L'effet "pacificateur" des énergies renouvelables
Le passage vers un approvisionnement énergétique écologique n'a pas seulement un intérêt environnemental, mais peut avoir aussi un effet positif sur la sécurité. C'est un des principaux résultats d'une étude commandée par le Ministère fédéral allemand de l'environnement et réalisée conjointement par l'entreprise de conseil Adelphi Consult et l'Institut de Wuppertal pour le climat, l'environnement et l'énergie.
Intitulée "Importance des énergies renouvelables pour la politique sécuritaire", l'étude compare les opportunités et les risques que présentent des systèmes d'approvisionnement énergétiques fondés sur des sources d'énergies conventionnelles et renouvelables: du point de vue de la sécurité énergétique, de la sécurité intérieure, de la défense, de la sécurité climatique, du développement, des investissements et des marchés financiers.
Les tensions politiques entre la Russie et ses voisins ainsi que les conflits au Proche-Orient, tous deux liés aux réserves d'hydrocarbures, sont des exemples qui montrent l'étroitesse du rapport entre politiques énergétique et sécuritaire. La stabilité d'autres régions est désormais également menacée par les conséquences du dérèglement climatique: la question est de savoir dans quelles mesures les nouvelles politiques énergétiques et climatiques peuvent aggraver, voire déclencher des conflits.
L'étude montre qu'à l'exception des grandes centrales hydroélectriques, les installations de production d'énergie de sources renouvelables sont nettement moins sujettes aux attaques terroristes que les centrales conventionnelles ou les centrales nucléaires.
@techno-sciences
dimanche 25 novembre 2007
ALLIÉ DE BUSH DEFAIT EN AUSTRALIE
Un nouveau premier ministre est élu en Australie, Kevin Rudd remplace John Howard. Howard était un fort allié pour Bush. Faut croire que la population commence à comprendre. Rudd dit qu'il restera ami des USA mais qu'il sera plus ami quand Bush partira. Il souhaite négocier le retrait de ses troupes en Irak.
Remarquez le 7-7-7 qui encercle le 5 derrière Rudd.
@Newyorktimes
Remarquez le 7-7-7 qui encercle le 5 derrière Rudd.
@Newyorktimes
BARRE DE MÉMOIRE
samedi 24 novembre 2007
EXTRATERRESTRE ET OVNI À FRANCE 2
La prochaine génération va rencontrer des extraterrestres la NASA affirme :
envoyé par jesaispasmerde
Le témoignage de Jean-Charles Duboc qui a fait une des plus importantes observations d'OVNI selon la communauté ufologique :
envoyé par jesaispasmerde
envoyé par jesaispasmerde
Le témoignage de Jean-Charles Duboc qui a fait une des plus importantes observations d'OVNI selon la communauté ufologique :
envoyé par jesaispasmerde
LES CHINOIS EN ALGÉRIE
La Chine qui s'impose comme maître constructeur un peu partout dans le monde. Elle impose son rythme en Algérie.
envoyé par k-ziani
envoyé par k-ziani
CHAVEZ TRAITE BUSH D'ALIÉNÉ
Hugo Chávez a annoncé que la place de George Bush était dans une maison d'aliénés, puisqu'il croit à la troisième guerre mondiale en cas d'apparition de l'arme nucléaire en Iran. C'est un des derniers chapelets d'injures, que le leader brutal a débité contre Bush, en l'appelant "le diable", l'assassin des peuples ou le traitant d’âne.
En octobre Bush a dit que l'Iran armé par la bombe nucléaire pourrait devenir la raison de la troisième guerre mondiale.
Il a essayé de se garantir par le soutien de la communauté internationale dans l'opposition contre Téhéran, mais n'a pas pu persuader la Russie qui croyait à l'aspiration de l'Iran pour l'atome exceptionnellement pacifique. "Bush a expliqué la possibilité d’une troisième guerre mondiale et l'usage de la bombe atomique", - annonce Chávez lors d’une conférence à Paris.
"La Troisième guerre mondiale? Avec la bombe nucléaire? Et il a dit ça comme ça, avec la bombe nucléaire. Le monde disparaîtra. L'humanité cessera d'exister". "Je pense que sa place est dans un asile de fous. A répété Chávez.
@sogroop
En octobre Bush a dit que l'Iran armé par la bombe nucléaire pourrait devenir la raison de la troisième guerre mondiale.
Il a essayé de se garantir par le soutien de la communauté internationale dans l'opposition contre Téhéran, mais n'a pas pu persuader la Russie qui croyait à l'aspiration de l'Iran pour l'atome exceptionnellement pacifique. "Bush a expliqué la possibilité d’une troisième guerre mondiale et l'usage de la bombe atomique", - annonce Chávez lors d’une conférence à Paris.
"La Troisième guerre mondiale? Avec la bombe nucléaire? Et il a dit ça comme ça, avec la bombe nucléaire. Le monde disparaîtra. L'humanité cessera d'exister". "Je pense que sa place est dans un asile de fous. A répété Chávez.
