroniques. Mais pour ce faire, les policiers devraient d'abord obtenir l'approbation de la cour avant de pouvoir « écouter » des échanges électroniques.
Pour la petite histoire, l'administration de Paul Martin avait également tenté une opération de rapprochement avec les fournisseurs Internet en 2005. Mais à l'époque, la commission canadienne à la protection de la vie privée avait jugé cette approche injustifiée.
@radio-canada
Le projet de loi en question veut obliger les fournisseurs de services Internet à permettre à la police d'épier les échanges de courriers électroniques. Mais pour ce faire, les policiers devraient d'abord obtenir l'approbation de la cour avant de pouvoir « écouter » des échanges électroniques.
Pour la petite histoire, l'administration de Paul Martin avait également tenté une opération de rapprochement avec les fournisseurs Internet en 2005. Mais à l'époque, la commission canadienne à la protection de la vie privée avait jugé cette approche injustifiée.
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