
Le projet de loi en question veut obliger les fournisseurs de services Internet à permettre à la police d'épier les échanges de courriers électroniques. Mais pour ce faire, les policiers devraient d'abord obtenir l'approbation de la cour avant de pouvoir « écouter » des échanges électroniques.
Pour la petite histoire, l'administration de Paul Martin avait également tenté une opération de rapprochement avec les fournisseurs Internet en 2005. Mais à l'époque, la commission canadienne à la protection de la vie privée avait jugé cette approche injustifiée.
@radio-canada
1 commentaire:
Je crois que c'est déjà le cas, sauf erreur de ma part.
Par exemple avec Windows Live Messenger (MSN Messenger)
Les messages écrits passent d'abord par un serveur (Microsoft) puis est analysé.
Si le message contient certain mots clefs ils sont stocké sur le serveur puis effacé du message original.
L'interlocuteur, lui reçois le message modifié...
Leur "lois" servent simplement à mettre en plein jour ce qu'il se passe depuis belle lurette dans l'ombre.
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