lundi 3 décembre 2007

SE FAIRE ROBOTISER

Tiré par ses antennes comme un chien en laisse, l’énorme cafard se laisse guider sans réaction par la petite guêpe, qui le mène à une mort certaine – et affreuse. On vient de comprendre comment elle s’y prend : à l’aide d’une injection dans le cerveau, le petit insecte transforme le gros en robot !

Le phénomène avait été observé et décrit depuis longtemps. La guêpe parasite Ampulex compressa, qui vit en région tropicale (de l’Afrique au Pacifique en passant par l’Asie), s’attaque à plusieurs espèces de blattes, dont elle se sert pour nourrir ses larves. De nombreux insectes pratiquent ce genre d’emplettes destinées à leurs rejetons ou pour leur consommation personnelle. Mais en général la proie est tuée ou paralysée avant d’être tractée vers le nid, à moins que la victime ne soit utilisée sur place, l’insecte la mangeant tout de suite ou y pondant ses œufs.

La petite guêpe Ampulex a, elle, trouvé un moyen pour guider sans effort vers son nid de belles blattes grassouillettes, plusieurs fois plus grosses qu’elle. On avait bien vu que la guêpe piquait l’infortuné dictyoptère avant de le tirer par ses antennes. Mais on ne comprenait pas pourquoi la blatte devenait aussi docile. « Elle marche comme un chien en laisse » rapporte Frederic Libersat, de l’Université Ben-Gurion du Negev (Israël), qui a conduit l’étude. Parvenue au nid, Ampulex compressa lâche l’antenne et la blatte reste là, parfaitement immobile, sans réaction aucune, même quand les larves, pondus sur son ventre par la guêpe, commencent à la dévorer.

Du neuromédiateur au libre arbitre

Une observation méticuleuse montre que la guêpe pique non pas une fois mais deux. La première attaque anesthésie légèrement la blatte, permettant à la guêpe de pratiquer la seconde injection, très précise, pile dans le cerveau (dans les ganglions céphaliques préfèrerait dire un biologiste). La proie devient alors totalement incapable de mouvements volontaires et ne se met en marche que lorsqu’on la tire.
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@futura-sciences

Et si la puce digitale avait le même but !?

LA CEINTURE TROPICALE S'ÉLARGIT

L'image de la fonte des glaciers en Arctique illustre très bien les changements engendrés par le réchauffement global de la Terre.

Pourtant, d'autres exemples, beaucoup plus près de l'équateur, font aussi état de ce phénomène planétaire.

À preuve, une étude de chercheurs américains de l'agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) qui montre que la ceinture tropicale de la Terre s'est élargie d'environ 200 kilomètres depuis 25 ans.
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@Radio-Canada

JO2008 : SUPPORTEURS EN FORMATION

Les athlètes ne sont pas seuls à préparer les jeux Olympiques de Pékin 2008 (8-24 août): des milliers de supporteurs chinois s'entraînent dur pour être prêts à acclamer leurs héros le jour J, sans huer les autres.

Fendant l'air à l'aide de deux bâtons jaunes, Lu Xiaoping s'agite, applaudit et chante, en compagnie de 200 collègues de la laiterie où elle travaille, durant les deux heures que dure sa session d'entraînement pour les prochains Jeux.

"J'ai beaucoup appris sur la façon d'applaudir, explique-t-elle. Grâce à ce programme, je pense que les supporteurs chinois se comporteront mieux."

Comme le monde aura les yeux rivés sur les Jeux, le gouvernement chinois ne veut pas que se répètent les incidents survenus lors de la Coupe d'Asie de football en 2004 quand des supporteurs chinois avaient déclenché des émeutes après la défaite de leur équipe en finale face au Japon. Ni les comportements observés lors des rencontres de basket-ball ou de football durant lesquelles les chants obscènes sont fréquents.

"Nous gagnons, nous applaudissons; vous gagnez, nous huons. Ce n'est pas juste", indique Zhai Yue, journaliste qui a expliqué à ses collègues les règles de sports individuels comme le tennis et leur a dit quand applaudir ou ne pas faire de bruit.

Selon lui, les supporteurs chinois devraient imiter leur homologues sud-coréens qui avaient, par leur enthousiasme, aidé leur équipe à atteindre les demi-finales de la Coupe du monde de football, organisée avec le Japon en 2002.
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@20minutes.fr

ÉTRANGE FORMATION NUAGEUSE


@coasttocoastam

OVNI AU COSTA RICA

dimanche 2 décembre 2007

OBJECTIF : LUNE

Trente ans après la mission Apollo 11, les projets d’exploration lunaire n’ont jamais été aussi nombreux et concrets. Poussé par les mystères scientifiques qui continuent d'entourer la Lune, tout le monde veut y prendre part : les Etats-Unis, la Russie, l'Europe, l'Inde, la Chine et le Japon.

