Vaut mieux en rire, paraît-il :
via les dernieres nouvelles du monde
lundi 12 septembre 2011
JOUIR AU BUREAU
Il y a quelques jours, on nous disait que 38,2% des européens souffraient d'une maladie mentale. Et bien, pour combattre cette affligeante condition, certains ont décidé de prendre le taureau par les cornes et de délester un peu de pression... histoire de rester sain d'esprit :
(...) 54% des femmes européennes déclare s'être déjà offert au moins une fois un orgasme sur le compte de leur employeur. Information corroborée par un récent sondage mené par le quotidien danois Ekstra Bladet, et pour lequel des milliers de lecteurs furent interrogés. Ce dernier révèle que six hommes sur dix se seraient déjà laissé aller aux joies du plaisir solitaire au bureau. Ainsi, 20% des hommes confient s'adonner régulièrement à la masturbation au bureau, généralement aux toilettes.
Dans le classement européen, les Anglais caracolent en tête de cet étonnant classement, à 64% (44% chez les dames) l'auraient fait "au moins une fois". Les Français (52%), de leur coté, n'arrivent qu'en sixième position, derrière les Espagnols (54%).(...)
midi libre via au bout de la route
(...) 54% des femmes européennes déclare s'être déjà offert au moins une fois un orgasme sur le compte de leur employeur. Information corroborée par un récent sondage mené par le quotidien danois Ekstra Bladet, et pour lequel des milliers de lecteurs furent interrogés. Ce dernier révèle que six hommes sur dix se seraient déjà laissé aller aux joies du plaisir solitaire au bureau. Ainsi, 20% des hommes confient s'adonner régulièrement à la masturbation au bureau, généralement aux toilettes.
Dans le classement européen, les Anglais caracolent en tête de cet étonnant classement, à 64% (44% chez les dames) l'auraient fait "au moins une fois". Les Français (52%), de leur coté, n'arrivent qu'en sixième position, derrière les Espagnols (54%).(...)
midi libre via au bout de la route
dimanche 11 septembre 2011
samedi 10 septembre 2011
IMAGE DU JOUR
Une femme, en construisant une extension à son patio, s'est rendue compte qu'une des planches avait du caractère :
ctcam
ctcam
vendredi 9 septembre 2011
MISSION GRAIL : MESURER LA GRAVITÉ DE LA LUNE
Des satellites jumeaux doivent être lancés jeudi 8 septembre par la Nasa pour une cartographie ultra précise de la gravité de la Lune.
Pour mieux connaître la structure intérieure de la Lune jusqu’à son cœur, les scientifiques ont décidé de cartographier avec une très grande précision les irrégularités de la gravité sur la Lune. Pour cela, l’équipe de Maria Zuber (Massachusetts Institute of Technology, MIT, Etats-Unis)) a conçu la mission GRAIL, basée sur les mêmes principes et la même technologie que la mission GRACE pour la Terre.
Cette dernière a fourni ces curieux géoïdes qui dessinent les contours de notre planète en fonction des irrégularités de son champ gravitationnel. Les reliefs mais aussi d’invisibles structures souterraines, font varier cette gravité. En clair, on ne pèse pas partout exactement le même poids sur Terre, même si les variations sont beaucoup trop subtiles pour être ressenties ! (...)
Sciences et Avenir
Pour mieux connaître la structure intérieure de la Lune jusqu’à son cœur, les scientifiques ont décidé de cartographier avec une très grande précision les irrégularités de la gravité sur la Lune. Pour cela, l’équipe de Maria Zuber (Massachusetts Institute of Technology, MIT, Etats-Unis)) a conçu la mission GRAIL, basée sur les mêmes principes et la même technologie que la mission GRACE pour la Terre.
Cette dernière a fourni ces curieux géoïdes qui dessinent les contours de notre planète en fonction des irrégularités de son champ gravitationnel. Les reliefs mais aussi d’invisibles structures souterraines, font varier cette gravité. En clair, on ne pèse pas partout exactement le même poids sur Terre, même si les variations sont beaucoup trop subtiles pour être ressenties ! (...)
Sciences et Avenir
38.2% DES EUROPÉENS SOUFFRENT D'UNE MALADIE MENTALE
Anxiété, dépression, dépendance, insomnie, démence… Les troubles du cerveau et les maladies mentales affectent chaque année 38,2% des Européens, soit près de 165 millions de personnes, selon une étude publiée par le Collège européen de neuropsychopharmacologie à l’occasion de son 24ème congrès, qui se tient à Paris du 3 au 7 septembre. L’enquête porte sur l’ensemble des populations, des enfants de 2 ans aux personnes âgées de plus de 80 ans, dans 30 pays européens (UE, Suisse, Islande, Norvège), soit un total de 514 millions d’habitants.
D’après cette étude, les maladies les plus fréquentes sont les troubles de l’anxiété (14%), l’insomnie (7%), la dépression majeure (6,9%) et les troubles somatiques, souvent liés à un état anxieux ou dépressif (6,3%). Vient ensuite la dépendance à l’alcool ou à une drogue. Le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité touche 5% des jeunes. La démence affecte principalement les plus de 85 ans (30%).
Dépression, démences et abus d’alcool sont les affections les plus invalidantes, relève l’étude. Elle souligne également qu’un tiers seulement des cas de maladie mentale est pris en charge et traité, ce qui était déjà la proportion relevée en 2005 par une précédente enquête. Cette dernière portait sur un nombre restreint de maladies, on ne peut donc pas en tirer de tendance à la hausse ou à la baisse.
Sciences et Avenir
D’après cette étude, les maladies les plus fréquentes sont les troubles de l’anxiété (14%), l’insomnie (7%), la dépression majeure (6,9%) et les troubles somatiques, souvent liés à un état anxieux ou dépressif (6,3%). Vient ensuite la dépendance à l’alcool ou à une drogue. Le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité touche 5% des jeunes. La démence affecte principalement les plus de 85 ans (30%).
Dépression, démences et abus d’alcool sont les affections les plus invalidantes, relève l’étude. Elle souligne également qu’un tiers seulement des cas de maladie mentale est pris en charge et traité, ce qui était déjà la proportion relevée en 2005 par une précédente enquête. Cette dernière portait sur un nombre restreint de maladies, on ne peut donc pas en tirer de tendance à la hausse ou à la baisse.
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