L'Amérique aurait été découverte par Marco Polo, quelque 200 ans avant Christophe Colomb, montre une carte de la Bibliothèque du Congrès à Washington. Ce document, apporté à la Bibliothèque en 1933 par Marcian Rossi et entre les mains du FBI depuis 1943, montre une partie de l'Inde, la Chine, le Japon et l'Amérique du Nord. À côté de la carte figure un bateau, en dessous duquel apparaît le blason de Marco Polo. Une analyse aux rayons ultraviolets a permis d'établir la présence de trois encrages sur cette carte, qui a donc été modernisée dans le temps. L'explorateur aurait notamment dessiné le détroit séparant l'Asie de l'Amérique quatre siècles avant qu'il n'apparaisse sur les cartes européennes. Marco Polo n'a jamais parlé dans le récit de ses voyages d'une quelconque découverte de terre dans la zone de l'Alaska. Toutefois, sur son lit de mort, il aurait dit à ses amis: « Je n'ai pas écrit la moitié de ce que j'ai vu ». Actuellement, la découverte de l'Amérique est attribuée à Christophe Colomb, en 1492. La nouvelle hypothèse est relevée dans un article signé par Thierry Secretan dans la dernière parution de la revue VSD. D'autres travaux soutiennent les hypothèses selon lesquelles l'Amérique fut découverte par l'explorateur chinois Zheng He en 1418 ou lors d'une expédition de Vikings vers l'an 1000.
@Radio-Canada
jeudi 9 août 2007
NEXUS no 51
Vous devez vous procurer ce numéro de Nexus en vente présentement. Il y a un article de plus de 25 pages sur la "Neurochimie et énergétique sexuelle". L'article est sublime et vous met sur la piste d'une sexualité qui vous amènera à un autre niveau de conscience, plus élevé.
DOSSIER
AU-DELA DE L’ORGASME… DES CLES POUR SAUVER L’AMOUR
L’amour. Un sentiment, une émotion, un instinct, un acte, mais aussi une débauche de phéromones, une orgie d’amphétamines, une chimie complexe, délicieuse et fatale… mais pas irréversible, c’est là le problème. Oxytocine et sérotonine ont beau prendre le relais, la « descente » est souvent douloureuse, mal vécue. C’est pourtant le même scénario depuis la nuit des temps, mais nous voilà toujours aussi surpris, dégrisés, amers. Notre cerveau n’oubliera jamais les sensations extrêmes ressenties dans la phase passionnelle de l’amour, et nous sommes parfois prêts à tout pour les renouveler, les prolonger, quitte à tout gâcher et à multiplier les nouveaux partenaires. Que l’on soit pris dans cette dynamique addictive ou que l’on s’accomode d’une sexualité routinière, le bonheur n’est pas au rendez-vous. Le progrès est-il impossible en amour ? Entre une liberté sexuelle qui nie l’autre, et la tyrannie de l’orgasme réciproque et synchrone, existe-t-il une troisième voie ? Cette extase dont nous parlent les traditions orientales est-elle accessible à nos corps-esprits imprégnés de culpabilité et de rationalité ? C’est ce que croient les adeptes d’un certain tantrisme ou du taoïsme dont les pratiques ont inspiré, au début du siècle, les initiateurs de la méthode Karezza qui nous invite à passer du plaisir à la félicité en déjouant les pièges de la chimie amoureuse et en intégrant la dimension énergétique du sexe, infiniment plus riche que son seul aspect organique. En France, le docteur Gérard Leleu dénonce depuis vingt-cinq ans les effets d’une sexualité vide de sens lancée à corps malmené dans une escalade du hard, cause du désarroi et de l’éclatement des couples. Pour lui, le « salut » passe par l’appropriation par « l’homme occidental rationnel du troisième millénaire » d’une sexualité sacralisée qui manifeste sa part divine… Une nouvelle révolution sexuelle en perspective ?
