Ou le début d'un temps nouveau !?!...ça dépend de nous.
mardi 9 mars 2010
UNE ÉGLISE SORT DES EAUX
En 2009, une église au Vénézuela était presque submergée. En 2010, les eaux se sont retirées :
National Geographic
National Geographic
BÉBÉS SOUS INFLUENCE CHIMIQUE
Le taux de spermatozoïde des hommes diminue sans cesse et il pourrait atteindre un seuil au-delà duquel de nombreux humains auraient du mal à se reproduire. En moyenne, les hommes d'aujourd'hui produisent moitié moins de spermatozoïdes que leur père ou que leur grand-père. Et on constate aussi une baisse de la qualité du sperme. Pourquoi? Les soupçons se portent sur un ensemble de molécules chimiques qui sont présentes dans les matières plastiques.
lundi 8 mars 2010
BIG BROTHER DANS VOS POUBELLES
LONDRES - La guerre des ordures va-t-elle être déclarée en Grande-Bretagne? C'est en tous cas le dernier épisode en date de la société sous haute surveillance d'Outre-Manche: des puces électroniques installées dans les poubelles pour surveiller, voire taxer, les pratiques en matière de recyclage des citoyens.
Selon Big Brother Watch, une organisation de défense de la vie privée contre les intrusions des autorités, plus de 2,6 millions de ces puces auraient été installées, en toute discrétion. Il s'agirait d'une première étape en prévision de l'instauration de systèmes d'amendes pour les mauvais recycleurs, ceux qui jettent trop et mal...
Les «pro» estiment que c'est une manière d'inciter au recyclage. Mais les «anti» trouvent que l'affaire sent bien mauvais.
Big Brother Watch a découvert, via une série de réclamations dans le cadre de la loi sur le libre accès aux informations, que plusieurs conseils municipaux de Grande-Bretagne avaient installé ces puces électroniques dans les poubelles, mais sans les activer encore, se doutant bien que la mesure serait fort impopulaire.
«Ils attendent que le climat politique change avant de les utiliser», explique Dylan Sharpe, directeur de campagne chez Big Brother Watch, prédisant que les foyers produisant beaucoup de détritus seraient ensuite pénalisées.
«Flicage»
L'affaire des «micros dans les poubelles» vient se rajouter à un dispositif de «flicage» déjà écrasant en Grande-Bretagne, où les caméras de télésurveillance sont omniprésentes pour surveiller la population, dans les lieux publics et particulièrement les transports en commun.
«C'est encore un nouvel instrument du dispositif de surveillance qui vient empiéter sur notre vie quotidienne», dénonce M. Sharpe. «Avec ces informations, ils peuvent aussi savoir si nous sommes chez nous ou pas et l'information est enregistrée dans la base de données (des conseils municipaux, NDLR), qui n'est pas si sécurisée que cela».
Quant à d'éventuelles surtaxes pour trop plein d'ordures, estime Big Brother Watch, elles risqueraient de pénaliser les familles nombreuses et d'être à terme contre-productives, car susceptibles de pousser les usagers à brûler leurs ordures ou à les jeter illégalement, plutôt que d'avoir à payer plus cher.
Mais Gary Hopkins, élu local à Bristol, ne voit pas les choses du même œil. Pour lui, ces «puces de poubelle» seraient plutôt un instrument utile dans le cadre d'un programme innovant destiné à récompenser les efforts des bons gestionnaires de détritus, et pas l'inverse.
«C'est volontaire, pas obligatoire. La contrainte ne fonctionnerait pas. Nous avons convaincu les habitants de Bristol de participer à ce programme de recyclage. Et nous voulons inciter ceux qui n'en sont pas encore à s'y mettre aussi», explique-t-il.
Mais nombreux sont ceux qui s'inquiètent de voir se développer encore les projets gouvernementaux en matière de collecte de renseignements et de surveillance de la population.
«État-nounou»
La Grande-Bretagne possède déjà la plus importante base de données ADN au monde. Les responsables de l'antiterrorisme font pression pour pouvoir traquer toutes les communications, par courriel, SMS ou appel téléphonique.
Et il y a aussi ce que les Britanniques surnomment «l'État-nounou», une série d'initiatives utilisant la loi pour tenter de modifier les comportements sociaux: en janvier, le gouvernement a notamment interdit certaines promotions dans les bars pour tenter de faire baisser l'alcoolisme et finance la mise au point d'un verre à bière incassables, pour éviter que les bagarres d'ivrognes ne se terminent dans le sang à coups de verre brisé...
Selon l'étude de Big Brother Watch, l'installation des puces électroniques dans les poubelles a débuté il y a huit ans. Et le débat sur la légalité de surveiller les ordures des citoyens revient régulièrement depuis sur le devant de la scène.
En 2006, le ministre de l'Environnement de l'époque, Ben Bradshaw, avait évoqué l'idée d'une taxation au volume des détritus produits, estimant que la pratique populariserait le recyclage et réduirait la pression sur les décharges.
