L'émission Royal Air Farce a fait une parodie sur les vaccins pour la grippe. On sait que les vaccins sont plus ou moins sécuritaires et que beaucoup tombent malades après été vaccinés. Au bureau, nous avons fait une expérience : nous savions qu'une d'entre nous se ferait vacciner... Nous, nous avons fortifié notre système immunitaire durant l'automne et l'hiver. Elle fût la première à avoir la grippe et elle a été très malade. Pour les autres, on l'a tous eu mais normalement et à la période où nous étions plus fatigués et où on rencontions beaucoup de gens, c'est à dire avant les vacances de Noël. C'est un pensez-y bien. À quoi ça sert de se faire vacciner si vous allez avoir la grippe de toute façon. De plus, le vaccin augmente les anticorps contre la grippe mais affaiblit votre système immunitaire dans son ensemble. N'oubliez pas qu'on met des substances toxiques dans les vaccins tel que l'alun pour mobiliser les défenses du corps lors de la vaccination. L'alun fait une nécrose sur le muscle là où le vaccin a été inoculé. Je tiens ces informations d'un docteur en virologie, qui ne fait pas vacciner ses enfants soit dit en passant.
lundi 19 novembre 2007
VOUS VOULEZ RIRE ENCORE...
Nassima remet ça :
Merci à Emmanuelle pour le lien.
On a même fait à Nassima une offre pour faire de la pub :
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samedi 17 novembre 2007
UNE GUERRE N'EST PAS À L'ORDRE DU JOUR
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a estimé qu'une autre guerre dans la région n'était pas à l'ordre du jour, samedi à Bahreïn, pays du Golfe à majorité chiite et allié régional de Washington, avec qui Téhéran se livre à un bras de fer sur son programme nucléaire.
«Nous ne nous attendons pas à une nouvelle guerre dans la région (...) et nous ne souhaitons pas qu'une guerre éclate», a déclaré le président iranien lors d'une brève visite à Bahrein, avant de se rendre au sommet de l'Opep à Riyad.
«Mais nous avons effectué tous les préparatifs nécessaires pour faire face à cette éventualité», a-t-il dit après une rencontre avec le roi Hamad Ben Issa Al-Khalifa.
(...)
@cyberpresse
«Nous ne nous attendons pas à une nouvelle guerre dans la région (...) et nous ne souhaitons pas qu'une guerre éclate», a déclaré le président iranien lors d'une brève visite à Bahrein, avant de se rendre au sommet de l'Opep à Riyad.
«Mais nous avons effectué tous les préparatifs nécessaires pour faire face à cette éventualité», a-t-il dit après une rencontre avec le roi Hamad Ben Issa Al-Khalifa.
(...)
@cyberpresse
SE MÉFIER DE FACEBOOK ?
L'information que vous entrez dans Facebook reste dans Facebook et est utilisé à faire des statistiques. Ces informations sont utilisées au gré des propriétaires de Facebook.
Dans la vidéo ci-dessous, l'auteur fait des liens entre Facebook et la CIA, le ministère de la défense et DARPA.
À vous de juger !
envoyé par 1ere-position
via 1er position
Dans la vidéo ci-dessous, l'auteur fait des liens entre Facebook et la CIA, le ministère de la défense et DARPA.
À vous de juger !
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FOU RIRE ILLIMITÉ
Mais alors là c'est énorme ! Il faut que vous entendiez le rire de cette femme. Elle fait rire tout le monde non-stop pendant 10 minutes.
envoyé par chiffon
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L'IRAN JUGE LE PÉTROLE SOUS-ÉVALUÉ
TEHERAN - Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a estimé samedi que l'OPEP, l'organisation des pays exportateurs de pétrole, était "soumise à des pressions économiques et politiques considérables", et que de ce fait le prix du pétrole était inférieur à sa valeur réelle, selon l'agence officielle IRNA.
Ahmadinejad devait ensuite s'envoler pour le Bahreïn, mais surtout l'Arabie saoudite, où se tient un sommet extraordinaire de l'OPEP, au niveau des chefs d'Etat.
C'est en raison de ces pressions que les cours du pétrole "ne sont pas au niveau qu'ils méritent dans le monde jusqu'à présent", a-t-il ajouté. "Cette pression sur le marché des énergies fossiles n'est pas sans raison", a-t-il lancé, sans plus de précisions.