DOSSIER
AU-DELA DE L’ORGASME… DES CLES POUR SAUVER L’AMOUR
L’amour. Un sentiment, une émotion, un instinct, un acte, mais aussi une débauche de phéromones, une orgie d’amphétamines, une chimie complexe, délicieuse et fatale… mais pas irréversible, c’est là le problème. Oxytocine et sérotonine ont beau prendre le relais, la « descente » est souvent douloureuse, mal vécue. C’est pourtant le même scénario depuis la nuit des temps, mais nous voilà toujours aussi surpris, dégrisés, amers. Notre cerveau n’oubliera jamais les sensations extrêmes ressenties dans la phase passionnelle de l’amour, et nous sommes parfois prêts à tout pour les renouveler, les prolonger, quitte à tout gâcher et à multiplier les nouveaux partenaires. Que l’on soit pris dans cette dynamique addictive ou que l’on s’accomode d’une sexualité routinière, le bonheur n’est pas au rendez-vous. Le progrès est-il impossible en amour ? Entre une liberté sexuelle qui nie l’autre, et la tyrannie de l’orgasme réciproque et synchrone, existe-t-il une troisième voie ? Cette extase dont nous parlent les traditions orientales est-elle accessible à nos corps-esprits imprégnés de culpabilité et de rationalité ? C’est ce que croient les adeptes d’un certain tantrisme ou du taoïsme dont les pratiques ont inspiré, au début du siècle, les initiateurs de la méthode Karezza qui nous invite à passer du plaisir à la félicité en déjouant les pièges de la chimie amoureuse et en intégrant la dimension énergétique du sexe, infiniment plus riche que son seul aspect organique. En France, le docteur Gérard Leleu dénonce depuis vingt-cinq ans les effets d’une sexualité vide de sens lancée à corps malmené dans une escalade du hard, cause du désarroi et de l’éclatement des couples. Pour lui, le « salut » passe par l’appropriation par « l’homme occidental rationnel du troisième millénaire » d’une sexualité sacralisée qui manifeste sa part divine… Une nouvelle révolution sexuelle en perspective ?
mercredi 8 août 2007
TERRE CREUSE
Pour ceux qui s'intéressent à la Terre creuse, voici une vidéo que vous devez voir. Passer les 2 ou 3 premières minutes. It is a must to see and it is obviously in english !
Also, Hollow Earth in video HERE
Also, Hollow Earth in video HERE
WILLIAM COOPER
Rare vidéo de William Cooper décrivant la menace extraterrestre. Je vous présente les dernières 25 minutes car ce sont les plus intéressantes. Vous pouvez toutefois écouter la conférence dans sa totalité ICI.
COLONISATION ASIATIQUE
La colonisation asiatique sous-estimée
La colonisation du continent européen ne se serait pas faite à la suite de vagues migratoires successives venues d'Afrique, comme le stipule l'hypothèse largement répandue. En fait, les populations d'Asie auraient joué un plus grand rôle que celles qui sont venues d'Afrique pour peupler le vieux continent il y a plusieurs millions d'années. Des anthropologues espagnols, italiens et géorgiens aboutissent à cette conclusion à la suite de l'analyse génétique de plus de 5000 dents fossilisées de spécimens d'origine africaine, asiatique et d'Homo Genus. Cette analyse montre que les dents européennes ont des caractéristiques plus asiatiques qu'africaines. Ce constat est vérifié dans des échantillons datant de 1,8 million d'années jusqu'à l'apparition de l'homme de Néandertal, il y a 250 000 ans. Selon cette analyse, cela montre que les populations d'Eurasie et du continent africain ont suivi des cours différents pendant une longue période. Les détails de ces travaux sont publiés dans les Annales de l'académie nationale américaine des sciences (PNAS).
@Radio-Canada
La colonisation du continent européen ne se serait pas faite à la suite de vagues migratoires successives venues d'Afrique, comme le stipule l'hypothèse largement répandue. En fait, les populations d'Asie auraient joué un plus grand rôle que celles qui sont venues d'Afrique pour peupler le vieux continent il y a plusieurs millions d'années. Des anthropologues espagnols, italiens et géorgiens aboutissent à cette conclusion à la suite de l'analyse génétique de plus de 5000 dents fossilisées de spécimens d'origine africaine, asiatique et d'Homo Genus. Cette analyse montre que les dents européennes ont des caractéristiques plus asiatiques qu'africaines. Ce constat est vérifié dans des échantillons datant de 1,8 million d'années jusqu'à l'apparition de l'homme de Néandertal, il y a 250 000 ans. Selon cette analyse, cela montre que les populations d'Eurasie et du continent africain ont suivi des cours différents pendant une longue période. Les détails de ces travaux sont publiés dans les Annales de l'académie nationale américaine des sciences (PNAS).
