Alex Jones expose les faits. À vous de vous faire une idée:
samedi 26 juin 2010
BP : CHEZ GOLDMAN SACHS, ÉTAIT-ON AU COURANT ?
La banque Goldman Sachs est l’une des institutions financières qui possède une partie du capital de BP. Au 31 Mars 2010, soit 20 jours avant l’explosion de la plateforme Deepwater Horizon, Goldman Sachs vendait a peu près 4,5 millions d’actions BP sur un total de 10,5 millions, soit environ 44% de leur portefeuille d’actions BP.
Les derniers rapports publics sur ces mouvements de capitaux datent du 31 Mars. Qui sait combien d’actions Goldman Sachs a vendu dans les 20 jours avant la catastrophe ?
AlterInfo
Les derniers rapports publics sur ces mouvements de capitaux datent du 31 Mars. Qui sait combien d’actions Goldman Sachs a vendu dans les 20 jours avant la catastrophe ?
AlterInfo
UNE TEMPÊTE MENACE LE GOLFE DU MEXIQUE
Image : Avion larguant des dispersants sur les nappe de pétrole dans le golfe du Mexique (14 mai 2010) © TF1/LCI
Une tempête tropicale devrait se former au cours des prochaines heures et progresser vers le golfe du Mexique, menaçant les opérations de nettoyage et de récupération du pétrole, a indiqué vendredi le Centre national des ouragans américain (NHC), basé à Miami.
La première dépression tropicale de la saison 2010 dans l'Atlantique s'est en effet formée vendredi dans l'Atlantique au sud de la péninsule mexicaine du Yucatán, a précisé le NHC. "La dépression devrait se transformer en tempête tropicale entre cette nuit et samedi", a-t-il ajouté.
Selon les prévisionnistes du NHC, la dépression pourrait atteindre la semaine prochaine la zone où depuis le 20 avril des millions de litres de pétrole se déversent chaque jour dans les eaux du golfe du Mexique suite au naufrage de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon.
2010, pire saison des ouragans en Atlantique ?
Le centre de la dépression se situait à 22H00 GMT à quelque 570 km au sud-est de la station balnéaire mexicaine de Cozumel. Elle devait au cours des prochaines heures se diriger vers la péninsule du Yucatán.
Une alerte à la tempête tropicale a été émise pour la côte est du Yucatán, depuis la ville de Chetumal jusqu'à Cancun plus au nord, a indiqué le NHC. Le phénomène météorologique avait des vents allant jusqu'à 55 kmh, selon le NHC.
La saison des ouragans dans l'Atlantique s'étend du 1er juin au 30 novembre. Les météorologues prédisent que la saison 2010 pourrait être une des pires jamais enregistrées dans l'océan Atlantique.
TF1
Une tempête tropicale devrait se former au cours des prochaines heures et progresser vers le golfe du Mexique, menaçant les opérations de nettoyage et de récupération du pétrole, a indiqué vendredi le Centre national des ouragans américain (NHC), basé à Miami.
La première dépression tropicale de la saison 2010 dans l'Atlantique s'est en effet formée vendredi dans l'Atlantique au sud de la péninsule mexicaine du Yucatán, a précisé le NHC. "La dépression devrait se transformer en tempête tropicale entre cette nuit et samedi", a-t-il ajouté.
Selon les prévisionnistes du NHC, la dépression pourrait atteindre la semaine prochaine la zone où depuis le 20 avril des millions de litres de pétrole se déversent chaque jour dans les eaux du golfe du Mexique suite au naufrage de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon.
2010, pire saison des ouragans en Atlantique ?
Le centre de la dépression se situait à 22H00 GMT à quelque 570 km au sud-est de la station balnéaire mexicaine de Cozumel. Elle devait au cours des prochaines heures se diriger vers la péninsule du Yucatán.
Une alerte à la tempête tropicale a été émise pour la côte est du Yucatán, depuis la ville de Chetumal jusqu'à Cancun plus au nord, a indiqué le NHC. Le phénomène météorologique avait des vents allant jusqu'à 55 kmh, selon le NHC.
La saison des ouragans dans l'Atlantique s'étend du 1er juin au 30 novembre. Les météorologues prédisent que la saison 2010 pourrait être une des pires jamais enregistrées dans l'océan Atlantique.
TF1
LARRY SCHWEIGER SUR LA FUITE DE PÉTROLE
Ce texte en-dessous de l'image vient de Coast to Coast AM et c'est le résumé de la dernière émission. Je l'ai fait traduire par robot puis je l'ai amélioré un peu. Ce n'est pas parfait mais ça se comprend.
Art Bell a reçu le President de la « National Wildlife Federation », Larry Schweiger, avec qui il a discuté de l'impact de la catastrophe du pétrole du Golfe ainsi que d'autres questions environnementales en attente qui menacent la planète.
Ayant fait un certain nombre de visites dans le Golfe depuis le début de la catastrophe, Schweiger a fait part de ses observations de première main. Il a raconté son périple en bateau dans la zone touchée, il a décrit l'expérience comme «très, très étrange». Schweiger note qu'une couverture de pétrole brut, non traitée enduits de l'eau, la rendant "noir comme la nuit" et émoindrissant les vagues. Il a rappelé qu'il n'y a aucun oiseau dans la zone et que l'huile était tellement épaisse qu'aucun poisson n’était visibles car «on ne pouvait pas voir à plus d’un demi-pouce dans l'eau». Schweiger a également déclaré que, lors d’une autre sortie dans les eaux, les produits chimiques de dispersion utilisés par BP étaient tellement forts que l’odeur s’est pris de la chemise qu'il portait.
