envoyé par abes1
dimanche 16 décembre 2007
LOBBY ISRAELIEN
Plusieurs écrivains ont récemment écrit des articles ou des analyses critiques du pouvoir du lobby pro-israélien ou juif, et de son influence sur la politique usaméricaine au Moyen-Orient. La plupart de ces textes soulignent l’ascendant du lobby sur le Congrès, les deux principaux partis politiques américains (en particulier, le Parti démocrate) et l’exécutif. Certains décrivent même ces lobbies pro-israéliens et les fédérations juives alliées, leurs nombreux instituts de propagande agissant sous couvert d’être des « boîtes à idées » [am. : think tanks, NdT], leurs publications propres ainsi que leur influence, voire leur contrôle sur les mass médias, depuis Hollywood jusqu’à la radio dite « publique », en passant par la presse écrite et la télévision. Toutefois, ces critiques et ces analystes finissent le plus souvent par se « peindre dans le coin de la pièce », en attribuant au lobby juif un pouvoir tel qu’il finit par décourager tout effort pour en contrer l’influence et modifier l’orientation de la politique usaméricaine. L’image d’un lobby juif quasi omniscient et omnipotent, par trop répétée, finit par en occulter la vulnérabilité ainsi que les questions très importantes autour desquelles une opposition ou un mouvement anti-hégémonique peuvent être organisés, aux USA. (...) suite @mondialisation.ca
Reportage de Radio-Canada sur le sujet :
envoyé par anouarparis
Reportage de Radio-Canada sur le sujet :
envoyé par anouarparis
samedi 15 décembre 2007
ALBERT SCHWEITZER
Albert Schweitzer (14 janvier 1875 - 4 septembre 1965) était un théologien protestant, musicien, philosophe et médecin alsacien, lauréat du prix Goethe en 1928 et du prix Nobel de la paix en 1952.
CITATIONS (tirées de ses livres)
« Je suis vie qui veut vivre, entouré de vie qui veut vivre. Chaque jour et à chaque heure cette conviction m’accompagne. Le bien, c’est de maintenir et de favoriser la vie ; le mal, c’est de détruire la vie et de l’entraver. »
— La civilisation et l’éthique, 1976
« Chaque fois que je suis sur le point d'abîmer une vie quelconque, il faut que je me pose clairement la question de savoir si c'est nécessaire. Jamais je ne devrai m'autoriser à aller au-delà de l'indispensable, même dans des cas apparemment insignifiants. »
— La civilisation et l'éthique, chap. XXI, 1976
Découvrez cet homme remarquable, authentique et généreux :
CITATIONS (tirées de ses livres)
« Je suis vie qui veut vivre, entouré de vie qui veut vivre. Chaque jour et à chaque heure cette conviction m’accompagne. Le bien, c’est de maintenir et de favoriser la vie ; le mal, c’est de détruire la vie et de l’entraver. »
— La civilisation et l’éthique, 1976
« Chaque fois que je suis sur le point d'abîmer une vie quelconque, il faut que je me pose clairement la question de savoir si c'est nécessaire. Jamais je ne devrai m'autoriser à aller au-delà de l'indispensable, même dans des cas apparemment insignifiants. »
— La civilisation et l'éthique, chap. XXI, 1976
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vendredi 14 décembre 2007
CHALEUR DE L'INTÉRIEUR DE LA TERRE
Alors que les derniers relevés montrent que a couche de glace du Groenland a fondu à un taux record cette année, certains chercheurs pensent que le réchauffement global de l’atmosphère n’est peut-être pas le seul coupable. Une équipe de géophysiciens vient de localiser une remontée de magma qui pourrait réchauffer et faire fondre les glaces arctiques… par en dessous. Ces chercheurs viennent de présenter leurs travaux à la conférence d’automne de l’American Geophysical Union qui se déroule du 10 au 14 décembre à San Francisco (Etats-Unis)
Un point chaud au nord est du Groenland
«Le comportement des grands glaciers est un baromètre important du changement climatique global» affirme le professeur Ralph von Freese, de l’université de l’Ohio, qui a dirigé les travaux «toutefois, pour distinguer et quantifier la part de l’homme dans le changement climatique, nous devons aussi appréhender la part de la Nature». Or Von Freese et son équipe ont découvert que la chaleur dégagée par un point chaud de la croute terrestre pourrait expliquer l’apparition d’une nouvelle coulée glaciaire (ice stream) à la pointe nord-est du Groenland.
Fleuve de glace sur croûte fine
Les coulées glaciaires sont des fleuves de glace qui se déversent plus ou moins vite dans l’océan. Quand cette glace atteint l’océan, elle fond. L’accélération constatée du débit de ces fleuves gelés contribue donc de manière significative à l’augmentation du niveau des mers. Jusqu’ici on ne comprenait pas comment et pourquoi ces coulées se formaient. En réalisant, à l’aide de relevés gravimétrique, une carte précise de l’épaisseur de la croûte terrestre, les collaborateurs de Von Freese ont constaté que cette croûte s’amincit considérablement juste en dessous de la principale coulée.
Convecteur ou chauffage au sol
En raison du magma confiné dans le manteau terrestre, «quand la croûte est plus épaisse, le sol est plus froid, quand elle s’amincit, il se réchauffe » explique Von Freese « sur de grandes étendues comme le Groenland ou l’Antarctique, ces variations d’épaisseur de la croûte rendent certaines zones des glaciers plus chaudes [et donc plus fluides] que d’autres». Les chercheurs vont maintenant tenter d’établir une carte des variations de température de la croûte afin de déterminer dans quelle mesure l’activité géothermique a contribué à l’accélération récente de la fonte des glaciers.
@20minutes.fr
Un point chaud au nord est du Groenland
«Le comportement des grands glaciers est un baromètre important du changement climatique global» affirme le professeur Ralph von Freese, de l’université de l’Ohio, qui a dirigé les travaux «toutefois, pour distinguer et quantifier la part de l’homme dans le changement climatique, nous devons aussi appréhender la part de la Nature». Or Von Freese et son équipe ont découvert que la chaleur dégagée par un point chaud de la croute terrestre pourrait expliquer l’apparition d’une nouvelle coulée glaciaire (ice stream) à la pointe nord-est du Groenland.
Fleuve de glace sur croûte fine
Les coulées glaciaires sont des fleuves de glace qui se déversent plus ou moins vite dans l’océan. Quand cette glace atteint l’océan, elle fond. L’accélération constatée du débit de ces fleuves gelés contribue donc de manière significative à l’augmentation du niveau des mers. Jusqu’ici on ne comprenait pas comment et pourquoi ces coulées se formaient. En réalisant, à l’aide de relevés gravimétrique, une carte précise de l’épaisseur de la croûte terrestre, les collaborateurs de Von Freese ont constaté que cette croûte s’amincit considérablement juste en dessous de la principale coulée.
Convecteur ou chauffage au sol
En raison du magma confiné dans le manteau terrestre, «quand la croûte est plus épaisse, le sol est plus froid, quand elle s’amincit, il se réchauffe » explique Von Freese « sur de grandes étendues comme le Groenland ou l’Antarctique, ces variations d’épaisseur de la croûte rendent certaines zones des glaciers plus chaudes [et donc plus fluides] que d’autres». Les chercheurs vont maintenant tenter d’établir une carte des variations de température de la croûte afin de déterminer dans quelle mesure l’activité géothermique a contribué à l’accélération récente de la fonte des glaciers.
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