@Radio-Canada
L'ÉVOLUTION HUMAINE REVUE ET CORRIGÉE
L'évolution humaine, telle que généralement admise, est remise en question par la découverte de deux fossiles d'hominidés au Kenya. Les anthropologues du projet Koobi Fora ont mis au jour les fragments d'une mâchoire supérieure d'Homo habilis vieux de 1,44 million d'années et un crâne intact d'Homo erectus plus ancien, vieux de 1,55 million d'années.
L'évolution à l'envers
Depuis des dizaines d'années, l'Homo habilis, est reconnu comme le plus ancien représentant de la lignée humaine. Il est considéré comme l'ancêtre de l'Homo erectus, plus évolué. La théorie veut que l'erectus ait suivi l'habilis. Cette découverte montre cependant que les deux espèces ont cohabité pendant au moins un demi-million d'années en Afrique orientale.
La théorie actuelle
L'Homo habilis est une espèce dont l'apparition est située il y a environ 2,5 millions d'années. Il a été nommé ainsi parce que des outils de pierre rudimentaires ont été trouvés proches des restes fossilisés. Ces premiers utilisateurs d'outils auraient été supplantés, il y a 1,8 million d'années, par leurs descendants Homo erectus, l'homme debout. Chez l'Homo Erectus, il existait une grande différence dans la taille du crâne des deux sexes. Selon les connaissances actuelles, cette espèce fut la première à s'engager dans la conquête progressive de la planète.
La nouvelle théorie
La découverte de ces nouveaux ossements impose donc une réécriture du premier chapitre de l'histoire humaine, affirment les auteurs. La preuve de leur coexistence rend peu probable que l'Homo erectus ait évolué à partir de l'Homo habilis. Ainsi, les scientifiques estiment que les deux homos auraient commencé à se développer à partir d'un ancêtre commun il y a 2 à 3 millions d'années. Cette période est pauvre en fossiles attribuables au genre Homo.
L'évolution à l'envers
Depuis des dizaines d'années, l'Homo habilis, est reconnu comme le plus ancien représentant de la lignée humaine. Il est considéré comme l'ancêtre de l'Homo erectus, plus évolué. La théorie veut que l'erectus ait suivi l'habilis. Cette découverte montre cependant que les deux espèces ont cohabité pendant au moins un demi-million d'années en Afrique orientale.
La théorie actuelle
L'Homo habilis est une espèce dont l'apparition est située il y a environ 2,5 millions d'années. Il a été nommé ainsi parce que des outils de pierre rudimentaires ont été trouvés proches des restes fossilisés. Ces premiers utilisateurs d'outils auraient été supplantés, il y a 1,8 million d'années, par leurs descendants Homo erectus, l'homme debout. Chez l'Homo Erectus, il existait une grande différence dans la taille du crâne des deux sexes. Selon les connaissances actuelles, cette espèce fut la première à s'engager dans la conquête progressive de la planète.
La nouvelle théorie
La découverte de ces nouveaux ossements impose donc une réécriture du premier chapitre de l'histoire humaine, affirment les auteurs. La preuve de leur coexistence rend peu probable que l'Homo erectus ait évolué à partir de l'Homo habilis. Ainsi, les scientifiques estiment que les deux homos auraient commencé à se développer à partir d'un ancêtre commun il y a 2 à 3 millions d'années. Cette période est pauvre en fossiles attribuables au genre Homo.
mardi 7 août 2007
FORCE DE LÉVITATION
Deux physiciens d'une université écossaise pensent avoir trouvé comment faire léviter de petits objets en renversant une mystérieuse force de la nature.
