C'est à croire que NIKE pense qu'on est assez cave pour se suicider pour un ballon. Je sais que c'est juste une pub mais ils vont quand même loin. Il n'y a rien de subtile ou d'amusant. Violence pour un ballon et que le meilleur gagne, mais gagner quoi. Dans la pub, à la fin, un noir se sacrifie pour le ballon. Juste avant qu'il tombe, alors qu'il est en suspension dans les airs, NIKE fait apparaître des symboles devant son cul, peut-être parce qu'ils pensent qu'on est des enculés... Puis le logo de Nike apparaît et le gars semble tomber "par" le logo. On y voit la fameuse pyramide avec l'oeil, des flammes, une lame de rasoir, un insecte et un autre symbole que je n'arrive pas à identifier (petite image en haut à droite du texte). Dans la 2ème version de la pub ci-dessous, on voit les images au ralenti. De plus, cette même vidéo semble être une autre version de la pub avec de la musique et un homme qui dit au début "Where you're going, you're not coming back from" ("Là où tu vas, tu n'en reviendras pas"). C'est comme si on disait, même si tu te bats pour gagner, tout ce qui t'attend, c'est la mort, il n'y a pas d'espoir.
Soyez fort et impitoyable face à ses fous destructeurs qui veulent vous programmer la mort dans l'esprit. Transformez l'énergie de vos émotions en volonté. Vous développerez ainsi votre force intérieure. Et dites NON à toute cette merde car ce sont eux les trous de cul. Il est temps de le manifester le monde dans lequel nous voulons vivre.
Tant qu'à y être, voici une autre publicité de Nike, où on se retrouve dans un monde qui semble être post-nucléaire, et qui montre la victoire d'un reptilien sans émotion sur une humanité défaite !?!?!
samedi 24 juillet 2010
BP : TROUBLANTE RÉVÉLATION D'UN RESCAPÉ
C'est un véritable pavé dans la marre que vient de lancer Mike Williams, chef des techniciens électroniques sur la plateforme BP dans le golfe du Mexique. Une alarme qui aurait dû avertir les employés d'une accumulation de gaz avant l'explosion avait été désactivée des mois avant la catastrophe du 20 avril dernier et qui a coûté la vie à 11 personnes et causé une marée noire qualifiée de la plus importante de l'histoire des États-Unis.
Intervenant vendredi à Kenner devant une commission d'enquête fédérale, Mike Williams a pointé du doigt les responsables de la plateforme en expliquant que l'alarme avait été désactivée pour limiter les fausses alertes.
Selon le rescapé de l'explosion du 20 avril, l'alarme était dotée de lumières et de sonneries visant à avertir d'un feu ou d'un niveau anormal de gaz toxiques ou explosifs dans la conduite montante.
Le propriétaire de la plateforme, Transocean, a aussitôt réfuté les affirmations de Mike Williams, soulignant que la configuration de l'alarme était conforme aux pratiques maritimes en ajoutant que de fausses alarmes à répétition augmentent les risques et diminuent la sécurité de la plateforme.
La commission d'enquête entend depuis une semaine à Kenner les témoignages des responsables de la compagnie Transocean et doit se déplacer à Houston le 23 août pour entendre la version des dirigeants de BP et de Transocean. Les employés qui ont défilé devant les six membres de la commission ont fait état de nombreuses défaillances techniques sur la plateforme.
Radio-Canada.ca
Intervenant vendredi à Kenner devant une commission d'enquête fédérale, Mike Williams a pointé du doigt les responsables de la plateforme en expliquant que l'alarme avait été désactivée pour limiter les fausses alertes.
Selon le rescapé de l'explosion du 20 avril, l'alarme était dotée de lumières et de sonneries visant à avertir d'un feu ou d'un niveau anormal de gaz toxiques ou explosifs dans la conduite montante.
"Ils ne voulaient pas que les gens soient réveillés à 3 heures du matin à cause de fausses alertes."Mike Williams a affirmé avoir lui-même remarqué il y a un an que les alarmes ne fonctionnaient pas et en avait informé sa hiérarchie qui lui avait indiqué que les ordres étaient de la laisser configurée ainsi.
— Mike Williams, chef des techniciens électroniques sur la plateforme Deepwater Horizon
Le propriétaire de la plateforme, Transocean, a aussitôt réfuté les affirmations de Mike Williams, soulignant que la configuration de l'alarme était conforme aux pratiques maritimes en ajoutant que de fausses alarmes à répétition augmentent les risques et diminuent la sécurité de la plateforme.
La commission d'enquête entend depuis une semaine à Kenner les témoignages des responsables de la compagnie Transocean et doit se déplacer à Houston le 23 août pour entendre la version des dirigeants de BP et de Transocean. Les employés qui ont défilé devant les six membres de la commission ont fait état de nombreuses défaillances techniques sur la plateforme.
Radio-Canada.ca
vendredi 23 juillet 2010
mercredi 21 juillet 2010
BP : COUP PRÉMÉDITÉ
Si c'est vrai, pourquoi ont-ils bouché le puit ? Si c'est prémédité, le fait de le boucher leur donne bonne figure tout en sachant que ça va exploser pareil... !?!
mardi 20 juillet 2010
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