Voici une photo prise par le Mars Rover :
(à vous de juger)
Pour ceux qui me l'ont demandé, cette photo vient directement du site de la NASA. Cliquez sur le lien ci-dessous.
NASA
mardi 28 décembre 2010
samedi 25 décembre 2010
LES 10 MEILLEURES HISTOIRES DE L'ANNÉE 2010
vendredi 24 décembre 2010
VERS UNE GLACIATION ?
Dans le film The Day After Tomorrow, sorti en 2004, le Gulf Stream et les autres courants océaniques deviennent plus faibles à cause du réchauffement de la planète. Cela cause une soudaine glaciation qui ensevelit l'hémisphère Nord de la planète, jusqu'à la latitude de Washington, sous des dizaines de mètres de neige.
Les conséquences décrites dans ce film-catastrophe - réalisé par l'auteur d'Independence Day et de 2012 - sont farfelues. Mais le raisonnement qui les sous-tend vient d'être validé par une nouvelle étude américaine.
En analysant des données satellites de la NASA, l'équipe de météorologues a découvert que la quantité d'eau douce déversée dans les océans a augmenté de 18% entre 1994 et 2006.
«C'est une augmentation énorme», explique James Famiglietti, de l'Université de la Californie à Irvine, l'auteur principal de l'étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. «Les glaciers qui flottent dans l'océan n'y contribuent presque pas. C'est presque totalement dû à la fonte accélérée des glaciers terrestres, et surtout à l'augmentation des précipitations. L'eau s'évapore davantage de régions déjà arides et est transportée vers les Tropiques et le Nord, notamment au Canada, où elle tombe sous forme de tempêtes extrêmes. Dans les régions arides comme l'Espagne ou le Sud-Ouest américain, on voit bien que les nappes aquifères diminuent à cause de cette évaporation. Il y a aussi plus d'évaporation au-dessus des mers des Tropiques.»
Cet apport en eau douce modifie également la salinité des mers, comme dans The Day After Tomorrow. «Les courants marins qui transportent la chaleur vers le nord dépendent des différences de salinité, dit M. Famiglietti. Ils seront nécessairement altérés par ces changements de la salinité. Par exemple, le Gulf Stream pourrait ne plus se rendre jusque dans le nord de l'Atlantique. Mais, contrairement à ce qu'on voit dans le film, ces changements seront beaucoup plus lents et s'étaleront sur des décennies ou des siècles. L'étude des changements de la salinité des mers et des océans sera la prochaine étape de nos travaux.»
Les chercheurs ont utilisé des données satellites parce que les données hydrologiques sont rares. «Il y a des centaines de bassins versants sur la planète, mais nous n'avons de données fiables que sur une demi-douzaine d'entre eux, déplore M. Famiglietti.
cyberpresse
Les conséquences décrites dans ce film-catastrophe - réalisé par l'auteur d'Independence Day et de 2012 - sont farfelues. Mais le raisonnement qui les sous-tend vient d'être validé par une nouvelle étude américaine.
En analysant des données satellites de la NASA, l'équipe de météorologues a découvert que la quantité d'eau douce déversée dans les océans a augmenté de 18% entre 1994 et 2006.
«C'est une augmentation énorme», explique James Famiglietti, de l'Université de la Californie à Irvine, l'auteur principal de l'étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. «Les glaciers qui flottent dans l'océan n'y contribuent presque pas. C'est presque totalement dû à la fonte accélérée des glaciers terrestres, et surtout à l'augmentation des précipitations. L'eau s'évapore davantage de régions déjà arides et est transportée vers les Tropiques et le Nord, notamment au Canada, où elle tombe sous forme de tempêtes extrêmes. Dans les régions arides comme l'Espagne ou le Sud-Ouest américain, on voit bien que les nappes aquifères diminuent à cause de cette évaporation. Il y a aussi plus d'évaporation au-dessus des mers des Tropiques.»
Cet apport en eau douce modifie également la salinité des mers, comme dans The Day After Tomorrow. «Les courants marins qui transportent la chaleur vers le nord dépendent des différences de salinité, dit M. Famiglietti. Ils seront nécessairement altérés par ces changements de la salinité. Par exemple, le Gulf Stream pourrait ne plus se rendre jusque dans le nord de l'Atlantique. Mais, contrairement à ce qu'on voit dans le film, ces changements seront beaucoup plus lents et s'étaleront sur des décennies ou des siècles. L'étude des changements de la salinité des mers et des océans sera la prochaine étape de nos travaux.»