Pour résoudre la crise, il faut questionner l'utilisation de produits chimiques dispersant sur l'huile, soulignant que les produits chimiques utilisés par BP sont "plus toxique que l'huile lui-même". Aussi particulièrement problématique, Schweiger souligne que ces dispersements permettent à l'huile d’aller sous l'eau, de glisser sous les barrières de protection et entrer dans les marais. Ceci pourrait avoir des effets environnementaux négatifs pour longtemps. Pour arrêter le flux d'huile, il a rejeté l'idée d'utiliser une arme nucléaire ou autres explosifs pour fare imploser le puits, parce qu'une telle méthode n’est pas prouvée et potentiellement dangereuse. Il a décrit le concept de création de puits de relâchement pour intercepter l'huile comme le «plus grand espoir que nous avons», il a souligné toutefois que les "chances que ça fonctionne ne sont pas grandes".
Au-delà de la catastrophe de pétrole du Golfe, Schweiger a expliqué comment, actuellement, l'ajout de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère crée une augmentation spectaculaire de température qui pourrait avoir de «profonds impacts sur d’importants systèmes écologiques». C'est donc dire que la situation, a-t-il dit, que les scientifiques estiment que «nous nous dirigeons à perdre 30 à 39 % des espèces sur notre planète, si nous ne changeons pas notre comportement». À cause de l'effet de la température croissante de la terre, il a dit que la quantité énorme de glace qui fond au Groenland et a entraîné la création de deux nouvelles rivières de la taille du Nil qui s’écoule dans l'océan. "Ce qui se passe au Groenland ne pas restera au Groenland", il a expliqué que d’élever le niveau de la mer par un mètre simplement entraînerait le déplacement d'environ 100 millions de personnes.
Art Bell a reçu le President de la « National Wildlife Federation », Larry Schweiger, avec qui il a discuté de l'impact de la catastrophe du pétrole du Golfe ainsi que d'autres questions environnementales en attente qui menacent la planète.
Ayant fait un certain nombre de visites dans le Golfe depuis le début de la catastrophe, Schweiger a fait part de ses observations de première main. Il a raconté son périple en bateau dans la zone touchée, il a décrit l'expérience comme «très, très étrange». Schweiger note qu'une couverture de pétrole brut, non traitée enduits de l'eau, la rendant "noir comme la nuit" et émoindrissant les vagues. Il a rappelé qu'il n'y a aucun oiseau dans la zone et que l'huile était tellement épaisse qu'aucun poisson n’était visibles car «on ne pouvait pas voir à plus d’un demi-pouce dans l'eau». Schweiger a également déclaré que, lors d’une autre sortie dans les eaux, les produits chimiques de dispersion utilisés par BP étaient tellement forts que l’odeur s’est pris de la chemise qu'il portait.
Pour résoudre la crise, il faut questionner l'utilisation de produits chimiques dispersant sur l'huile, soulignant que les produits chimiques utilisés par BP sont "plus toxique que l'huile lui-même". Aussi particulièrement problématique, Schweiger souligne que ces dispersements permettent à l'huile d’aller sous l'eau, de glisser sous les barrières de protection et entrer dans les marais. Ceci pourrait avoir des effets environnementaux négatifs pour longtemps. Pour arrêter le flux d'huile, il a rejeté l'idée d'utiliser une arme nucléaire ou autres explosifs pour fare imploser le puits, parce qu'une telle méthode n’est pas prouvée et potentiellement dangereuse. Il a décrit le concept de création de puits de relâchement pour intercepter l'huile comme le «plus grand espoir que nous avons», il a souligné toutefois que les "chances que ça fonctionne ne sont pas grandes".
Au-delà de la catastrophe de pétrole du Golfe, Schweiger a expliqué comment, actuellement, l'ajout de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère crée une augmentation spectaculaire de température qui pourrait avoir de «profonds impacts sur d’importants systèmes écologiques». C'est donc dire que la situation, a-t-il dit, que les scientifiques estiment que «nous nous dirigeons à perdre 30 à 39 % des espèces sur notre planète, si nous ne changeons pas notre comportement». À cause de l'effet de la température croissante de la terre, il a dit que la quantité énorme de glace qui fond au Groenland et a entraîné la création de deux nouvelles rivières de la taille du Nil qui s’écoule dans l'océan. "Ce qui se passe au Groenland ne pas restera au Groenland", il a expliqué que d’élever le niveau de la mer par un mètre simplement entraînerait le déplacement d'environ 100 millions de personnes.
vendredi 25 juin 2010
LA LIBRE PAROLE, LE MAGAZINE
C'est écrit en 1932 et on a l'impression que ça pourrait être écrit aujourd'hui :
Télécharger La Libre Parole no 13
Télécharger La Libre Parole no 13
UNE SOLUTION POUR BP
Geler le pétrole sur place, dans l'eau ou sur la côte, avec le produit qui est présenté dans la vidéo :
jeudi 24 juin 2010
S'abonner à :
Messages (Atom)