CHINE

Lancée le 24 octobre dernier, la sonde Chang’e 1, mise au point par la Chine, doit travailler pendant un an en orbite autour de la Lune. D’après les informations publiées par l’agence chinoise Xinhua, l’image qu'ils ont dévoilée en grande pompe couvre une surface de 460 km de long sur 280 km de large reconstituée à partir de 19 images prises par la caméra CCD de la sonde. Après avoir cartographié la Lune, les chinois veulent envoyer un robot sur la Lune en 2010.

La Chine poursuit en parallèle son programme de vols habités. La troisième mission, Shenzhou VII, doit partir en octobre 2008 avec des astronautes à bord. Selon une information publiée il y a quelques jours dans un journal de Shanghai, une sortie dans l’espace aurait lieu pour la première fois au cours de cette mission chinoise.

JAPON

À la mi-novembre c’est le Japon qui a publié les images obtenues par sa première mission lunaire, la sonde SELENE/Kaguya. Lancée en septembre, la sonde a fourni des images animées du lever et du coucher de la Terre vus depuis la Lune. Pour le Japon, c'est une mission très importante. Elle consiste en un orbiteur de grande dimension équipé de quatorze instruments. Voici une vidéo montrant le lever de Terre :

EUROPE

L'Agence Spatiale Européenne a lancé la mission SMART-1 le 27 septembre 2003 avec le lancement de la sonde pour se terminer le 3 septembre 2006 avec son impact contrôlé sur la Lune. Muni d'une caméra miniature AMIE, au poids de 2 kilogrammes seulement, la sonde a renvoyé des images aujourd'hui utilisées pour déterminer les sites d'alunissage possibles pour les missions à venir. La sélection des sites d'alunissage repose sur des critères, tels que l'importance scientifique de la zone, la facilité d'alunissage ainsi que l'aisance opérationnelle, et, dans le cas où le site choisi est destiné à devenir une base humaine, la disponibilité des ressources lunaires. SMART-1 a réalisé des prises de vue des sites d'alunissage des missions Apollo et Luna, ainsi que de sites d'alunissage potentiels pour des missions humaines au niveau des pôles lunaires.

En février 2007, l'Université Internationale de l’Espace (ISU) accueille des experts mondiaux du spatial pendant son symposium annuel "Pourquoi la Lune ?". On y a traité de l'importance d'établir une présence permanente sur la Lune et de s'en servir comme tremplin pour de nouvelles explorations du système solaire, Mars entre autres.

INDE

L'Inde doit lancer Chandrayaan-I en avril 2008.
Ce n’est qu’en 1997 que l'Inde a mis elle-même en orbite un satellite pour la première fois. À l’époque, le programme spatial indien avait souffert de la décision des États-Unis d’interrompre tout transfert à l’Inde de technologies liées aux fusées, de peur que celles-ci ne soient employées à des fins militaires contre le vieil ennemi, le Pakistan. Aujourd’hui, la motivation à long terme est la même : se détacher de la dépendance. Lorsque, dans quelques décennies, les voyages spatiaux seront devenus routiniers, « nous ne voulons pas être obligés d’acheter des billets sur les engins des autres », explique G. Madhavan Nair, directeur de l’Organisation indienne de recherches spatiales.

L’engin indien se livrera lui aussi à de la cartographie lunaire. En fait, le point commun aux missions indienne, chinoise et japonnaise est de remettre à jour nos cartes lunaires, avec les technologies d’aujourd’hui (l’imagerie 3-D, notamment). À cela l’engin indien Chandrayaan-1 sera le seul des trois à ajouter une sonde qui ira toucher du doigt notre satellite : un engin qui s’en approchera doucement, prenant des images en haute définition avant d’aller s’écraser.

ALLEMAGNE

Le DLR (centre aérospatial allemand) a présenté aux parlementaires allemands les détails d'une mission que l'agence spatiale allemande prévoit d'effectuer seule, dans un premier temps, vers la Lune.

Cette mission non habitée a pour but de mettre en avant les capacités de l'Allemagne en matière de technologies de pointe, notamment dans les appareils de mesure, de détection radar et de cartographie de la surface lunaire. Tous ces instruments de facture allemande sont l'argument-clé du bien-fondé d'une telle mission. La surface de la Lune n'étant cartographiée qu'à hauteur de 8%, la mission lunaire allemande aurait pour objectif de combler ce déficit et de photographier de façon systématique la Lune à l'aide d'une caméra à haute résolution, basée sur la caméra HRSC qui équipe la sonde européenne Mars Express.

Le BMWi, Ministère fédéral de l'économie et des technologies et tutelle du DLR en matière de projets nationaux spatiaux, n'a pas encore donné sa décision concernant le projet estimé entre 300 et 400 millions d'euros. La mission pourrait être lancée en 2012.

RUSSIE

La Russie projette de survoler la Lune en 2012 au moyen d'une capsule Soyouz modernisée, soit près de 8 ans avant les Américains ! Petite parenthèse pour vous signaler que la NASA n'a pas fait grand bruit pour signifier que le retour de l'homme sur la Lune ne se ferait pas en 2018 comme initialement prévu dans son projet d'exploration du Système Solaire mais au mieux en 2020. Cette nouvelle date est apparue dans les communiqués officiels lors du 'baptême' de ses deux prochains lanceurs lourds (Ares I et Ares V).