Son successeur David Miliband a fait lever l'interdiction pour les responsables locaux d'offrir des incitations financières pour leurs administrés pratiquant le recyclage, ouvrant ainsi la voie à l'activation des puces de surveillance des poubelles.
La nature de ces puces varie: certaines servent à évaluer le poids des ordures entassées dans le réceptacle. D'autres vérifient si la poubelle a été vidée, ou encore le lieu où elle se trouve.
Et si aucune de ces puces ne sert pour l'instant à la mise en œuvre d'un système d'ordures payées au poids, Big Brother Watch craint le pire pour l'avenir, notant que l'installation de ces mouchards des poubelles s'est accélérée au cours de l'année écoulée.
CANOE
Selon Big Brother Watch, une organisation de défense de la vie privée contre les intrusions des autorités, plus de 2,6 millions de ces puces auraient été installées, en toute discrétion. Il s'agirait d'une première étape en prévision de l'instauration de systèmes d'amendes pour les mauvais recycleurs, ceux qui jettent trop et mal...
Les «pro» estiment que c'est une manière d'inciter au recyclage. Mais les «anti» trouvent que l'affaire sent bien mauvais.
Big Brother Watch a découvert, via une série de réclamations dans le cadre de la loi sur le libre accès aux informations, que plusieurs conseils municipaux de Grande-Bretagne avaient installé ces puces électroniques dans les poubelles, mais sans les activer encore, se doutant bien que la mesure serait fort impopulaire.
«Ils attendent que le climat politique change avant de les utiliser», explique Dylan Sharpe, directeur de campagne chez Big Brother Watch, prédisant que les foyers produisant beaucoup de détritus seraient ensuite pénalisées.
«Flicage»
L'affaire des «micros dans les poubelles» vient se rajouter à un dispositif de «flicage» déjà écrasant en Grande-Bretagne, où les caméras de télésurveillance sont omniprésentes pour surveiller la population, dans les lieux publics et particulièrement les transports en commun.
«C'est encore un nouvel instrument du dispositif de surveillance qui vient empiéter sur notre vie quotidienne», dénonce M. Sharpe. «Avec ces informations, ils peuvent aussi savoir si nous sommes chez nous ou pas et l'information est enregistrée dans la base de données (des conseils municipaux, NDLR), qui n'est pas si sécurisée que cela».
Quant à d'éventuelles surtaxes pour trop plein d'ordures, estime Big Brother Watch, elles risqueraient de pénaliser les familles nombreuses et d'être à terme contre-productives, car susceptibles de pousser les usagers à brûler leurs ordures ou à les jeter illégalement, plutôt que d'avoir à payer plus cher.
Mais Gary Hopkins, élu local à Bristol, ne voit pas les choses du même œil. Pour lui, ces «puces de poubelle» seraient plutôt un instrument utile dans le cadre d'un programme innovant destiné à récompenser les efforts des bons gestionnaires de détritus, et pas l'inverse.
«C'est volontaire, pas obligatoire. La contrainte ne fonctionnerait pas. Nous avons convaincu les habitants de Bristol de participer à ce programme de recyclage. Et nous voulons inciter ceux qui n'en sont pas encore à s'y mettre aussi», explique-t-il.
Mais nombreux sont ceux qui s'inquiètent de voir se développer encore les projets gouvernementaux en matière de collecte de renseignements et de surveillance de la population.
«État-nounou»
La Grande-Bretagne possède déjà la plus importante base de données ADN au monde. Les responsables de l'antiterrorisme font pression pour pouvoir traquer toutes les communications, par courriel, SMS ou appel téléphonique.
Et il y a aussi ce que les Britanniques surnomment «l'État-nounou», une série d'initiatives utilisant la loi pour tenter de modifier les comportements sociaux: en janvier, le gouvernement a notamment interdit certaines promotions dans les bars pour tenter de faire baisser l'alcoolisme et finance la mise au point d'un verre à bière incassables, pour éviter que les bagarres d'ivrognes ne se terminent dans le sang à coups de verre brisé...
Selon l'étude de Big Brother Watch, l'installation des puces électroniques dans les poubelles a débuté il y a huit ans. Et le débat sur la légalité de surveiller les ordures des citoyens revient régulièrement depuis sur le devant de la scène.
En 2006, le ministre de l'Environnement de l'époque, Ben Bradshaw, avait évoqué l'idée d'une taxation au volume des détritus produits, estimant que la pratique populariserait le recyclage et réduirait la pression sur les décharges.
Son successeur David Miliband a fait lever l'interdiction pour les responsables locaux d'offrir des incitations financières pour leurs administrés pratiquant le recyclage, ouvrant ainsi la voie à l'activation des puces de surveillance des poubelles.
La nature de ces puces varie: certaines servent à évaluer le poids des ordures entassées dans le réceptacle. D'autres vérifient si la poubelle a été vidée, ou encore le lieu où elle se trouve.
Et si aucune de ces puces ne sert pour l'instant à la mise en œuvre d'un système d'ordures payées au poids, Big Brother Watch craint le pire pour l'avenir, notant que l'installation de ces mouchards des poubelles s'est accélérée au cours de l'année écoulée.