Les chercheurs ont utilisé des données satellites parce que les données hydrologiques sont rares. «Il y a des centaines de bassins versants sur la planète, mais nous n'avons de données fiables que sur une demi-douzaine d'entre eux, déplore M. Famiglietti.
cyberpresse
jeudi 23 décembre 2010
ROUMANIE : UN AUTRE GESTE DE DÉSESPOIR
Le Parlement roumain a rejeté jeudi une motion de censure contre le gouvernement lors d'une séance mouvementée : un homme s'est jeté d'un balcon de l'hémicycle pour protester, selon les premiers témoignages recueillis, contre la politique d'austérité du gouvernement.
L'homme, Adrian Sobaru, identifié par la télévision publique comme étant l'un de ses techniciens, a sauté d'une hauteur de 7 mètres, atterrissant avec fracas sur les bancs de l'assemblée. Il souffre de plusieurs blessures, notamment au visage, mais ses jours ne sont pas en danger. Aucune autre personne n'a été blessée.
D'après des photos prises sur place, Adrian Sobaru portait un t-shirt blanc sur lequel était notamment inscrit «Vous avez tué l'avenir de nos enfants», en référence à la politique mise en place actuellement par le gouvernement.
(...) Figaro
L'homme, Adrian Sobaru, identifié par la télévision publique comme étant l'un de ses techniciens, a sauté d'une hauteur de 7 mètres, atterrissant avec fracas sur les bancs de l'assemblée. Il souffre de plusieurs blessures, notamment au visage, mais ses jours ne sont pas en danger. Aucune autre personne n'a été blessée.
D'après des photos prises sur place, Adrian Sobaru portait un t-shirt blanc sur lequel était notamment inscrit «Vous avez tué l'avenir de nos enfants», en référence à la politique mise en place actuellement par le gouvernement.
(...) Figaro
mercredi 22 décembre 2010
LA CHINE INTERDIT L'EMPLOI DE L'ANGLAIS ...
La Chine interdit désormais aux journaux, aux magazines, aux auteurs de livres et aux sites Internet d'employer des termes anglais au milieu de textes en chinois pour préserver la « pureté » de la langue. La Presse publie mercredi cette directive émise lundi par l'Administration générale de la presse et de l'édition.
La directive souligne que l'usage croissant de mots et d'abréviations de langue anglaise « nuit gravement à la standardisation et à la pureté de la langue écrite et orale chinoise ». La presse chinoise utilise régulièrement certains acronymes anglais comme :
Ce n'est pas tout. Les noms de lieux ou de personnes devront également être traduits. C'est ce qu'affirme le responsable d'une maison d'édition pékinoise cité par le quotidien de langue anglaise China Daily.
Ce responsable ajoute, sous le couvert de l'anonymat, qu'à l'époque de la mondialisation, éliminer des acronymes anglais largement acceptés par les lecteurs lui paraît exagéré. « Dans la conversation, les gens utilisent également ces mots tout le temps, et la réglementation pourrait éloigner la langue écrite de la langue orale », a-t-il estimé.
Les entreprises de presse qui continueront à employer des termes anglais s'exposent à des sanctions administratives, que la directive ne précise pas.
L'Administration générale de la presse et de l'édition laisse cependant la porte ouverte à l'emploi de termes étrangers « si nécessaire ». Elle y met une condition : qu'ils soient suivis de leur traduction ou d'une explication en chinois.
radio-canada
La directive souligne que l'usage croissant de mots et d'abréviations de langue anglaise « nuit gravement à la standardisation et à la pureté de la langue écrite et orale chinoise ». La presse chinoise utilise régulièrement certains acronymes anglais comme :
- NBA pour la Ligue américaine de basket-ball
- GDP pour le produit national brut
- CPI pour l'indice des prix à la consommation.
Ce n'est pas tout. Les noms de lieux ou de personnes devront également être traduits. C'est ce qu'affirme le responsable d'une maison d'édition pékinoise cité par le quotidien de langue anglaise China Daily.
Ce responsable ajoute, sous le couvert de l'anonymat, qu'à l'époque de la mondialisation, éliminer des acronymes anglais largement acceptés par les lecteurs lui paraît exagéré. « Dans la conversation, les gens utilisent également ces mots tout le temps, et la réglementation pourrait éloigner la langue écrite de la langue orale », a-t-il estimé.
Les entreprises de presse qui continueront à employer des termes anglais s'exposent à des sanctions administratives, que la directive ne précise pas.
L'Administration générale de la presse et de l'édition laisse cependant la porte ouverte à l'emploi de termes étrangers « si nécessaire ». Elle y met une condition : qu'ils soient suivis de leur traduction ou d'une explication en chinois.
radio-canada
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