jeudi 24 avril 2008
WALL STREET JOURNAL
I don't want to alarm anybody, but maybe it's time for Americans to start stockpiling food.
No, this is not a drill.
traduction :
Je ne veux pas alarmer personne, mais peut-être qu'il serait temps pour les américains de faire des réserves de nourriture.
Non, ceci n'est pas un exercice.
@wall street journal
mercredi 23 avril 2008
mardi 22 avril 2008
FAÇONNER L'INFORMATION
C'est un article fleuve, de ceux que sait produire la presse américaine, une investigation fouillée, qui s'appuie sur l'examen de 8 000 pages de documentation. Le New York Times dénonce dans son édition du 20 avril les liens coupables entre les experts militaires employés par de nombreux médias américains et le Pentagone. Sur le site Internet du journal, les visages de ces analystes font la une, sous la mention "message machine".
(...)
Le Times explique que le système s'est mis en place tandis que se préparait la guerre en Irak et n'a pas cessé de fonctionner depuis. Avec une seul objectif : "transformer les analystes en une sorte de cheval de Troie médiatique, un instrument destiné à façonner le traitement du terrorisme de l'intérieur des grands réseaux de radio et de télévision".
(...)
@Le Monde
Article du New York Times :
Behind TV Analysts, Pentagon’s Hidden Hand
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Le Times explique que le système s'est mis en place tandis que se préparait la guerre en Irak et n'a pas cessé de fonctionner depuis. Avec une seul objectif : "transformer les analystes en une sorte de cheval de Troie médiatique, un instrument destiné à façonner le traitement du terrorisme de l'intérieur des grands réseaux de radio et de télévision".
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@Le Monde
Article du New York Times :
Behind TV Analysts, Pentagon’s Hidden Hand
LE TSUNAMI SILENCIEUX
(...)
Le Programme alimentaire mondial des Nations unies, dont la directrice, Josette Sheeran, a participé à une réunion d'experts convoqués par Brown mardi pour discuter de la crise, a dit qu'un "tsunami silencieux" menaçait de précipiter dans la famine plus de 100 millions de personnes de tous les continents.
"C'est le nouveau visage de la faim: des millions de personnes qui n'étaient pas classées en état d'urgence alimentaire il y a six mois mais qui le sont maintenant", a-t-elle dit avant la réunion.
Des émeutes sont survenues dans des pays pauvres d'Asie et d'Afrique après une hausse brutale des prix des produits alimentaires provoquées par plusieurs facteurs: carburant plus cher, intempéries, hausse des revenus dans des pays émergents où la demande va croissant et champs consacrés à la culture de végétaux servant à la fabrication de biocarburants, au dépens de cultures destinées à l'alimentation.
PÉNURIES ARTIFICIELLES
Le riz de Thaïlande, premier exportateur mondial, a vu son prix plus que doubler cette année. De gros exportateurs de vivres tels que l'Indonésie, le Kazakhstan, l'Egypte et le Cambodge ont imposé des restrictions aux exportations pour s'assurer de pouvoir répondre à la demande intérieure.
Selon Sheeran, des pénuries artificielles ont aggravé le problème: "Le monde consomme plus qu'il ne produit depuis trois ans, donc les réserves se sont amenuisées."
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@la tribune
Le Programme alimentaire mondial des Nations unies, dont la directrice, Josette Sheeran, a participé à une réunion d'experts convoqués par Brown mardi pour discuter de la crise, a dit qu'un "tsunami silencieux" menaçait de précipiter dans la famine plus de 100 millions de personnes de tous les continents.
"C'est le nouveau visage de la faim: des millions de personnes qui n'étaient pas classées en état d'urgence alimentaire il y a six mois mais qui le sont maintenant", a-t-elle dit avant la réunion.
Des émeutes sont survenues dans des pays pauvres d'Asie et d'Afrique après une hausse brutale des prix des produits alimentaires provoquées par plusieurs facteurs: carburant plus cher, intempéries, hausse des revenus dans des pays émergents où la demande va croissant et champs consacrés à la culture de végétaux servant à la fabrication de biocarburants, au dépens de cultures destinées à l'alimentation.
PÉNURIES ARTIFICIELLES
Le riz de Thaïlande, premier exportateur mondial, a vu son prix plus que doubler cette année. De gros exportateurs de vivres tels que l'Indonésie, le Kazakhstan, l'Egypte et le Cambodge ont imposé des restrictions aux exportations pour s'assurer de pouvoir répondre à la demande intérieure.
Selon Sheeran, des pénuries artificielles ont aggravé le problème: "Le monde consomme plus qu'il ne produit depuis trois ans, donc les réserves se sont amenuisées."
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@la tribune
lundi 21 avril 2008
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