CANOE
dimanche 7 mars 2010
ATTAQUER LES PLUS FAIBLES POUR SAUVER L'EMPIRE
En commençant par la Grèce, les prochains étant l'Italie, le Portugal et l'Espagne.
Webster Tarpley propose aussi des solutions pour un retournement.
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Webster Tarpley propose aussi des solutions pour un retournement.
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LES NOUVEAUX JACKPOTS DES LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES
A l'occasion de la crise de la grippe H1N1, l'opinion a pris conscience du rôle joué par les laboratoires pharmaceutiques. La présence, au sein de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), d'experts financés par l'industrie du médicament a jeté la suspicion sur le bien fondé de la campagne de vaccination. Une dizaine de multinationales se partagent le marché mondial de la Santé et génèrent environ 400 milliards d'euros de profit. En France, 300 nouveaux médicaments sont lancés chaque année. Sophie Bonnet enquête sur les techniques marketing mises en place par les laboratoires, pour nous faire avaler la pilule...
samedi 6 mars 2010
vendredi 5 mars 2010
TEMPS MORT
Temps mort est une série web conçue et réalisée par Éric Piccoli. En dix épisodes d’environ cinq minutes chacun, cette série raconte l’histoire de Joël (Julien Deschamps Jolin). Tout débute à Montréal en 2013, alors qu’un cataclysme vient de se produire : il n’y a plus d’électricité, la neige se met à tomber… et c’est le début d’un hiver sans fin. Joel tente de retourner auprès de sa famille à Rouyn-Noranda. Un accident bouleverse ses plans et il se réfugie en campagne. Il n’a qu’un cahier de dessin pour occuper son esprit jusqu'à sa rencontre avec une autre survivante : Chloé (Elisabeth Locas).
Voir les 10 épisodes de TEMPS MORT
Voir les 10 épisodes de TEMPS MORT
jeudi 4 mars 2010
mercredi 3 mars 2010
L'AXE DE LA TERRE A DÉVIÉ
Le tremblement de terre d'une magnitude de 8,8 qui s'est produit samedi au large du Chili a eu un impact sur la rotation de la Terre, affirme un scientifique de la NASA.
Selon Richard Gross, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie, le séisme a fait dévier l'axe de rotation de la Terre de 8 centimètres.
Ce changement de l'axe de rotation a entraîné un raccourcissement de la durée de la journée terrestre de 1,26 microseconde. Une microseconde équivalant à un millionième de seconde, le changement est imperceptible.
Richard Gross précise que l'analyse approfondie des données du séisme permettra d'affiner ces calculs.
Le tremblement de terre a modifié davantage l'axe de rotation terrestre que le séisme d'une magnitude de 9,1 survenu au large de l'Indonésie en 2004, qui avait entraîné un tsunami dévastateur. Le séisme de 2004 avait fait dévier l'axe de rotation de la Terre de quelque 7 cm. Toutefois, il avait causé un raccourcissement plus important de la durée de la journée: 6,8 microsecondes, selon la NASA.
En comparaison, le séisme d'une magnitude de 9,6 qui a eu lieu au Chili en 1960, et qui demeure le plus important du XXe siècle, a fait perdre 8 microsecondes à la journée terrestre, estiment les scientifiques.
La variation de l'axe de rotation de la Terre est un phénomène naturel. L'axe de rotation bouge constamment, décrivant sur une année un cercle d'environ une dizaine de mètres. La modification causée par le séisme survenu au Chili le 27 février dernier est donc moins importante que celle provoquée par le mouvement naturel de la Terre.
Radio-Canada
Selon Richard Gross, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie, le séisme a fait dévier l'axe de rotation de la Terre de 8 centimètres.
Ce changement de l'axe de rotation a entraîné un raccourcissement de la durée de la journée terrestre de 1,26 microseconde. Une microseconde équivalant à un millionième de seconde, le changement est imperceptible.
Richard Gross précise que l'analyse approfondie des données du séisme permettra d'affiner ces calculs.
Le tremblement de terre a modifié davantage l'axe de rotation terrestre que le séisme d'une magnitude de 9,1 survenu au large de l'Indonésie en 2004, qui avait entraîné un tsunami dévastateur. Le séisme de 2004 avait fait dévier l'axe de rotation de la Terre de quelque 7 cm. Toutefois, il avait causé un raccourcissement plus important de la durée de la journée: 6,8 microsecondes, selon la NASA.
En comparaison, le séisme d'une magnitude de 9,6 qui a eu lieu au Chili en 1960, et qui demeure le plus important du XXe siècle, a fait perdre 8 microsecondes à la journée terrestre, estiment les scientifiques.
La variation de l'axe de rotation de la Terre est un phénomène naturel. L'axe de rotation bouge constamment, décrivant sur une année un cercle d'environ une dizaine de mètres. La modification causée par le séisme survenu au Chili le 27 février dernier est donc moins importante que celle provoquée par le mouvement naturel de la Terre.
Radio-Canada
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