Le journal officiel de la City de Londres, le Financial Times, a fait entendre la voix de l'oligarchie financière britannique dans sa stratégie de déstabilisation de l'Eurasie. Dans un éditorial de la rédaction publié au lendemain de l'attentat du Xinjiang ayant tué 16 policiers chinois, le quotidien de la City dénonce l'évaluation par la Chine de la menace terroriste Ouïgour, au même titre que la Russie avec les Tchétchènes, comme étant « fausse ». L'ironie est à son comble lorsque l'on sait que ces nébuleuses terroristes « islamiques » sont entretenues et activées depuis Londres.
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L’Asie centrale est la clé de l’unification géographique et économique de la masse continentale eurasiatique, et à ce titre elle est aussi la clé de sa destruction. C’est pour cela que le trafic de drogue, les séparatismes et le terrorisme sont entretenus, car ils constituent le bras armé de la politique impériale britannique.
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Les effectifs de ces différents groupes, et notamment du mouvement ouïghour, ont été recrutés et formés via le Hizb ut-Tahrir, un mouvement listé comme terroriste et interdit dans les pays musulmans et en Europe…à l’exception de la Grande Bretagne, qui l’héberge et lui donne pignon sur rue à Londres, Birmingham ou Liverpool et dans de nombreuses universités.
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