@sogroop
COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS
Voici une vidéo qui raconte l'histoire du CFR et leur prétendu rôle dans le contrôle des médias :
envoyé par 911Revolution
Le conseil des relations étrangères («Council on Foreign Relations» ou CFR) est un think tank américain, ayant pour but d'analyser la situation politique mondiale et de conseiller le gouvernement des États-Unis en matière de politique étrangère. Fondé en 1921, il est composé d'environ 4000 membres (4257 en 2004) issus du milieu des affaires, de l'économie et de la politique.
En fonction des analyses menées, le CFR publie le magazine Foreign Affairs et propose des résolutions (de type politique, militaire ou autre) au gouvernement américain. Il exerce une influence certaine sur le rôle que jouent les États-Unis sur la scène internationale.
Il siège à New York, et possède des bureaux à Washington DC.
Aussi, étant donné son influence, son opacité et sa discrétion dans les médias, et bien qu'il soit aujourd'hui quelque peu relayé par le think tank néoconservateur PNAC, certains voient en lui le véritable organe décisionnel de la politique étrangère des États-Unis, et de fait, au vu de la puissance américaine dans le monde, l'un des plus importants lobbies au monde. À noter que bon nombre de membres du CFR sont également des Bilderbergers, tandis que d'autres sont membres de la Commission Trilatérale, autant de groupes régissant l'économie et la géopolitique mondiales.
envoyé par 911Revolution
Le conseil des relations étrangères («Council on Foreign Relations» ou CFR) est un think tank américain, ayant pour but d'analyser la situation politique mondiale et de conseiller le gouvernement des États-Unis en matière de politique étrangère. Fondé en 1921, il est composé d'environ 4000 membres (4257 en 2004) issus du milieu des affaires, de l'économie et de la politique.
En fonction des analyses menées, le CFR publie le magazine Foreign Affairs et propose des résolutions (de type politique, militaire ou autre) au gouvernement américain. Il exerce une influence certaine sur le rôle que jouent les États-Unis sur la scène internationale.
Il siège à New York, et possède des bureaux à Washington DC.
Aussi, étant donné son influence, son opacité et sa discrétion dans les médias, et bien qu'il soit aujourd'hui quelque peu relayé par le think tank néoconservateur PNAC, certains voient en lui le véritable organe décisionnel de la politique étrangère des États-Unis, et de fait, au vu de la puissance américaine dans le monde, l'un des plus importants lobbies au monde. À noter que bon nombre de membres du CFR sont également des Bilderbergers, tandis que d'autres sont membres de la Commission Trilatérale, autant de groupes régissant l'économie et la géopolitique mondiales.
UNE JOURNÉE SANS SARKOZY
Appel à "une journée nationale sans Sarkozy dans les médias"
Une association lancée en juillet, le "Rassemblement pour la démocratie à la télévision" (RDT), a incité lundi 10 septembre par le biais d'un communiqué les rédactions à participer à une "journée nationale sans Sarkozy dans les médias" le 30 novembre. Soit un an tout juste après l'annonce officielle de la candidature de Nicolas Sarkozy à l'Elysée.
Donc, dans l'idée que cette journée devienne "une grande journée de la démocratie et de la liberté de la presse", "pas une image, pas un son, pas une ligne sur les faits et gestes de Nicolas Sarkozy ne doivent sortir, ce jour-là, des rédactions ! Ni éloge, ni critique, ni commentaires ! Rien de rien, s'il vous plaît".
"Indépendante de toute organisation politique"
Le RDT, présidée par un sociologue de 52 ans, Pierre Bitoun, encourage les citoyens à diffuser l'appel. Basée à Tours, l'association revendique une centaine de membres, dont 64 fondateurs depuis sa création en juillet dernier. Elle se définit comme "indépendante de toute organisation politique", "propose une action novatrice, ambitieuse, qui touche au coeur même du système d'influence: les sondages (interdire leur réalisation dans les trois mois précédents un scrutin électoral) et les journaux télévisés (démocratiser les journaux de TF1 et France 2)".
@NouvelObs
envoyé par grandpamini
Une association lancée en juillet, le "Rassemblement pour la démocratie à la télévision" (RDT), a incité lundi 10 septembre par le biais d'un communiqué les rédactions à participer à une "journée nationale sans Sarkozy dans les médias" le 30 novembre. Soit un an tout juste après l'annonce officielle de la candidature de Nicolas Sarkozy à l'Elysée.
Donc, dans l'idée que cette journée devienne "une grande journée de la démocratie et de la liberté de la presse", "pas une image, pas un son, pas une ligne sur les faits et gestes de Nicolas Sarkozy ne doivent sortir, ce jour-là, des rédactions ! Ni éloge, ni critique, ni commentaires ! Rien de rien, s'il vous plaît".
"Indépendante de toute organisation politique"
Le RDT, présidée par un sociologue de 52 ans, Pierre Bitoun, encourage les citoyens à diffuser l'appel. Basée à Tours, l'association revendique une centaine de membres, dont 64 fondateurs depuis sa création en juillet dernier. Elle se définit comme "indépendante de toute organisation politique", "propose une action novatrice, ambitieuse, qui touche au coeur même du système d'influence: les sondages (interdire leur réalisation dans les trois mois précédents un scrutin électoral) et les journaux télévisés (démocratiser les journaux de TF1 et France 2)".
@NouvelObs
envoyé par grandpamini
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