Les États-Unis et l’Union européenne viennent d’organiser la proclamation unilatérale d’indépendance du Kosovo. Cette décision foule aux pieds les principes d’Helsinki et la Charte de l’ONU. Le politologue briannique John Laughland craint qu’elle n’ait les mêmes conséquences que la fausse indépendance bosniaque au XIXe siècle.
(...)le Kosovo n’aura aucune indépendance réelle. L’UE y remplacera l’ONU et assurera l’administration comme dans un protectorat. Des plans détaillés ont été élaborés qui prévoient d’envoyer au Kosovo, après la proclamation de son indépendance, des milliers de fonctionnaires de l’UE et de policiers. 16 000 militaires de l’OTAN y seront toujours présents. La province du Kosovo aurait eu davantage d’indépendance au sein de la Serbie qu’elle n’en a sous le protectorat des Nations unies et qu’elle n’en aura sous le contrôle de l’Union européenne.
M. Lavrov a eu raison d’affirmer que l’indépendance du Kosovo marquerait le début de la fin de l’Europe contemporaine, car le statut actuel de la province est fixé dans la résolution 1244 du Conseil de sécurité de l’ONU. Si l’UE et les États-Unis négligent cette résolution, qui précise que le Kosovo fait partie de la Serbie, ils feront preuve, une fois de plus, de mépris envers les normes du droit international et démontreront qu’ils ne sont pas fiables en tant que partenaires internationaux.
(...)
Article complet sur Voltairenet
lundi 25 février 2008
DU NOUVEAU SUR LE SATELLITE ESPION
Les étatsuniens disent avoir détruit un de leur satellite espion menaçant de s'écraser sur la Terre en laissant s'échapper un gaz nommé hydrazine qui aurait causé des maladies chez les humains.
Richard Hoagland a analysé la situation et en vient avec des conclusions plutôt intéressantes.
Vladimir Putin suspectait déjà un test SDI (Programme Guerre des étoiles) sur un satellite désuet et non un satellite espion de dernier cri. L'hydrazine devenait alors l'excuse idéale pour lancer des missiles dans l'espace pour tester un nouveau système de guidage. D'ailleurs, on ne visait pas globalement le satellite gros comme un autobus, mais bien spécifiquement le réservoir de carburant du satellite. C'était un tir de grande précision. De plus, ils ont envoyé trois missiles pour faire des tests et ces missiles n'avaient pas de charge explosive. Tout cela ressemble à un test SDI.
Richard Hoagland a remarqué que les événements spatiaux des étatsuniens contenaient toujours les nombres 19,5 et 33. Le présent test SDI suit le même pattern. Ils ont lancé le premier missile à 3h26 pour arriver à la cible à 3h30. L'autorisation du lancement, au lieu de venir du capitaine du bateau, est venu inhabituellement du Secrétaire à la Défense qui était à Hawaï qui se trouve à 19,5 degré de lattitude.
@Richard Hoagland (enterprisemission.com)
Richard Hoagland a analysé la situation et en vient avec des conclusions plutôt intéressantes.
Vladimir Putin suspectait déjà un test SDI (Programme Guerre des étoiles) sur un satellite désuet et non un satellite espion de dernier cri. L'hydrazine devenait alors l'excuse idéale pour lancer des missiles dans l'espace pour tester un nouveau système de guidage. D'ailleurs, on ne visait pas globalement le satellite gros comme un autobus, mais bien spécifiquement le réservoir de carburant du satellite. C'était un tir de grande précision. De plus, ils ont envoyé trois missiles pour faire des tests et ces missiles n'avaient pas de charge explosive. Tout cela ressemble à un test SDI.
Richard Hoagland a remarqué que les événements spatiaux des étatsuniens contenaient toujours les nombres 19,5 et 33. Le présent test SDI suit le même pattern. Ils ont lancé le premier missile à 3h26 pour arriver à la cible à 3h30. L'autorisation du lancement, au lieu de venir du capitaine du bateau, est venu inhabituellement du Secrétaire à la Défense qui était à Hawaï qui se trouve à 19,5 degré de lattitude.
@Richard Hoagland (enterprisemission.com)
" ALIEN INVASION " POUR POMPIER
dimanche 24 février 2008
PRÉPARATION À LA GUERRE CIVILE
Les armées canadiennes et étatsuniennes viennent de signer un traité de collaboration entre les pays en cas d'urgence civile. Les deux gouvernements ont passé sous silence cet accord.
Dans le même ordre d'idée, Alex Jones sur son site PrisonPlanet, fait mention d'un courriel qu'il a reçu lui confirmant que les soldats étatsuniens seraient présentatment entraînés à tirer sur leur amis, famille, voisins dans une préparation à la loi martiale.
Certains parlent d'une hausse des prix de la nourriture phénoménale aussitôt que cet été. Le prix de riz en Inde et en Asie a déjà monté de 60 % depuis un mois ou deux.
Est-ce que l'on prévoit une situation de crise dans les villes ? Pourquoi ? Rareté et prix élevé de la nourriture ? Attentat terroriste dévastateur ? C'est à suivre !
Dans le même ordre d'idée, Alex Jones sur son site PrisonPlanet, fait mention d'un courriel qu'il a reçu lui confirmant que les soldats étatsuniens seraient présentatment entraînés à tirer sur leur amis, famille, voisins dans une préparation à la loi martiale.
