Nouvelle vidéo : Bob Dean et ses révélations sur les extraterrestres :
mercredi 22 octobre 2008
DESCENTE DU PRIX DU PÉTROLE
Le prix du pétrole est en pleine descente car les stocks de brut des USA augmente beaucoup plus que prévu. L'été dernier le prix du baril était de 150$; il est maintenant autour de 65$.
mardi 21 octobre 2008
LE RÊVE AMÉRICAIN QUI S'ESSOUFLE
Il ne faut pas oublier que la crise étatsunienne nous rattrappera un jour au l'autre d'une façon ou d'une autre :
lundi 20 octobre 2008
CARBURANT DE LA VIOLENCE
LIEN RÉTABLI
Pétrole : le carburant de la violence ?
Éric Laurent (Journaliste et écrivain)
Éric Laurent, grand reporter, éditeur et auteur notamment de La face cachée du pétrole : l’enquête (Plon, 2006) présente au Cérium la conférence intitulée : La logique de guerre des ressources dans les relations internationales aujourd’hui
Pétrole : le carburant de la violence ?
Éric Laurent (Journaliste et écrivain)
Éric Laurent, grand reporter, éditeur et auteur notamment de La face cachée du pétrole : l’enquête (Plon, 2006) présente au Cérium la conférence intitulée : La logique de guerre des ressources dans les relations internationales aujourd’hui
7 MINUTES DÉVASTATRICE
par Jean-François LISÉE :
Vous savez tous que Colin Powell a pris position, hier, pour Barak Obama. Mais vous ne savez pas comment. Il faut écouter in extenso la réponse, ininterrompue, de sept minutes et neuf secondes qu’il a donnée à Meet the press. L’animateur Tom Brokaw a eu la sagesse de ne pas briser le flot de paroles, livré sur le ton du vieux sage qui sait juger la valeur des hommes, et surtout des présidents.
Powell ne fait pas que critiquer la mauvaise réaction qu’a eu McCain face à la crise économique et le risque que ferait planer Sarah Palin si elle devait accéder au bureau ovale. Il met en contraste un Obama inclusif, qui fait la promotion de "toutes les villes", à McCain, qui ne parle que des "petites villes" (small towns). Il dit craindre la nomination de deux nouveaux juges conservateurs à la Cour suprême en cas de victoire républicaine. Il dit que la campagne McCain a "franchi la ligne" en faisant de la relation entre Obama et l’ex-terroriste Bill Ayers une question centrale de sa campagne. Il dénonce enfin, avec beaucoup d’émotion, le caractère discriminatoire, anti-musulman, de propos tenus par des représentants républicains.
Ce n’est pas un endossement, c’est un rouleau compresseur politique. Une source républicaine disait hier que sa sortie était "le dernier clou dans le cercueil". Je dirais que c’est plutôt une tonne de ciment au dessus du cercueil.
Vous savez tous que Colin Powell a pris position, hier, pour Barak Obama. Mais vous ne savez pas comment. Il faut écouter in extenso la réponse, ininterrompue, de sept minutes et neuf secondes qu’il a donnée à Meet the press. L’animateur Tom Brokaw a eu la sagesse de ne pas briser le flot de paroles, livré sur le ton du vieux sage qui sait juger la valeur des hommes, et surtout des présidents.
Powell ne fait pas que critiquer la mauvaise réaction qu’a eu McCain face à la crise économique et le risque que ferait planer Sarah Palin si elle devait accéder au bureau ovale. Il met en contraste un Obama inclusif, qui fait la promotion de "toutes les villes", à McCain, qui ne parle que des "petites villes" (small towns). Il dit craindre la nomination de deux nouveaux juges conservateurs à la Cour suprême en cas de victoire républicaine. Il dit que la campagne McCain a "franchi la ligne" en faisant de la relation entre Obama et l’ex-terroriste Bill Ayers une question centrale de sa campagne. Il dénonce enfin, avec beaucoup d’émotion, le caractère discriminatoire, anti-musulman, de propos tenus par des représentants républicains.
Ce n’est pas un endossement, c’est un rouleau compresseur politique. Une source républicaine disait hier que sa sortie était "le dernier clou dans le cercueil". Je dirais que c’est plutôt une tonne de ciment au dessus du cercueil.
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