On appelle cette force "la Force Casimir". Elle avait été prédite en 1948 et a été mesuré pour la première fois il y a 10 ans.
Cette force est causée par une étrangeté de la nature qui, à petite échelle, permet à des particules d'apparaître spontanément de nulle part dans notre existence.
Cela crée une force qui colle deux objets placés très près l'un de l'autre. Cela peut être démontré par l'habilité qu'a un gecko de rester collé à une surface avec seulement un orteil .
On cherche maintenant à renverser l'effet pour faire léviter les objets. On peut penser évidemment à des applications en nanotechnologie. Cette force permet réduire à zéro la friction entre certaines pièces.
@news.scotsman.com
On appelle cette force "la Force Casimir". Elle avait été prédite en 1948 et a été mesuré pour la première fois il y a 10 ans.
Cette force est causée par une étrangeté de la nature qui, à petite échelle, permet à des particules d'apparaître spontanément de nulle part dans notre existence.
Cela crée une force qui colle deux objets placés très près l'un de l'autre. Cela peut être démontré par l'habilité qu'a un gecko de rester collé à une surface avec seulement un orteil .
On cherche maintenant à renverser l'effet pour faire léviter les objets. On peut penser évidemment à des applications en nanotechnologie. Cette force permet réduire à zéro la friction entre certaines pièces.
@news.scotsman.com
MORT ÉCOLO
On peut faire de sa mort un acte écologique. Comment? Outre-manche, les cimetières adoptent une méthode étonnante pour faire disparaître un cadavre: au lieu de brûler le corps comme lors de la traditionnelle crémation, on le fait bouillir dans l’eau. C’est le même prix que la crémation, 440 euros, et c’est plus écologique.
Le procédé, appelé «resomation» (1) en anglais, est un mélange d’eau et de potasse qu’on fait bouillir jusqu’à 150°C. La montée en température est lancée une fois que le corps du défunt placé dans un cercueil en soie baigne dans une centaine de litres du mélange eau potasse. Au bout de deux heures, il ne reste plus qu’une poussière blanche. La «resomation» repose sur le même principe chimique que la décomposition naturelle. La «machine à bouillir», qui coûte 440.000 euros, ne fait qu’accélérer le processus.
Et les économies d’énergie ne sont pas négligeables. La crémation pour être efficace fait monter le mercure du thermomètre à 1.200°C. Le mercure justement est un des composés chimiques présents dans la fumée rejetée lors de la crémation. Un composé qui est hautement cancérigène.
La «resomation» à base de soude et de potasse vise à détrôner les autres méthodes en jouant sur cette indéniable carte écolo. Sans oublier que les arbres y gagnent puisque le cercueil en bois est supplanté par une structure en soie. Le Crematorium de Londres est en pourparler avec une société basée à Glasgow (Ecosse) pour installer la machine.
(1) Du mot grec resoma qui veut dire renaissance du corps humain.
@20minutes.fr
Le procédé, appelé «resomation» (1) en anglais, est un mélange d’eau et de potasse qu’on fait bouillir jusqu’à 150°C. La montée en température est lancée une fois que le corps du défunt placé dans un cercueil en soie baigne dans une centaine de litres du mélange eau potasse. Au bout de deux heures, il ne reste plus qu’une poussière blanche. La «resomation» repose sur le même principe chimique que la décomposition naturelle. La «machine à bouillir», qui coûte 440.000 euros, ne fait qu’accélérer le processus.
Et les économies d’énergie ne sont pas négligeables. La crémation pour être efficace fait monter le mercure du thermomètre à 1.200°C. Le mercure justement est un des composés chimiques présents dans la fumée rejetée lors de la crémation. Un composé qui est hautement cancérigène.
La «resomation» à base de soude et de potasse vise à détrôner les autres méthodes en jouant sur cette indéniable carte écolo. Sans oublier que les arbres y gagnent puisque le cercueil en bois est supplanté par une structure en soie. Le Crematorium de Londres est en pourparler avec une société basée à Glasgow (Ecosse) pour installer la machine.
(1) Du mot grec resoma qui veut dire renaissance du corps humain.
@20minutes.fr
GUITARE OUIJA
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