Certains parlent d'une hausse des prix de la nourriture phénoménale aussitôt que cet été. Le prix de riz en Inde et en Asie a déjà monté de 60 % depuis un mois ou deux.
Est-ce que l'on prévoit une situation de crise dans les villes ? Pourquoi ? Rareté et prix élevé de la nourriture ? Attentat terroriste dévastateur ? C'est à suivre !
L'ALCHIMISTE ALEXANDRE LACHANCE
Alexandre Lachance fut le plus grand alchimiste connu au Québec, Canada. Ici il présente son Athanor et son travail alchimique.
VIRUS RÉSISTE AU TAMIFLU
Le Canada fait maintenant partie des pays où on a recensé des cas de virus H1N1 résistants à l'oseltamivir, mieux connu sous le nom de Tamiflu. Les plus récentes données canadiennes révèlent que ce médicament serait inefficace contre la grippe dans près de 10% des cas.
(...)
Une telle résistance au virus H1N1 signifie qu'un individu souffrant de la grippe et traité au Tamiflu n'en retirerait que peu ou pas de bienfaits.
(...)
«Pour le moment, les études démontrent que ceux qui résistent au Tamiflu sont des gens qui n'avaient jamais pris ce médicament auparavant, explique Alain Desroches, porte-parole de l'Agence de santé publique du Canada. C'est donc une résistance naturelle.»
(...)
@cyberpresse
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Une telle résistance au virus H1N1 signifie qu'un individu souffrant de la grippe et traité au Tamiflu n'en retirerait que peu ou pas de bienfaits.
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«Pour le moment, les études démontrent que ceux qui résistent au Tamiflu sont des gens qui n'avaient jamais pris ce médicament auparavant, explique Alain Desroches, porte-parole de l'Agence de santé publique du Canada. C'est donc une résistance naturelle.»
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@cyberpresse
vendredi 22 février 2008
LA VÉRITÉ SUR LE RIRE
Un professeur japonais a inventé une machine pour mesurer le rire et une nouvelle unité, le "ah", afin d'établir si l'hilarité d'une personne est sincère, cynique ou moqueuse.
"Selon ma théorie, dès que le cerveau détecte quelque chose de rigolo, le diaphragme se met en mouvement", a affirmé vendredi à l'AFP Yoji Kimura, professeur en sciences de la communication à l'université du Kansai (centre-ouest) d'Osaka, port d'attache de nombreux humoristes japonais.
En posant des capteurs sur des volontaires, notamment au niveau de leur estomac, il a mesuré les mouvements du diaphragme et des muscles. Sa machine peut chercher jusqu'à 3.000 fois par seconde les signaux électriques produits par le corps en cas d'hilarité.
Selon l'inventeur, cette précision peut permettre d'établir si quelqu'un rit de bon coeur ou se force, voire si la personne s'amuse cyniquement ou par dérision.
M. Kimura a établi une nouvelle unité de mesure, le "ah", pour classifier les rires. "Nous avons découvert que le rire des enfants est le plus spontané, avec 10 ah par seconde, soit deux fois plus que celui des adultes", explique-t-il.
Un écart attribué aux "calculs" des adultes, qui perdent leur spontanéité en se demandant s'il est approprié de rire en fonction de la situation.
Le professeur distingue quatre étapes possibles dans un rire: la détente, la sortie de la norme, le rire de bon coeur et enfin, parfois, l'éclat de rire.
Pour lui, comprendre le mécanisme faisant passer de l'un à l'autre "est la clé d'un secret de l'âme humaine".
Car pour M. Kimura, rire permet à l'homme de repartir du bon pied, "comme le redémarrage pour un ordinateur". Et il croit l'humanité capable de passer, après un "siècle de guerre, à un siècle d'humour et de tolérance".
"Selon ma théorie, dès que le cerveau détecte quelque chose de rigolo, le diaphragme se met en mouvement", a affirmé vendredi à l'AFP Yoji Kimura, professeur en sciences de la communication à l'université du Kansai (centre-ouest) d'Osaka, port d'attache de nombreux humoristes japonais.
En posant des capteurs sur des volontaires, notamment au niveau de leur estomac, il a mesuré les mouvements du diaphragme et des muscles. Sa machine peut chercher jusqu'à 3.000 fois par seconde les signaux électriques produits par le corps en cas d'hilarité.
Selon l'inventeur, cette précision peut permettre d'établir si quelqu'un rit de bon coeur ou se force, voire si la personne s'amuse cyniquement ou par dérision.
M. Kimura a établi une nouvelle unité de mesure, le "ah", pour classifier les rires. "Nous avons découvert que le rire des enfants est le plus spontané, avec 10 ah par seconde, soit deux fois plus que celui des adultes", explique-t-il.
Un écart attribué aux "calculs" des adultes, qui perdent leur spontanéité en se demandant s'il est approprié de rire en fonction de la situation.
Le professeur distingue quatre étapes possibles dans un rire: la détente, la sortie de la norme, le rire de bon coeur et enfin, parfois, l'éclat de rire.
Pour lui, comprendre le mécanisme faisant passer de l'un à l'autre "est la clé d'un secret de l'âme humaine".
Car pour M. Kimura, rire permet à l'homme de repartir du bon pied, "comme le redémarrage pour un ordinateur". Et il croit l'humanité capable de passer, après un "siècle de guerre, à un siècle d'humour et de tolérance".
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