Le prix du pétrole est fixé en dollars sur les marchés mondiaux. La dépréciation du billet vert inquiète les producteurs d'or noir, car elle contribue à faire monter les cours du brut tout en érodant la valeur des réserves en dollars des pays producteurs, leurs fameux "pétrodollars". L'OPEP résiste à l'idée d'augmenter la production pour atténuer la pression sur les prix, qui ont frôlé les 100 dollars le baril.
Du coup, l'Iran et son allié le Venezuela, tous deux très opposés aux Etats-Unis, ont proposé de laisser tomber le lien pétrole-dollar, et de choisir à la place un panier de devises. Cette proposition n'a recueilli aucun soutien auprès des autres membres du cartel pétrolier. Téhéran, soutenu par Caracas, souhaitait que la déclaration finale du sommet exprime l'inquiétude du cartel face à la faiblesse du dollar, mais l'Arabie saoudite notamment y était opposée.
"La simple mention de ce que les pays de l'OPEP examinent la question du dollar va avoir un impact qui menace les intérêts des pays" membres, a expliqué vendredi le ministre saoudien des Affaires étrangères, Saoud al-Faiçal, lors d'une réunion avec ses homologues de l'OPEP. Le sujet "ne figurera pas dans la déclaration finale", a affirmé le secrétaire général de l'OPEP, Abdallah Salem el-Badri.
@presse canadienne
Chavez menace de doubler le prix du baril si les USA attaquent l'Iran
Ahmadinejad devait ensuite s'envoler pour le Bahreïn, mais surtout l'Arabie saoudite, où se tient un sommet extraordinaire de l'OPEP, au niveau des chefs d'Etat.
C'est en raison de ces pressions que les cours du pétrole "ne sont pas au niveau qu'ils méritent dans le monde jusqu'à présent", a-t-il ajouté. "Cette pression sur le marché des énergies fossiles n'est pas sans raison", a-t-il lancé, sans plus de précisions.
Le prix du pétrole est fixé en dollars sur les marchés mondiaux. La dépréciation du billet vert inquiète les producteurs d'or noir, car elle contribue à faire monter les cours du brut tout en érodant la valeur des réserves en dollars des pays producteurs, leurs fameux "pétrodollars". L'OPEP résiste à l'idée d'augmenter la production pour atténuer la pression sur les prix, qui ont frôlé les 100 dollars le baril.
Du coup, l'Iran et son allié le Venezuela, tous deux très opposés aux Etats-Unis, ont proposé de laisser tomber le lien pétrole-dollar, et de choisir à la place un panier de devises. Cette proposition n'a recueilli aucun soutien auprès des autres membres du cartel pétrolier. Téhéran, soutenu par Caracas, souhaitait que la déclaration finale du sommet exprime l'inquiétude du cartel face à la faiblesse du dollar, mais l'Arabie saoudite notamment y était opposée.
"La simple mention de ce que les pays de l'OPEP examinent la question du dollar va avoir un impact qui menace les intérêts des pays" membres, a expliqué vendredi le ministre saoudien des Affaires étrangères, Saoud al-Faiçal, lors d'une réunion avec ses homologues de l'OPEP. Le sujet "ne figurera pas dans la déclaration finale", a affirmé le secrétaire général de l'OPEP, Abdallah Salem el-Badri.
@presse canadienne
Chavez menace de doubler le prix du baril si les USA attaquent l'Iran
CHEMTRAILS AU TÉLÉJOURNAL
On parle des chemtrails (trainées laissées par les avions) au téléjournal et on y confirme la présence de barium qui a des effets néfastes sur la santé. Toutes les conspirations et tous les secrets sont mis à la vue du grand public un à un. On y confirme que le gouvernement des USA aurait le droit de tester secrètement des produits chimiques sur la population dans certaines situations.
UNE ATTENTE QUI LUI COÛTA LA VIE
Cela faisait 10 heures que Robert Dziekanski attendait sa mère à l'aéroport de Vancouver. Il était en colère et désespéré. Il ne parlait pas un mot anglais. La police l'a trouvé suspect. Ils l'ont immobilisé à quatre avec des chocs électriques ("taser"), le genou sur son cou... le pauvre gars est mort.
envoyé par 911Revolution
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