Trois possibilités d'une attaque terroriste sous fausse bannière. Par le capitaine Eric H. May, American Patriot Freinds Network, le 23 février 2008 :
La façon la plus simple d'accomplir une attaque sous fausse bannière est de réaliser des exercices militaires qui simulent la même attaque que vous voulez effectuer. Tel que je le détaille ci-dessous, c'est exactement la manière dont le auteurs du gouvernement aux États-Unis et au Royaume-Uni s'y sont pris dans les attaques « terroristes » du 11/9 et du 7/7, qui étaient en réalité des attaques réalisées par le gouvernement et imputées à des «terroristes».
La première cible: Houston. Au cours des quatre dernières années, les militaires et la police des vétérans telle que moi, avons sensibilisé le public aux exercices du gouvernement visant la destruction nucléaire de la banlieue pétrolière de Houston. Cinq fois au cours de ces quatre années nous avons été capables de prédire en moins d'une journée des explosions pétrochimiques majeures dans l'une de ces banlieues pétrolières. Les chances contre ce genre de précision sont astronomiques. Étant le centre des « Big Oil – les grandes sociétés pétrolières US» et de la famille Bush, Houston demeure la ville la plus menacée des États-Unis. Tout groupe patriotique, comme le mien, qui tente d'alerter les villes de sa patrie sur les dangers d'une attaque sous fausse bannière doit lire mon récent article « The 1/31 Nuke : Proof for Run Paul » concernant l'interdiction réussie de s'en prendre à Texas City en 2006 :
http://www.thepriceofliberty.org/08/01/28/may.htm
La deuxième cible: Chicago. Alors que Houston est la ville la plus menacée, le building le plus menacé c'est-à-dire le meilleur candidat pour être le prochain World Trade Center, est la Sears Tower. Les sources officielles l'ont répété depuis les attaques du 11/9, lorsqu'elles ont dit qu'elle était sur la liste noire d'Al-Qaida. Larry Silverstein, qui a acheté les Twin Towers (les tours jumelles), deux mois avant le 11/9, a dirigé un groupe qui a acheté la Sears Tower le 11 mars 2004, le jour des attentats de Madrid. Les officiels fédéraux ont toujours désigné Chicago et sa Sears Tower comme cibles d'Al-Qaida depuis les attentats du 11/9 et ils ont réitéré la menace depuis. En mai 2006, le gouvernement avait prévu un exercice secret du type 11/9 à Chicago, alors que le maire Daley de Chicago était commodément amarré loin en Israël pour sa première visite dans ce pays. J'ai envoyé un communiqué largement diffusé au gouverneur Blagojevich de l'Illinois, dans le cadre d'une tentative Internet réussie pour empêcher une tentative d'attaque sous fausse bannière:
http://tekgnosis.typepad.com/tekgnosis/2006/05/ghost_troop_com.html
La troisième cible: Portland. La ville de Portland, appelé la « Petite Beyrouth » par les copains de Bush en raison de son hostilité envers Bush 41 et Bush 43 [NDT : Bush père fut le 41e président des USA et son fils le 43e], est passée dans ma liste des trois premières ville l'été dernier, lorsqu'elle a été désignée comme cible d'une attaque nucléaire dans le cadre des exercices successifs « Noble Resolve » et « TOPOFF. » Les termes utilisés dans un communiqué de presse officiel a indiqué assez clairement le cas: « Noble Resolve coordonnera avec les responsables de l'Oregon l'exemple d'une attaque nucléaire sur Portland. » Au cours de recherches sur Portland pour une série d'articles que j'ai écrite sur la ville et ses exercices, j'ai découvert que les universités Stanford et Harvard avaient préparé un plan détaillé des retombées nucléaires pour cela, que les commandants militaires et les commandants de la Garde Nationale de l'État racontaient différentes histoires au sujet de ce que ces exercices étaient censés accomplir et que le journal de Portland, « The Oregonian, » faisait tout ce qu'il pouvait pour empêcher tout enquête sur les anomalies terrifiantes. Je n'étais pas du tout surpris de retrouver le dernier jour des exercices le directeur de la Sécurité intérieure [Homeland Security], Michael Chertoff, au centre-ville de Portland, qui a alors été fermé sur une vaste étendue suite à une alerte à la bombe « imprévue. » Pour une autre perspective professionnelle visant à savoir combien le danger était grand, et peut-être encore, je renvoie le lecteur à l'analyse de mon collègue, le major William B. Fox (USMC):
http://www.lonestaricon.com/absolutenm/anmviewer.asp?a=2006&z=186
@alterinfo
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