ÉTATS-UNIS

Pour la première fois dans l'histoire de la Conquête spatiale, l'Europe et les États-Unis envisagent sérieusement des missions habitées sur la Lune et la planète Mars. L'Agence spatiale européenne a lancé Aurora, un programme d'exploration spatiale dont l'un des principaux objectifs est le débarquement d'un homme sur Mars vers 2033. Quant à la NASA, elle doit mettre en œuvre l'ambitieux projet d'exploration spatiale par des engins tant habités que robotisés, visant la Lune, Mars et d'autres destinations.

D'un point de vue scientifique, l'envoi d'hommes sur Mars et la Lune se justifie par des objectifs complémentaires mais très différents. L'intérêt de l'exploration in situ de la Lune résulte de sa surface qui conserve les traces et les indices qu'elle renferme depuis les débuts de l'histoire du Système Solaire. Quant à Mars, c'est la problématique de la vie qui rend son étude et son exploration passionnantes.

Devant la difficulté et la complexité de lancer une mission habitée en direction de Mars, la Lune apparaît comme une étape obligée. Étape qui sera mise à profit pour des recherches scientifiques mais qui sera essentiellement utilisée à préparer la mission martienne en développant la technologie et l'expertise nécessaires à cette aventure. Quant à l'exploration robotique de la planète rouge, elle ne doit pas s'arrêter. Bien au contraire, elle doit s'intensifier à mesure que se prépare via la Lune l'arrivée de l'homme sur Mars.

COURSE À LA CONQUÊTE DE L'ESPACE

On peut facilement conclure de tous ces développements pour l'exploration de la Lune que les pays se doutent bien qu'il y a quelque chose à exploiter sur notre satellite préféré. Les étatsuniens semblent bien tranquilles à ce sujet et focalisent plutôt sur Mars, est-ce parce qu'ils savent déjà ce que l'on peut trouver sur la Lune. On s'en doute. On sait qu'ils ont caché la majorité des images prises lors des missions sur la Lune pour les substituer par des images filmées en studio. Ne soyez pas dupe, il y a des crétins qui affirment que nous ne sommes jamais allés sur la Lune car les images qu'on nous présente sont filmées en studio. Mais en fait, on a filmé en studio pour cacher les vrais images prises sur la Lune. Voir cette vidéo pour vous convaincre des fausses images : vidéo.

Structures lunaires

Richard Hoagland lui affirme qu'il y a des structures de verre sur la Lune, matériau abondant sur la Lune. Ces structures seraient bâtis par des robots, nano et macro, dirigés par des intelligences extraterrestres. Il vient de sortir un livre "Dark Mission" dans lequel il dit prouver l'existence de ces structures sur la Lune et sur Mars. Écoutez son entrevue accordée à Coast To Coast AM.

Cartographie

Tous ces satellites qui vont cartographier la Lune servent-ils justement à repérer et distinguer les bases humaines des bases extraterrestres. On va se trouver un petit coin tranquille loin des aliénigènes pour ne pas les déranger. Si tout le monde y va, c'est qu'ils veulent connaître le positionnement des autres pays sur la Lune. Un pays puissant ne peut pas laisser un autre pays puissant prendre le contrôle de la Lune.

Avertissement

Les étatsuniens et les russes auraient-ils eu un avertissement de ne plus revenir sur la Lune. Ce qui expliquerait la fin des explorations sur la Lune depuis 30 ans. Pourquoi cet engouement tout à coup ? L'interdiction aurait-il été levé ? Mon sentiment est que les américains n'ont jamais arrêté d'y aller et qu'ils y exploitent des métaux rares introuvables sur Terre. De plus, la Lune est un endroit privilégié pour surveiller la Terre. Vous vous demandez comment les étatsuniens auraient pu se rendre sur la Lune sans qu'on le sache... area 51, vous connaissez!? Tous ces appareils antigravitationnels qu'ils y ont expérimenté et que beaucoup ont réussi à filmer, pensez-vous qu'ils se sont contentés de faire des petits tours dans le désert avec.

Si tous les pays se retrouvent sur la Lune, cela ne sera-t-il pas encore une raison pour se faire la guerre les uns les autres. Parce que si on prend l'exemple de ce qui se passe avec l'Arctique qui dégèle et tous ces pays qui veulent leur part du gâteau, c'est rien de rassurant.

LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE

Finkielkraut analyse la situation actuelle de la France au prise avec des émeutes et un racisme grimpant envers les blancs. D'accord ou pas, il amène des points intéressants :

LE CHOC DES CIVILISATIONS

Huntington a écrit en 1997 le livre Le Choc des Civilisations. Ce livre est supposément devenu la référence des leaders étatsuniens. Dans cette vidéo de l'émission Les Dessous des Cartes, Jean-Christophe Victor challenge la théorie de Huntington et y montre ses faiblesses. On se rend compte que le monde n'est pas tout à fait divisé en gros blocs uniformes mais bien en groupes, plus ou moins gros et éparses, de valeurs semblables mais pas nécessairement d'intérêts semblables.


envoyé par EINSTEINXP